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Gon Blacknife


>>Gon Blacknife


Gon Blacknife 13567210

Pseudonyme : Pas de surnom
Age: 29 ans
Sexe : Homme
Race : Humain

Métier : Bretteur
Groupe : Civil
But : Rendre ce monde un peu meilleur / Devenir le plus grand bretteur du monde

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Meitous
Équipements : Deux sabres basiques

Codes du règlement (2) :

Parrain : /

Ce compte est-il un DC ? : oui
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Red


>> Physique

Je suis quelqu’un d’assez basique. Le tape à l’œil, le bling-bling, le « m’as-tu vu », tout ça, c’est loin d’être mon truc. Ce qui m’importe, c’est de pouvoir passer partout sans que personne ne se souvienne m’avoir un jour croisé. Et ce n’est pas évident quand on fait 1m97. Vous pouvez me croire. J’essaye donc de porter les fringues les plus banales possibles. Un simple jean, une veste noire ou au moins très sobre et des chaussures à pointes.
Mon attitude aussi a pour but de me faire oublier. Je passe dans des rues bondées de monde, je me mêle à la foule le plus possible. J’essaye de me promener tête baissée et de ne jamais regarder les gens dans les yeux. Ce n’est pas de la soumission, c’est juste qu’on se souvient bien plus facilement des gens dont on a croisé le regard et que je n'y tiens pas. Je fume aussi. Ça n’a rien à voir avec la discrétion par contre. C’est juste que je ne peux pas me passer de cette merde.
Physiquement, je suis très mince. Les gens disent même « maigre » quand ils veulent me définir. C’est assez blessant, mais j’aurais du mal à les contredire. Mes côtes sont visibles à des kilomètres et j’ai beau me pincer, je ne suis pas fichu de me saisir d’un petit milligramme de graisse au niveau de ma ceinture abdominale. Ni nulle part ailleurs soit dit en passant. Mais ça ne me dérange pas. Au contraire. En étant fin, je suis plus difficile à atteindre avec une lame ou une balle. Je fais une cible plus petite.
Parlons de mon visage à présent. La maigreur le rend extrêmement anguleux. Mon menton est pointu et mes joues sont creusées. Beaucoup pensent que je suis très malade. Mais non, je n’ai pas le moindre problème de ce coté. Mes yeux sont marrons et brillent d’un éclat doré lorsque je suis dans un combat. Cela impressionne souvent les adversaires mais ce n’est pas non plus un très grand avantage. Mes lèvres sont quasiment inexistantes.
Voilà vous savez à peu près tout ce qu’il y a à savoir sur moi, niveau physique. Et si vous pouviez l’avoir oublié demain, ça m’arrangerait beaucoup.



>> Psychologie

Maintenant, vous allez apprendre à me connaître personnellement.
Ma seule motivation est d’offrir un monde meilleur à mes enfants. Nos mers sont sillonnées de pirates sanguinaires poursuivis par un gouvernement corrompu jusqu’à l’os. J’estime normal de laisser un monde plus propre après ma mort. Et pour ça, vu le tas de merde qui existe sur Terre, il ne faut pas hésiter à utiliser des moyens radicaux. Je poursuis la corruption avec autant de véhémence que les mauvaises personnes.  
Je suis quelqu’un d’un calme à tout épreuve. Je suis très réfléchi et ne prend jamais de décision hâtive. De plus, je parle très peu. Avant de prendre une décision, je me garde toujours le temps de la réflexion. J’aime prévoir, anticiper, avoir un, deux, cinq dix coups d’avance sur mes adversaires. Le fait d’être déconcerté m’horripile.  
Peu de choses ont de la valeur à mes yeux. Ma femme, mes deux merveilleux enfants et mon art. Je suis bretteur et développe un style de combat absolument unique. Je vais devenir le plus grand bretteur du monde. Comme Roronoa Zorro le fut en son temps. Je le désire pour rendre honneur à mon maître de kendo, maître Honda, que je respecte autant que ma propre famille.
Je ne peux pas vraiment dire que je suis quelqu’un  de gentil ou de méchant. Si on tue quelqu’un d’innocent pour protéger sa famille, on est gentil ou méchant ? Question de point de vue. Ma famille me trouve gentil, celle de ma victime me trouve méchant. Je ne peux donc pas répondre, je fais tout ce qu’il y a en mon pouvoir pour protéger ceux qui me sont proche. Le sang ne me fait pas peur et je sais que mon chemin en sera recouvert.
Solitaire, je ne fais équipe avec personne si ce n’est mes sabres.


