-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

Page 1 sur 2 1, 2  Suivant

La Mancha D Quichano

VOTRE NOM ET PRÉNOM ICI
La Mancha D Quichano 1569676015-quichano-avatarPseudonyme : Paerldamor.
Age : 18
Sexe : Homme
Race : Humain

Métier : Instructeur
Groupe : Marine

But : Incarner un nouveau modèle de noble - Atteindre l'amirauté et déjà ce sera pas mal.

Équipement :
- Une dizaine de T-Shirt  et de pantalon identique .
- Un sabre avec de quoi l'entretenir.
- Une poignée de mousquet avec de quoi les utiliser et les entretenir.
- Une arquebuse à baïonnette avec de quoi l'entretenir et l'utiliser.


Parrain : moi Gruugius

Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Gruugius
Si oui, quel @ l'a autorisé ? ... Raphael

Codes du règlement :


Description Physique

Du bout de ses 18 ans Quichano mesure son mètre quatre vingt. Il possède un corps fin mais athlétique aux muscles noueux forgés par ses gènes familiaux qui au fil des générations de militaires se sont perfectionnés. Son corps porte encore les stigmates des traces de sa vie d’avant la révolution et de celles laissées par l’assassin de Di Auditore et Vendetta. Son corps possède un attribut physiologique rare lui ayant permit de survivre lors de la révolution, et probablement à la sélection naturelle des D La Mancha : son cœur se situe de l’autre côté de sa poitrine.

À sa sortie de son coma Quichano avait les cheveux blancs. Après qu’ils se soient fait intronisé dans la marine, il les a teint en rose pour montrer sa volonté d’établir une noblesse dont les fondements se trouve dans la compassion et la bonté. Sa peau est pâle et son visage se situe entre celui d’un ange et celui d’un enfant espiègle un brin rêveur.

Quichano depuis sa promotion d’officier paraît décontracté et relâché. La plupart du temps il porte des hauts de corps bleu marine et un pantalon en lin blanc. Autrement dit, on est loin des vêtements stricts attendus pour les officiers. En outre, par dessus cet ensemble, Quichano porte une veste à capuche d’officier de la marine dont les épaulettes portent ses insignes brodées tout comme son prénom Quichano dans son dos. Chaque pan de son manteau sont maintenus ensemble au niveau du torse par un chapelet bouddhiste. Pour clore le tout ce dernier porte toujours sa casquette de marine à l’envers, à moins qu’il ne porte un bob de temps à autre suivant le climat.

Il porte toujours sur lui son sabre et lorsqu’il est en mission tout cela est complété par une multitude de mousquet à la ceinture et d’une arquebuse à baïonnette.

Lors de ses missions d’éclaireur il porte une cape brune sombre à la place de sa veste de gradé ou des vêtements de civils.  Lorsqu’il porte ces derniers il préfèrera des choses simples et élégantes, pas de bling bling, pas de clinquant comme il avait l’habitude jadis. La noblesse doit irradier de ses paroles et de ses actes et non dans son style vestimentaire. Le petit plus est son pyjama avec ses oreilles de lapin dont il se sépare  lors des missions d’infiltrations trop risquées.



Description Psychologique
Prévenant, attentionné, il fait montre de qualités humaines que l’on n’avait pas vus chez des nobles depuis Don Quichotte Mjosgard après son retour de l’île des hommes poissons. Quichano, déteste tous ces nobles qui sont comme celui qu’il a jadis été. Le jeune noble à moitié amnésique ne se rappelle que vaguement de ses origines de haute noblesse, ce qui lui génère un sentiment de frustration tant il déteste les attitudes des survivants dans le camp de Fuschia.  Les souvenirs les plus tortueux illustrant le côté sombre de son ancienne personnalité sont apparemment refoulé.

Cependant cette partie là de son passé n'est pas morte pour autant. Si une partie plus lumineuse de sa personnalité naquit après son coma, les parties sombres de son passé existant bel et bien existent toujours et se sont rassemblées dans une partie insoupçonnées de son inconscient formant à la manière de Hukuba pour Cavendish un Alter-Ego qui ne demande qu'à profiter de la moindre faille du personnage pour prendre le dessus. Cela Quichano est loin de s'en doutait, l'occasion ne s'étant pas encore présentée.

Pour lui si l’ancienne noblesse a chuté, c’est parce qu’elle était obsolète, alors le jeune noble veut devenir un nouveau modèle de noblesse : il veut incarner une noblesse d’âme au service des plus démunis. Pas que dans les paroles mais aussi dans les actes. Il n’a eut de cesse d’incarner cet idéal avant même de rejoindre la marine.

