Un soleil couchant sur la mer , les couleurs flamboyantes embrassant la mer voilà la scène qui raviva la brumeuse mémoire de Léon Séra.
Environs 3 à 4 mois auparavant.
Ile du Tanuki ,fin de la journée. Cette île presque idyllique propose à toute personne prenant le temps d'apprécier la nature une myriade de couleurs absolument magnifique.
Le soleil d'un jaune d'œuf commençait à descendre petit à petit derrière les montagnes.
La lumière bienfaitrice et apaisante laisserait bientôt place à une nuit sombre et glaciale.
Une brume marine avait commencé à envelopper le coté ouest de l'ile.
Un jeune homme, se mouvait , tel un automate dans une forêt à la bordure d'un petit village sans prétention extension de la ville central de l'ile.
Tout en ce déplaçant son corps était agité de soubresaut, lorsqu'il passait l'ambiance chatoyante du sylvestre endroit semblait se ternir , les bruits mourraient.
Les uniques sons subsistants consistaient en une série de marmonnement et des paroles sans queue ni tête ponctué de cris , et de rire sardonique . D’un coup, pendant quelques secondes le prête Séra s'immobilisa , ces paroles cessèrent.
Si quelqu'un d'autres que les animaux de la forêt avait vu le personnage ils auraient pu constaté un changement dans les yeux du jeune homme comme si il sortait d'un transe ou plutôt d'un rêve.
*.... mais qu'est-ce que je fous ici moi
-Tu te fous une branche d'arbre dans le derrière
Il arrivait souvent à Léon de laisser en suspend les conversations qu'il avait avec son autre moitié , estimant généralement qu'il était vain de vouloir avoir un échange avec un béotien pareil.
La veille il lui avait semblé que la forêt s'étendait à perte de vue mais à présent il se trouvait non loin d'une petite bourgade situé en bordure de la forêt. Au bout de quelques minutes il atteignit l'entrée dudit village.
C'était un endroit sans prétention , relativement calme plutôt normal d'ailleurs cette île servait généralement de lieu de repos pour un grand nombre de personnes malades ou âgés , voir même les deux.
Dans les rues la plupart des passants avait l'air relativement âgée , mais l'habit ne fait pas le moine après tout le "jeune" homme avait bien la centaine et il ne les faisait pas.
* Que des vieux ici pourquoi on les pousserait pas dans les escalier où même mieux leur foutre leur cane dans les dents
-Tu ne pense vraiment qu'à faire le mal toi
-Nan je pense aussi à baiser, boire , fumer et en plus te faire chier
-J'aurais du m'en douter, à part ça pourquoi on est ici déjà?
-Pour trouver de la matière première
-de là quoi?
-Tu verras mon sucre , tu verras...*
Chose étrange et plus qu'inhabituel son colocataire coupa net la discussion se calma et même se retrancha dans un coin de l'esprit de Léon.
Laissant ainsi le jeune homme tranquille lui laissant apprécier les beautés du monde, chose qu'il ne pouvait pas faire souvent puisqu'il devait garder sous contrôle son foutu double.
Le jeune homme plainant littéralement de joie , cela faisait une éternité qu'il n'avait pas pu apprécier un vrai moment de détente. Car, entre sa fuite du labo du vieux Végapunk, les flottes que les marines lui avait envoyé et son double il avait du être en permanence sur le qui vive
Le "libéré" arriva sur la place principal autour de cette dernière se trouvait un grand nombre de commerce.
La gorge du pauvre homme était sèche comme un coup de trique il n'avait rien bu depuis deux jours et ça première envie fut de boire une douce boisson , même la plus mauvaise eau aurait suffit à apaiser son malheur.
Par chance ( he oui coup de pot hein) se trouvait une taverne. Tout en se dirigeant vers l'établissement Léon révisa son opinion il ne s'agissait pas d'une banal taverne en effet l'insigne de l'endroit était un livre ouvert à coté duquel se trouvait une tasse fumante probablement du thé, il s'agissait d'un genre de café lecture tout ce qui convenait au jeune homme.
La porte s'ouvrit sur un cadre plutôt banal :des tables en bois peinte trônaient ici et là , dans les coins quelques alcôves permettant aux personnes désireuses d'une certaine intimité de se poser dans un coin tranquille, dans ces mêmes coins des étagères remplient de divers ouvrages. Pour ceux voulant observer l'ensemble de l'endroit des tabourets près du comptoir permettait de commander directement. L'intérieur du magasin était empli d'une douce odeur , un mélange de vieux livre de café moulu et de thé.
L'image d'une tasse fumante de thé se forma dans son esprit avec l'exquise sensation de chaleur qu'allait lui procurer l'ingestion de ce breuvage divin. Léon alla s'asseoir devant le comptoir.
"-Un macha iri genmaicha s'il vous plait avec deux scones
-Pad problème"
Le tenancier ne lui ayant pas demandé les Berrys avant de servir le jeune homme en déduisit que les clients de l'endroit était plutôt honnête.
Opérant un magnifique demi-tour contrôlé sur lui-même grâce à un tabouret dernier cri, il prit le temps d'étudier ces compagnons de "boissons".