>> Biographie

Ma vie n’a rien de bien folichon, mais je vais quand même vous expliquer comment j’en suis arrivé là. Je suis né sur l’île de Shimotsuki où j’ai été élevé par une école concurrente de celle qui a autrefois enseigné le kendo à Roronoa Zorro. Même si cela fait plus d’un siècle à présent, la mémoire de ce bretteur hors pair y est toujours honoré avec ferveur. C’est en l’admirant que j’ai grandit. Orphelin à neuf ans, j’ai été accueilli par le maître Honda de l’école du sabre de plomb. Il est devenu mon mentor en même temps que mon père adoptif et je dois bien le dire, je lui dois tout. Ma vie déjà, mon éducation, ma façon de penser, mon apprentissage… Tout.
A 20 ans, j’étais l’élève le plus talentueux de l’école. Je maîtrisais le style nidoryu avec une grande habilité. Facile en un sens quand on habite en permanence dans le dojo d’être le plus doué. A aucun moment, dans mon existence, je n’avais songé à quitter l’île. Pourquoi le ferais-je ? Mon passé et mon présent se trouvaient sur cette île, entre ces quatre murs. Pourquoi mon futur aurait-il été autre part ? C’est même dans cette école que j’ai rencontré ma femme. Une élève aussi à qui j’ai donné des leçons particulières à partir desquelles notre relation s’est créée. Elle m’a offert deux magnifiques enfants, un grand garçon et une petite fille. Non, vraiment ma vie est banale et sans grands rebondissements. Ce qui ne l’empêche pas d’être très agréable. Tous les jours, une mouette m’apportait le journal pour que je me tienne au courant de ce qui se passait dans le monde. Les nouvelles étaient rarement bonnes. « Les Gun and Gun’s détruisent un QG », « La marine rase Syrup durant un affrontement avec Reyes et Satoshi Noriyaki», « Un révolutionnaire tue White Basara, membre du conseil 5 étoiles », « Les Saigneurs détruisent la troisième voie ; les SeaWolf s’occupent de la quatrième. », « Les pirates s’entretuent pour devenir corsaire après le décès de Kraabs »… J’en passe et des meilleurs. Le monde extérieur puait de tous cotés. J’en restais éloigné et voulait en préserver ma progéniture.
Seulement voilà, un beau jour, je suis parvenu à vaincre mon maître dans un duel de sabre. J’avais 28 ans. Ce jour a profondément bouleversé ma vie. Le jour où mon maître a prononcé cette phrase fatidique.

-Je n’ai plus rien à t’apprendre.

C’est alors que je me suis rendu compte qu’il avait raison. Si je voulais continuer à progresser, je ne pouvais pas rester ici. Je devais faire comme Zoro, partir à l’aventure, découvrir de nouveaux horizons. J’espérais même un jour pouvoir défier et vaincre Yamato Rinshi, le plus grand sabreur du monde. A moins que cela ne soit Don Lope Di Sangrin. Je comptais vaincre les deux de toute façon. Mais je  ne pouvais pas laisser ma femme et mes enfants, les abandonner pour poursuivre des rêves égoïstes.
J’ai alors été voir mon maître et lui ai demandé de prendre mes enfants sous son aile. Il m’avait éduqué et protégé, je voulais que mes enfants aient cette même chance. Je savais qu’il accepterait, cela ne faisait aucun doute. Mais il y a émit des conditions. La première était que je devais perfectionner mon art pour revenir un jour botter le cul des écoles concurrentes à trois et quatre sabres. La seconde était que je devrais toujours utiliser mon talent pour rendre le monde meilleur.

-Okay, que je lui ai répondu. Je vais le faire.

Nous nous serrâmes la main pour la dernière fois. Une mouette lâcha un journal devant moi à ce moment précis. Le titre me sauta aux yeux. « Drum transformé en champ de bataille! Toutes les factions s'entretuent! ». Ce monde était vraiment pourri jusqu’à l’os. Fallait que je me dépêche. J’attrapai mon sac, mes deux sabres et embrassai tendrement ma famille.

-Désolé les enfants, Papa doit partir. Et vite, parce que ça urge là.