Avant qu’il ne rejoigne les rangs de la 475 de Fuschia, il protégeait souvent les plus pauvres des bourgeois et des nobles démunis dans le camp de réfugiés. Et quand il n’était pas au camp il courait à travers les salles de la cliniques pour aider les toubibs et était le premier à accompagner les marines dans le Mont Corbo pour récupérer et/ou négocier des herbes ou autres végétaux médicinaux afin de payer sa dette aux médecins.

Depuis deux ans qu’il est entré à la caserne de Fuschia il s’est nourrit des livres de L’ancien vice-amiral Monkey D Garp, de l’ancien Amiral en Chef Sengoku et également des traités militaires des Contres-Amiraux Koby et X-Drake.

Alors voilà Quichano dans la marine il s’est toujours donné à fond peu importe qu’il soit gradé ou pas. Il a pulvérisé le record de pomme de terre épluché de la 475ème. Personne n’arrive a récurer les chiottes mieux que lui, ni ne repasse et lave les uniformes aussi bien. Mais il fait plus, il se renseigne sur l’équilibre en macronutriments et micronutriments qu’il faut pour maintenir les hommes sur pied et cuisine en alliant saveurs et équilibre nutritionnel quand il est de service.

En tant que sous officier ou officier il agit toujours d’une certaine manière : il montre l’exemple. S’il faut récurer ou éplucher avec ses hommes, il récure et épluche. Il aide les toubibs de la clinique et les paysans dans les champs quand il a le temps ou pour se changer les idées et il exhorte ses hommes de faire de même. Quand les plus faibles commencent à être mis à l’écart il est le premier à se mettre torse poils et à les aider. Le premiers à montrer comment enchainer les exercices de muscus, à faire les 100 tirs par jours, les 100 enchainements de sabre aussi etc. Il encourage. Mais il sait aussi foutre des beignes et des douches froides aux fainéants. Car pour lui c’est comme que ça que l’on devient un modèle.

En combat il ne s’attaque qu’au plus fort, c’est un grand stratège autant en infiltration qu’en bataille de masse ou guérilla. Il est avide de connaissance et d’expériences pour les mettre en pratique. Il laissera toujours une seconde chance comme la vie elle même le lui a offert. Après tout, si elle avait pu changer une enflure comme lui, elle pourrait le faire pour les autres et elle l’avait choisit lui pour montrer le chemin. Quichano préfèrera capturer les criminels pour avoir une chance de les convaincre de rejoindre ses rangs qu’il rééduque avec amour. Si la personne est une vraie ordure sadique qui semble impossible à sauver alors il le capturera si ça prime le permet ou bien sinon c’est la décapitation.  


Biographie

Enfance de Noble :

Ha !!!! La famille D La Mancha, une longue lignée de militaire de Goa. Une lignée qui a connu la royauté de Goa, une lignée présente depuis plus d’un siècle. Une lignée dont les descendants étaient sélectionnés parmi les meilleurs et les plus cruels des enfants.

Que ce soit des hommes ou des femmes, ces derniers abusaient d’esclaves femmes ou hommes, puis une fois que ces derniers leurs avaient donnés des héritiers ils les trucidaient tout simplement. Les enfants apprennent alors l’art du sabre, du mousquet, de l’arquebuse et de lance jusqu’à l’âge de 10 ans puis, sont lâchés dans le Mont Corbo. Les survivants s’affrontent alors dans une arènes se trouvant dans la propriété des D La Mancha sous les yeux de la plus haute noblesse de l’ile et de la royauté.


Quichano fut donc un enfant soldat formé pour être une machine à tuer. Froid, calculateur implacable et par dessus le marché, sadique.  Ayant était le fils d’un des nobles les plus proches de la royauté : Quirinus D La Mancha, capitaine de la garde royale, il abusait de la torture sur les esclaves, encouragé par son père afin de le défaire de tout sentiment de culpabilité où de compassion.

On lui a enseigné depuis tout petit que ces ancêtres ont eu le privilège d’être les protecteurs des Entoilette et des lignées héritières des nobles de Goa qui sont eux même des descendant sauveur du monde. De surcroit il avait tous les privilèges des nobles car le bas peuple devaient le respect à leurs sauveurs et à leurs serviteurs.

Quichano jusqu’à la révolution de Goa s’est fortement teinté de la personnalité froide et sanguinaire de celle de son père et de celle de celui qui lui a servi de modèle : Armando Adamo Rojas Martinez Mendoza. Passé la cruelle sélection des D La Mancha il demanda à son père s’il pouvait devenir un homme de main de Mendoza afin de parfaire son éduction. Chose lui fut autorisée. Trois années de bonheur où il commença à perpétuer la tradition des D La Mancha violant et abusant de belles esclaves féminines tout en peaufinant ses gouts pour son futur harem.

