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[Logue Town] Chez Lady

Chez Lady.
Nom : Chez Lady.

Lieu d'implantation : Logue Town. Un quartier pourri.

Lien vers le lieu d'implantation : https://www.onepiece-requiem.net/t94-fiche-d-ile-logue-town

Type de boutique : Gain de berry.

Lien avec le personnage : Le patron est mort, tué par Ishii et une bande de pirates. Le Monstre n’avait pas le choix, c’était sa vie où la sienne. Quand le sang a fini de couler, que les pirates sont parti laissant le bordel sans  dessus dessous, les femmes étaient perdues. Ces trois bouts de chair qui avaient passé la moitié de leur vie à ne faire qu’écarter les jambes pour quelques berrys. Elles n’étaient plus rien sans leur mac, comme les plus dociles des chiens à qui l’on enlèverait leur maitre. Alors Ishii leur a appris à vivre. A prendre plaisir pour ce métier. A sourire sans avoir peur de se faire frapper. A se lever en sécurité, sans se faire violer, cogner, par un Mac aimant trop le sang.

Surface : Moyenne.

Qualité des services/marchandises: Cf au dessous.

Matériel ou matière brut utilisée : Trois bouts de femmes, des preservatifs, des attirails et de l'imagination pour répondre au moindre désirs des clients.

Employés: http://cellar-fcp.deviantart.com/art/two-prostitutes-106774403

Cet air triste, ces yeux perdus dans le vide. La drogue ingurgitée pour oublier de penser. Tout ça s’est transformé en un sourire charmeur, une mine enjoué, un plaisir pour une vie qui au final , n’est pas si mauvaise. Désir et Fany ont réappris à travailler. Agées d’une vingtaine de printemps, elles ne savaient déjà, de toute façon, plus que faire ça. Dépendante de leur mac, de leur protection, elles n’ont pas voulu partir, préféré continué à subir le couroux d’un nouveau patron. Couroux qui n’est jamais venu, qui s’est transformé en respect mutuel.

http://insolense.deviantart.com/art/self-portrait-361787130

Elle aussi n’a fait que ça toute sa vie. Lady comme les deux autres ne se rappelle même plus avoir eu un jour, un vrai nom. Elle a vu les macs passer les uns après les autres, avec à chaque fois, leurs désirs différents, leur tempérament de feu plus ou moins contrôlable. Elle a su jouer pour à chaque fois en réchapper. Et maintenant que son patron ne veut rien que des berrys, ne frappe pas ni ne se met en rage pour aucune raison, elle trouve le temps de nettoyer chaque jour les chambres. De s’occuper de ses filles, de les bichonner du mieux qu’elle peut. C’est une femme résignée, qui n’imagine pas finir sa vie autrement. Elle voit bien pourtant que malgré son talent pour comprendre les désirs chachés de ses clients, ses rides se font plus grandes, ses cheveux plus grisonnants…

Coût du bâtiment : 20 millions.

Total des Dorikis du personnel :30.

Description de la boutique/employés/ etc... :

Vous feuilletez le journal, en buvant votre café. Il y a la tasse brulante qui vous arrive aux lèvres. Vos mains humides, moites, tournent les pages à la recherche de cette information. Et soudain, vous y arrivez. Un timide sourire vient se pointer aux extrémités de vos lèvres. « Chez Lady, vous passerez une inoubliable nuit. ». Presque tremblant, vous griffonnez l’adresse sur un bout de papier et sortez sans même finir votre tasse. Vous passez les rues les unes après les autres, le pas vif, pressé d’enfin arriver. Et enfin… Au milieu d’une ruelle sordide, sans lumière, qui au milieu de la nuit ne sent plus rien que la pisse, vous apercevez cette immense porte de bois. A peine avez-vous frappé que la porte s’ouvre, sans que personne ne soit là. Vous êtes maintenant dans un grand hall où le lierre a gagné chaque parcelle de mur. Sur votre gauche, caché dans l’ombre, vous sentez la présence d’un homme immense, qui ne dit mot. C’est le patron, mais vous vous en fichez. Vous n’êtes pas là pour lui. Quelques loupiottes, ça et là, éclairent timidement une autre porte, plus petite, intimiste. Elle s’ouvre alors pour vous laisser entrevoir une jolie femme. Son corset desserré vous laisse apercevoir une ferme poitrine. Ses longues jambes fines, nues, sans aucun tissu vous appellent. Son sourire timide, sa manière à elle de vous inviter. Vous oubliez l’odeur de pisse de la rue, le drôle de hall et avancez vers elle, presque en courant. Vous entrez dans un couloir où de chaque côté des portes vous laissent espérer de magnifiques chambres. L’odeur d’encens recouvrant le lieux n’arrive pas à cacher celle plus forte de la peinture fraiche. Des lampes accrochées tous les mètres laissent apercevoir une autre femme les jambes écartées, le sourire heureux. Ses longs cheveux roux tombent à hauteur de sein. « Venez me voir » qu’ils vous disent. « Venez me voir ». « Je vous veux toutes les deux ».Elles sourient et sans un mot vous amènent derrière la première porte. Un lit recouvert d’une immense couette rouge prend la moitié de la place.
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