Et puis, je suis parti. Voilà. Je vous avais prévenu que ce ne serait pas de la grande tragédie. Mais voilà, c'est ma vie.

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Informations IRL

Prénom : Arnaud

Age : 23

Aime : Moi

N'aime pas : Blake et Zegaï

Personnage préféré de One Piece : Kizaru

Caractère : (définissez vous en quelques mots) Génial

Fais du RP depuis : Que je sais écrire

Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) 1

Comment avez vous connu le forum ? Si je me souviens bien, c’était avec forumactif. Je sais plus, ça fait si longtemps.
  • https://www.onepiece-requiem.net/t9755-la-justice-sous-toutes-ses
  • https://www.onepiece-requiem.net/t8977-gon-blacknife
Prêt pour le test RP
  • https://www.onepiece-requiem.net/t9755-la-justice-sous-toutes-ses
  • https://www.onepiece-requiem.net/t8977-gon-blacknife
Jajaaaaaaaaaaaaaaam ! *^*

Validé ! Bon Rp a toiii !

Gnein ? Pas encore ? Rooh...

Ahem... Aloors, tadaa ! Ton test Rp !

Te voila désormais prêt à faire le grand voyage... Enfin, tu étais prêt... Visiblement, tes enfants veulent pas te lâcher, allant même jusqu'à s'enfuir se cacher avec tes sabres. Un bretteur sans sabres ne vaut plus grand chose malheureusement. Tu vas devoir jouer selon leurs propres règles. Et quand on cherche à attraper un enfant de Shimotsuki, c'est à un véritable réseau d'enfants solidaires auquel on doit faire face... Farces et pièges sont de rigueur dans cette chasse au trésor.
Les enfants de Shimotsuki passent encore à l'action ! Tu me dis si t'veux un autre test ou autres d'accord ?
Bonne chance Jajaaaam *^*
  • https://www.onepiece-requiem.net/t3484-uriko-lhant
  • https://www.onepiece-requiem.net/t3394-uriko-lhant-encore-un-boulet-en-plus
Shimotsuki, aube.


Le soleil était en train de se lever et reflétait sa lumière pâlichonne sur les petites vaguelettes qui brisait la surface de la mer. Il était encore très tôt et la plupart des habitants dormaient à poings fermés. Mila et les enfants se baladaient au pays des rêves. Gon était là, debout, au bord de la plage à regarder cette boule de feu monter à vue d’œil dans le ciel. Il avait déjà vécu cela des dizaines, des centaines de fois. Peut-être même des milliers. Jamais il n’avait quitté cette île. Jamais il n’était parti. Ce bout de terre perdu au milieu de milliards de milliards de litres d’eau salée représentait la totalité de son univers. Sa femme, ses enfants, sa famille, son école… Tout se trouvait sur ce minuscule territoire. Et pourtant… Pourtant il était là, l’œil fixé sur l’horizon, cherchant le courage de se retourner et de partir. Il le devait. Et il savait qu’il le devait.

Les minutes passèrent, rapides comme des secondes, et la brillance du soleil devint insupportable. Gon n’eut bientôt d’autre choix que de détourner le regard et de sortir de ses pensées. C’était l’heure. Il baissa la tête et regarda ses orteils, plantés dans le sable. C’est fou. Ce sont les petits détails qui marquent le plus. Sûr que la douceur de ce sable au petit matin allait lui manquer. D’ici quelques temps, il serait en train de combattre la corruption de ce monde. De le rendre meilleur grâce à son talent de naissance. Le sabre. Hin… Il n’aurait probablement plus le temps de s’accorder des moments comme celui-ci. Soupirant, il se baissa et ramassa son sac qu’il se balança sur l'épaule. Il voulut alors accrocher ses sabres à sa ceinture, mais ils étaient introuvables.

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Comment est-ce possible ! Je les avais pourtant posé là ! Ils n’ont pas pu disparaître tout seul, bon sang. Le sable les aurait recouvert ? Naaaa… J’y crois pas une seul seconde, il n’y a même pas la moindre brise.  Je suis arrivé il y a plusieurs heures et on voit encore mes traces de… Hey ! C’est quoi ces traces ? Mince, quelqu’un est venu discrètement derrière moi pour me voler mes sabres ! Et vu la taille de ces pieds, ce ne sont pas de très grands voleurs. C’est drôle, j’ai ma petite idée sur l’identité de ces ravisseurs. Mes enfants, bien entendu. Toujours à jouer les farceurs ceux-là. Est-ce qu’ils ont bien saisi la situation ? Ont-ils compris qu’on ne se reverrait pas avant très longtemps ? Hier soir, je pensais que oui mais là… J’ai un doute. Bon, pas une seconde à perdre, il faut que je récupère mes sabres avant que le bateau n’arrive. Sinon qui s’occupera d’éliminer les malfaiteurs ?