Il aimait sentir la terreur qu’il pouvait susciter surtout au près des nobles. Mendoza utilisait le jeune chef d’escouade pour rappeler au noble de Goa les dettes qu’ils avaient envers lui.  Le prix des joies de vivre était cher à Goa surtout quand celles-ci avaient comme créancier Mendoza et qu’il utilisait un des descendants des nobles les plus tordus de Goa comme huissier.

C’est ainsi que grandit jusqu’à ses quinze ans l’une des pires mauvaises graines de Goa.


La Chute :

En 1623 lorsqu’un saltimbanque accompagné de chats humilia le dernier des Retourtour, c’est avec un plaisir sadique et jouissif que Quichano prit  à 13  ans la tête de son escadron, captura tous les chats de la basse ville et les livra aux cuistots des « déchets ».  Avec une jouissance encore plus sadique, il monta le plan de capture du fameux troubadour rebelle, il le fit tabasser à mort et livra son chat fétiche à sa petite copine de l’époque car oui, même s’il avait déjà son p’tit harem féminin d’esclave, fricoter entre sang bleu amène son petit lot d’épice. Inutile de dire que lorsque ce foutu saltimbanque mit le feu au palais de la famille de sa petite amie après avoir tabassé le jouet de celle-ci et s’être échappé de l’ile avec son esclave sexuel favorite tout en  envoyant son mentor dans le coma lors de sa fuite, son égo prit une claque monumentale.

Maiiis … une claque à l’égo ce n’est rien en s’en remet neh … On ébouillante les esclaves qui ont fuit le navire, on les épluche – un peut comme les tomates en sommes – puis on les prépare comme du bœufs en conserve que l’on revend comme tels dans les quartiers pauvres. Après tout ça on est calmé, oui calmé.

Le traumatisme « Auditorien » de 1625 ça oui c’est tout autre chose. Ça vous envoie dans le coma et ça vous transforme jusqu’à la moelle oui, oui, oui.

« Le pauvre enfant je le comprend » dirait certain « Après la mort du prince et de la princesse préférait de Von Avevez-Sama , on a torturé son père à mort, il paraît que le roi à même arraché la peau de son dos pour en faire un tapis offert à Quichano comme mise en garde. » … Mais pas du tout que nenni ce n’est pas de cela que nous parlons. Nooon, chez les D La Mancha seul les meilleurs survivent et c’est ainsi. Alors si Quirinus était mort dans d’atroces souffrances c’est parce qu’il était faible, parce qu’il avait faillit. . . Cela chez les D La Mancha, s’appelait une opportunité promotionnelle. D’ailleurs Quichano adorait ce nouveau tapis, très pratique pour s’essuyer les pieds.

Non chers amis le traumatisme, c’est cette défaite écrasante, enrageante, humiliante. Cette sensation d’abandon laissé par Mendoza, l'homme qui l'inspirait, l'homme sur qui lui servait de modèle vénéré! Imaginez donc la perte de repère totale !!! Un pleutre, un lâche, une sous merde opportuniste qui voulait être calife à la place du calife !!! Puis vint cette dague plantée là, dans l’emplacement qu’aurait du être son cœur, puis dans son foie par un encapuchonné de l’autre enfumé. Pour couronner le tout, il y a eu les milliers de pas sur son torse qui le piétinent et puis plus rien.  . .

Purgatoire :

Puis il y eu le silence … Après le silence le tunnel, sombre, très , très sombre … et au bout pas la lumière dont on entendait parler des fois nan … un décors d’enfer … fin pas dans le bon sens du terme si vous voyez ce que je veux dire.

Alors vint un temps où dans ce paysage de malheur, il errait, nul eau, nul source de nourriture. Il était trop faible. Souffrance …Peur… Desespoir… Fuite. Avant, il était chasseur maintenant, le chassé. Avant il était prédateur maintenant il était la proie.

Dans ses moments de répits, une étoile lui parlait. Elle lui parlait d’amour, de rédemption, de pardon, de miséricorde.  Peuh au début ça ne prenait pas avec lui, tout ça c’était pour les faibles. Lui, il était au dessus. Les révolutionnaires, Mendoza et compagnie ils méritaient juste qu’il leur fond dessus, qu’ils subissent tous sa colère foudroyante. Il préférait encore devenir un démon et hanter leurs nuits.