Dans le coin à gauche de l'entrée se trouvait un couple de charmant vieillards discutant tranquillement , dans un box se trouvait un couple.... d'homme s'embrassant joyeusement, Léon préféra ne pas s'attarder , c'était préférable pour eux si son démon se réveillait il risquait d' y avoir du grabuge en moins de deux.
A sa gauche se trouvait un jeune homme de taille moyenne portant des lunettes rouges. Il n'eut guère le temps de le plus le détailler puisqu'un cliquetis derrière son dos indiquait l'arrivé de sa commande.
Effectuant encore une fois un magnifique demi-tour sur lui même l'affamé eut le plaisir de voir une charmante tasse en porcelaine remplis d'un liquide vert.
Des volutes de fumées blanche s'échappait gaiment du petit réceptacle à coté duquel deux petits scones plein de beurre était délicatement posé.
Il se lécha les lèvres une flamme de gourmandise dans ces deux yeux en imaginant le délice que ça allait être de profiter d'un repas seul ( et pas avec lui-même justement).
Prenant la tasse dans ça main droite Léon laissa la vapeur chargé des odeurs du thé lui chatouiller le nez, lentement il amena le liquide à ces lèvres.
PAFFF
Voilà comment un son vous ruine un moment. Par réflexe le prêtre avait tourné la tête en direction de l'origine du son ,sa main gauche se trouvait sur le postérieur de l'autre consommateur à coté de lui.
Il n'était pas difficile pour Léon de savoir ce qui c'était passé, il allait retiré ça main mais il s'entendis dire une phrase fatidique:
"Mais dis-moi tu as la fesse bien ferme , ça te dirais que je plante ma grosse tour dans tes raviolis?"
Il fallu un effort de volonté énorme à Léon pour retirer ça petite mimine du tendre arrière train du jeune homme.
Ce dernier c'était tendu par réflexe et lança un regard glacial a celui qui avait trippoté une de ces parties intimes.
Le genre de regard qui, lorsqu'il est lancé à une personne dirait : tu as fait quelque chose d'impardonnable tu vas mourir à moins de te rouler par terre en me suppliant.
Le seul ennuie c'est que son coté gauche n'était pas du genre à se laisser refroidir comme ça mais plutôt à s'échauffer
"Humm avec un tel regard tu dois avoir un beau pic à glace, laisse moi le te réchauffer . J'adore m'occuper d'un bonne glace , on va bien s'amuser"
La langue de Léon passant sur ces lèvres, mais dans l'esprit de son colocataire c'était plutôt dans la perspective d'un autre type de gâterie.
Environs 3 à 4 mois auparavant.
Ile du Tanuki ,fin de la journée. Cette île presque idyllique propose à toute personne prenant le temps d'apprécier la nature une myriade de couleurs absolument magnifique.
Le soleil d'un jaune d'œuf commençait à descendre petit à petit derrière les montagnes.
La lumière bienfaitrice et apaisante laisserait bientôt place à une nuit sombre et glaciale.
Une brume marine avait commencé à envelopper le coté ouest de l'ile.
Un jeune homme, se mouvait , tel un automate dans une forêt à la bordure d'un petit village sans prétention extension de la ville central de l'ile.
Tout en ce déplaçant son corps était agité de soubresaut, lorsqu'il passait l'ambiance chatoyante du sylvestre endroit semblait se ternir , les bruits mourraient.
Les uniques sons subsistants consistaient en une série de marmonnement et des paroles sans queue ni tête ponctué de cris , et de rire sardonique . D’un coup, pendant quelques secondes le prête Séra s'immobilisa , ces paroles cessèrent.
Si quelqu'un d'autres que les animaux de la forêt avait vu le personnage ils auraient pu constaté un changement dans les yeux du jeune homme comme si il sortait d'un transe ou plutôt d'un rêve.
*.... mais qu'est-ce que je fous ici moi
-Tu te fous une branche d'arbre dans le derrière
Il arrivait souvent à Léon de laisser en suspend les conversations qu'il avait avec son autre moitié , estimant généralement qu'il était vain de vouloir avoir un échange avec un béotien pareil.
La veille il lui avait semblé que la forêt s'étendait à perte de vue mais à présent il se trouvait non loin d'une petite bourgade situé en bordure de la forêt. Au bout de quelques minutes il atteignit l'entrée dudit village.
C'était un endroit sans prétention , relativement calme plutôt normal d'ailleurs cette île servait généralement de lieu de repos pour un grand nombre de personnes malades ou âgés , voir même les deux.
Dans les rues la plupart des passants avait l'air relativement âgée , mais l'habit ne fait pas le moine après tout le "jeune" homme avait bien la centaine et il ne les faisait pas.
* Que des vieux ici pourquoi on les pousserait pas dans les escalier où même mieux leur foutre leur cane dans les dents
-Tu ne pense vraiment qu'à faire le mal toi
-Nan je pense aussi à baiser, boire , fumer et en plus te faire chier
-J'aurais du m'en douter, à part ça pourquoi on est ici déjà?