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A la fois amusé et agacé par la filouterie de ses enfants, Gon s’éloigna du bord de la mer, abandonnant l’écume blanche qui venait se déposer sur les rochers et retourna en direction du village. Il laissa son sac à l’entrée et suivit les traces laissées successivement dans le sable, la terre, puis la poussière des rues. Sans surprise, sa piste le mena chez lui. Il ouvrit tout doucement la porte. Il ne fallait pas se faire repérer. C’était ses enfants et ils étaient tout aussi rusés et agiles que lui. Peut-être même plus. La maison était totalement silencieuse. Pas le moindre bruit. Seul le très léger ronflement de Mila, sa femme, pouvait se faire entendre à l’étage. Gon scruta la pièce principale, à la recherche d’un indice, d’un détail qui le guiderait. Le sol était très propre, ce qui avait eu pour effet de stopper net la trace. Cela n’allait pas être évident.

Un grincement se fit entendre sur la droite. En une fraction de seconde, Gon se précipita en direction de l’origine du bruit. Il eut tout juste le temps de voir la porte de derrière se refermer. Suivant rapidement, il ouvrit la porte et vit son grand garçon de huit ans en train de s’éloigner rapidement. Il se précipita derrière lui.

-Jilo, attend ! J’en ai besoin !

Mais l’interjection n’eut pour seul effet que de faire accélérer l’enfant. Gon le rattrapa cependant rapidement, courant bien plus vite que son fils. Alors qu’il allait le rattraper, il se sentit déstabilisé et fit un court vol plané avant de s’écraser dans l’herbe. Il releva la tête et regarda son pied. Il s’était emmêlé dans un fil tendu. Deux enfants s’enfuirent en riant.

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Ho nonnnn… S’ils ont appelés les autres, je vais vraiment avoir du mal à leur mettre la main dessus. La vache. Ils m’ont pas loupé. Je saigne du menton, génial. Si j’attrape ceux qui ont tendu ce fil, je vais leur apprendre moi ! Saleté de ficelle, décroche toi de mes lacets ! Mais… Mais merde ! Ha voilà. Bon, à cette heure-ci où tout le monde dort, ils n’ont pu aller qu’à un endroit sans risquer de se faire enguirlander. Le dojo. C’est le seul bâtiment ouvert en permanence. Je devrais gagner un peu de temps en passant par cette ruelle. Voilà, le dojo est juste-là, derrière. Excellent, je crois que je suis arrivé avant lui.
Je vais me cacher. Une cachette, une cachette… Ha ! Là, ce sera parfait. Il n’y a plus qu’à attendre qu’il arrive.


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Caché derrière un tatami qui avait été relevé contre le mur, Gon attendait l’arrivée de son fils. Celui-ci ne tarda pas, en effet, à pointer le bout de son nez. Le petit Jilo pénétra dans l’enceinte, referma en hâte la porte derrière lui et prit le temps de souffler. Lorsque sa respiration se fût calmée, il salua et marcha sur le tatami pour traverser la pièce, salua à nouveau et descendit du tatami. Son père apprécia de voir que son enfant avait intégré les marques de respect liées aux arts martiaux, et ceux, même quand personne n’était censé le regarder. Il le vit alors placer un long paquet de papier sous le casier qui servait de réserve pour les sabres de bois d’entraînement. Gon ne put retenir un sourire en voyant son filou de fils se croire malin.

Immédiatement après, Jilo sortit du dojo en courant. Il espérait sûrement que son père le reprendrait en filature pour brouiller les pistes. Mais Gon ne perdit pas une seconde et se dépêcha de récupérer le paquet. Après l’avoir délesté de tout son emballage de papier, il vit son sabre, parfaitement rangé dans son fourreau. Pas une égratignure. C’était au moins ça. Il leur avait transmis le respect que l’on doit montrer envers les lames. Il passa la bandoulière et sortit à son tour. Il ressentit soudain un picotement au niveau des bras, du dos et des mains ainsi que du visage. Des démangeaisons surgirent de nulle part et l’assaillirent, l’obligeant presque à poser les genoux au sol tant c’était insoutenable. Comment n’aurait-il pas pu reconnaître cette sensation insupportable ? Ces voyous avaient recouverts son sabre de poil à gratter ! Après quelques minutes de grattage, il parvint à se détendre et les grattements cessèrent petit à petit.

L’important était qu’il ait récupéré son sabre. Plus qu’un. Le second, c’était probablement Illindore qui l’avait. Allez savoir ce qui se passait dans la tête d’une enfant de six ans. Elle aurait pu être n’importe où en ville. A moins que…

-Hey Papa ! Je suis là !

Jilo venait de surgir en faisant des grimaces et faisait mine de s’enfuir. On sentait qu’il espérait que Gon le poursuive mais celui-ci se contenta de pointer le sabre qu’il avait à présent accroché dans son dos et lui fit un clin d’œil. Le petit garçon blêmit très légèrement et se mit à hurler à travers les rues. Quelle plaie. Pourquoi troubler ainsi une ville aussi calme et paisible ? Pourquoi Gon ne pouvait-il pas prendre tranquillement le bateau comme tant d’hommes le faisaient probablement à travers le monde.

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Sérieux, je vais manquer mon embarcation avec toute cette histoire. Leur petit jeu commence vraiment à me courir sur les nerfs. Dés que j’aurais trouvé Illindore je filerai au port avant de devoir attendre six heures pour le prochain départ. Raaahhh… Pourquoi crie-t-il comme ça ? Et qu’est ce que… Ho non, les autres enfants s’y mettent à leur tour. Y a des cris qui proviennent de partout maintenant. Même des autres habitations. Mais qu’est ce qu'il se passe ? Ha, une fenêtre qui s’ouvre. Hé mais c’est… !

-Illindore ! Tout va bien ma puce. Papa n’est pas fâché, je veux juste récupérer mon sabre. C’est très dangereux, tu ne dois pas toucher aux armes des grands.

La faire culpabiliser, ça marchait assez souvent contre elle. La gronder, la punir, tout cela était inutile face à une telle tête de mule. Mais lui faire comprendre qu’elle a fait une bêtise, cela portait ses fruits. Généralement. Ça ne semble pas être le cas là… Pourquoi elle ne répond pas ? Pourquoi elle ne bouge pas ? Who who whoooo ! Tous les gamins de la ville sont là ou quoi ? Je vois des petites têtes blondes à toutes les fenêtres, tout autour de moi. Ça sent le coup fourré…

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La sphère s’envola dans un silence total. Elle continua son parcours jusqu’à une certaine hauteur, ralentit et commença à redescendre de plus en plus vite. Elle frappa Gon en plein visage et explosa dans une déflagration d’eau. Une seconde plus tard, les enfants se mirent à bombarder le bretteur de dizaines de bombes à eau en hurlant de façon stridente. Le père de famille put seulement se protéger vainement en se contrant du plat de ses mains et en fuyant vers l’entrée de la maison. Il sauta alors et s’accrocha au rebord de la fenêtre. Il se hissa en encaissant les impacts mouillés et se retrouva dans la chambre où se terrait sa fille.

Elle s’était roulée en boule dans un coin en espérant probablement devenir invisible. Gon se jeta sur elle et lui fit un gros câlin tout humide. Illindore eut beau se débattre, les bisous et les chatouilles eurent raison d’elle et elle se rendit. Elle pointa du doigt un coin de la chambre en riant et il récupéra son second sabre juste au moment ou Jilo entra en trombe dans la pièce.

-Illi ! Illi ! Papa m’a eu il faut que tu caches le…

En voyant son père, il voulut faire volte face mais Gon fut plus vif et l’attrapa par le col avant de le bloquer sous son bras. Tenant ses deux enfants, il attendit un instant qu’ils ne cessent de se débattre et les serra contre lui.

-Les enfants, pourquoi vous avez fait ça ? Vous savez que je dois partir nettoyer notre monde. Vous m’avez retenu. J’ai probablement manqué mon bateau maintenant.
-Justement, nous on veut pas que tu partes !
-Oui, c’est vrai.
-Ne vous inquiétez pas, je ne vous abandonne pas. Quand vous serez devenus des grands, vous pourrez partir à votre tour. Et on se retrouvera sur les mers. D’ici là, il faut que vous deveniez très forts au sabre. Vous êtes mes enfants, ne faîtes pas honte à votre école.