-Pour trouver de la matière première
-de là quoi?
-Tu verras mon sucre , tu verras...*
Chose étrange et plus qu'inhabituel son colocataire coupa net la discussion se calma et même se retrancha dans un coin de l'esprit de Léon.
Laissant ainsi le jeune homme tranquille lui laissant apprécier les beautés du monde, chose qu'il ne pouvait pas faire souvent puisqu'il devait garder sous contrôle son foutu double.
Le jeune homme plainant littéralement de joie , cela faisait une éternité qu'il n'avait pas pu apprécier un vrai moment de détente. Car, entre sa fuite du labo du vieux Végapunk, les flottes que les marines lui avait envoyé et son double il avait du être en permanence sur le qui vive
Le "libéré" arriva sur la place principal autour de cette dernière se trouvait un grand nombre de commerce.
La gorge du pauvre homme était sèche comme un coup de trique il n'avait rien bu depuis deux jours et ça première envie fut de boire une douce boisson , même la plus mauvaise eau aurait suffit à apaiser son malheur.
Par chance ( he oui coup de pot hein) se trouvait une taverne. Tout en se dirigeant vers l'établissement Léon révisa son opinion il ne s'agissait pas d'une banal taverne en effet l'insigne de l'endroit était un livre ouvert à coté duquel se trouvait une tasse fumante probablement du thé, il s'agissait d'un genre de café lecture tout ce qui convenait au jeune homme.
La porte s'ouvrit sur un cadre plutôt banal :des tables en bois peinte trônaient ici et là , dans les coins quelques alcôves permettant aux personnes désireuses d'une certaine intimité de se poser dans un coin tranquille, dans ces mêmes coins des étagères remplient de divers ouvrages. Pour ceux voulant observer l'ensemble de l'endroit des tabourets près du comptoir permettait de commander directement. L'intérieur du magasin était empli d'une douce odeur , un mélange de vieux livre de café moulu et de thé.
L'image d'une tasse fumante de thé se forma dans son esprit avec l'exquise sensation de chaleur qu'allait lui procurer l'ingestion de ce breuvage divin. Léon alla s'asseoir devant le comptoir.
"-Un macha iri genmaicha s'il vous plait avec deux scones
-Pad problème"
Le tenancier ne lui ayant pas demandé les Berrys avant de servir le jeune homme en déduisit que les clients de l'endroit était plutôt honnête.
Opérant un magnifique demi-tour contrôlé sur lui-même grâce à un tabouret dernier cri, il prit le temps d'étudier ces compagnons de "boissons".
Dans le coin à gauche de l'entrée se trouvait un couple de charmant vieillards discutant tranquillement , dans un box se trouvait un couple.... d'homme s'embrassant joyeusement, Léon préféra ne pas s'attarder , c'était préférable pour eux si son démon se réveillait il risquait d' y avoir du grabuge en moins de deux.
A sa gauche se trouvait un jeune homme de taille moyenne portant des lunettes rouges. Il n'eut guère le temps de le plus le détailler puisqu'un cliquetis derrière son dos indiquait l'arrivé de sa commande.
Effectuant encore une fois un magnifique demi-tour sur lui même l'affamé eut le plaisir de voir une charmante tasse en porcelaine remplis d'un liquide vert.
Des volutes de fumées blanche s'échappait gaiment du petit réceptacle à coté duquel deux petits scones plein de beurre était délicatement posé.
Il se lécha les lèvres une flamme de gourmandise dans ces deux yeux en imaginant le délice que ça allait être de profiter d'un repas seul ( et pas avec lui-même justement).
Prenant la tasse dans ça main droite Léon laissa la vapeur chargé des odeurs du thé lui chatouiller le nez, lentement il amena le liquide à ces lèvres.
PAFFF
Voilà comment un son vous ruine un moment. Par réflexe le prêtre avait tourné la tête en direction de l'origine du son ,sa main gauche se trouvait sur le postérieur de l'autre consommateur à coté de lui.
Il n'était pas difficile pour Léon de savoir ce qui c'était passé, il allait retiré ça main mais il s'entendis dire une phrase fatidique:
"Mais dis-moi tu as la fesse bien ferme , ça te dirais que je plante ma grosse tour dans tes raviolis?"
Il fallu un effort de volonté énorme à Léon pour retirer ça petite mimine du tendre arrière train du jeune homme.
Ce dernier c'était tendu par réflexe et lança un regard glacial a celui qui avait trippoté une de ces parties intimes.
Le genre de regard qui, lorsqu'il est lancé à une personne dirait : tu as fait quelque chose d'impardonnable tu vas mourir à moins de te rouler par terre en me suppliant.
Le seul ennuie c'est que son coté gauche n'était pas du genre à se laisser refroidir comme ça mais plutôt à s'échauffer
"Humm avec un tel regard tu dois avoir un beau pic à glace, laisse moi le te réchauffer . J'adore m'occuper d'un bonne glace , on va bien s'amuser"
La langue de Léon passant sur ces lèvres, mais dans l'esprit de son colocataire c'était plutôt dans la perspective d'un autre type de gâterie.