Un bisou chacun et il se leva pour sortir de la pièce.

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Je les aime.


Dernière édition par Gon Blacknife le Mar 27 Aoû 2013 - 1:04, édité 1 fois
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Test Rp terminé!
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Jajaaaam !

Bouuuh pardon du retaaaaard !
Mais j'viens pour te donner ton aviiiis !

~~~~~~~~~~~~~~~~

Point forme pour commencer, peu de fautes, y en a quelques unes, mais j'en ai pas remarqué beaucoup beaucoup, donc c'pour ça que je n'ai rien à te dire dessus pour l'instant... C'bien, tu t'es appliqué sur ta présentation ! Alors que dans tes Rps avec toi, je t'avoue que je les remarque plus facilement hé hé x3

Point fond, pareil, je n'ai pas grand chose à dire, il faut dire que tout est correct et simple... J'aime les histoires simples !
J'ai bien aimé les références des actes des personnages que tu as évoqué dans la biographie ! Elle peut paraître courte, mais vu qu'il s'agit d'un personnage "normal" je peux comprendre. D'ailleurs tu t'es rattrapé sur le test Rp !

Et comme à l'habitude, tout est super fluide à lire, on comprend vraiment tout... Parfois même un peu plus que pour Jajam !
Même si des fois dans les pensées, je peux presque voir un peu de lui, mais seulement un pitit peu hé hé x3

En fait le personnage m'a l'air peut être un peu trop "normal", et je me demande si, comme tes anciens personnages, tu réussiras à continuer avec lui. Car pire encore, tout comme tu l'avais regretté avec Jajam, tu commences à voyager à partir de 1625 cette fois. Donc encore une fois tes FB seront treees limités. Et des fois je pense qu'il lui manque un petit peu de personnalité au bonhomme...

Mais c'est que mon aviis !
Donc comme je n'ai rien à dire sur ta présentation et que j'ai bien aimé ton test Rp, je vais partir sur du 800 bonbons ! *^*

Pourquoi pas 1000 ? Parce que malgré tout, il manque ce petit quelque chose qui fasse sourire, surprendre, qui fasse entrer dans le récit. Une "histoire" en fait. Un petit côté Punchy du personnage ! *^*
Et c'est pourquoi je m'oppose au 1000. ><

Voilaaaaaaa !
Du coup j'espère que tu vas tout bien t'amuser avec ce nouveau personnaaaage ! *Grooooooooos calin*
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Salut James, je suis là pour te donner ton deuxième et dernier avis.

Alors, niveau forme c'est bon. Très fluide, très sympa à lire. Deux ou trois fautes qui se courent après ("la mémoire de ce bretteur hors pair y est toujours honoré avec ferveur", "J’en restais éloigné et voulait"), une tournure de phrase un peu maladroite ("Facile en un sens quand on habite en permanence dans le dojo d’être le plus doué"), mais rien de bien méchant, donc on va pas t'en tenir rigueur.

Niveau fond, c'est basique comme ton personnage, et du coup, y'a pas grand chose à dire. Et c'est bien dommage, parce qu'à l'instar de ce qu'à dit Uriko, je pense que c'est ça qui fait s'enfuir le 1000 dorikis. Le physique et la psycho sont propres, tout comme l'histoire, bien que je regrette un peu le manque de scènes de famille. Le personnage, dans sa banalité, en est intéressant, et je crois sincèrement que tu aurais pu creuser un peu plus dans cette galerie là. Ceci dit... J'émets les mêmes réserves que le collègue en terme de viabilité du personnage. Vas-tu réussir à le tenir avec toute l'exubérance dont tu fais preuve avec James ? Je te le souhaite. Et ton test RP, très bien également, me fait y croire.

Venons en à la note. Je vais également être sur du 800 dorikis, même si je suis persuadé que le 1000 t'étais acquis avec un poil plus de travail de background. Gon est très "plat", finalement... Bref, te voila validé à 800 dorikis ! Comme d'hab, si tu as des questions/remarques/commentaires, ma boite MP t'es ouverte, et tu peux bien évidemment me trouver sur la CB.

Bon jeu avec ce double-compte et bonne continuation sur OPR !