Puis dans un laps de temps indéfinissable dans cet univers d’horreur, il se retrouva confronté à son père, transformé en abomination de chairs ouvertes, suintant la crasse, la colère, la haine, la violence. Puis y avait l’homme chien transformé lui aussi par sa haine en une créature horrible, digne des pires cauchemards qui le pourchassait. Dans cet univers il n’avait pas de chance, il était … oui … après une longue fuite perdu dans une grotte, dans un instant de répit, il comprit. Il était faible. Car il ne voulait pas devenir comme son père … ou plutôt … cette chose.

Il écouta alors cette petite lueur qui lui parlait à présent dans son cœur. Ultime goutte d’amour dans son organe desséché nourrit des pires atrocités. Alors il écouta cette lueur d’espoir dans son cœur et parla à cette perle d’amour qui y brillait, à cette lueur qui le réchauffait. Il fuya … se confia … fuya … se confia… pleura…. Se libéra.

Au bout d’un temps, il reconnu la voix qui lui parlait, cette voix douce, maternelle, cette perle d’amour : Paerldamor sa mère. .. Alors dans cette lueur qui brillait dans son ptit cœur desséché qu’il avait pris le temps de ré-arroser de toutes ce qui croyait être les gênes des faibles, il se rappela son enfance perdue à jamais … Et l’enfant pleura, demanda pardon à sa mère, dans de plus grosse larme encore, après avoir pris cette p’tite goutte dans ses mains : se pardonna… L’enfant courut dans les bras de sa mère et alors tout devint amour.

Renaissance
:

Un temps indéfinissable de bonheur, baigné dans l’amour, la compassion, la bonté … enfin la vraie lumière apparemment, celle qu’il avait entendu de la bouche des marins rescapés, dans son enfance. Puis vint le temps de la prise de conscience et le temps des adieux. Sa place n’était pas là, elle était dans le monde matériel. Il avait beaucoup de choses à y expérimenter. Il devait forger lui même sa propre destiné, faire ses propres choix et apprendre de ces derniers, découvrir la vraie sagesse de la vie.

« - Docteur Eustachio le patient revient à lui ! Il ouvre les yeux » BING le poing cogna le crane du Dr Armando.
« -Aïeuh mais vous êtes docteur ou quoi !!!
- Bakaro !! Il ne pouvait que revenir à lui puisque c’est moi qui l’est soigné !!!! »

La suite de l’histoire, c’est trois mois de récupération à l’hôpital de la clinique de Fuschia au lieu de six pour un individu normal. Normal quand on a plusieurs siècles de générations de guerrier dans le sang. Puis une fois remit il prit en devoir d’aider les marines dans la distribution de nourriture. Quand il avait le temps il aidait soit à la cliniques de Fushia, soit dans les champs. Semblait qu’il avait besoin de peu de temps pour dormir. Quand des bourgeois ou des nobles survivants voulaient encore abuser de leurs privilèges, il les envoyait bouler à coup de poings.

Petit à petit son corps retrouva ses reflexes et lui fit sentir son besoin d’action, alors il se joignit au groupe de marines qui s’aventurait dans le Mont Corbo pour cueillir des plantes médicinales. Jours après jours ses aptitudes revinrent, à force d’affronter le bêtes sauvages qui s’y trouvaient.

Jusque là personne ne l’avait reconnu et lorsqu’on lui avait demander son nom il avait répondu Paerldamor. Mais lorsque dans les monts, il entendit plus parler de Goa, des flashs back et des brides de mémoires lui revinrent, et certains rebelles voulurent le capturer, les marines le défendirent et ils revinrent peu nombreux à la base. C’est ce qui donna à Quichano l’envie de s’engager. Il avait détruit tellement de vie que maintenant il voulait se repentir.

Il eut alors un entretient avec le Colonel Sauveur. Il apprit qui il était jadis, sans les détails, juste qu’il était un de ses fumiers de nobles réfugiés du camp de Fuschia, que le jeune Quichano  de maintenant haïssait.
Bien qu’il ne se rappelait plus de rien cela perturba Quichano qui en pleure, jura qu’en son âme actuelle il ne voulait pas ressemblait à ses vermines qui abusaient de leurs privilèges. Il en avait la conviction au fond de lui, s’il était d’origine noble il voulait alors montrer un autre modèle, basé sur le cœur, un modèle au service du peuple et la marine l’y aiderait.

En plus des qualités et des progrès qu’il exécutait dans la caserne, il fit montre de prouesse dans la maitrise des armes. Ainsi lorsque son Caporal Peetar N’ Fury se fit mordre par un chien enragé dans le camp de réfugié lors d’une tournée de distribution de médicaments et de nourritures, il dut prendre sa retraite avancée. Quichano se présenta au concours pour le poste. Il l’obtint facilement.

En 1626, quand les grands noms de l’élite se rassemblèrent de l’autre côté du Corbo pour battre le révolutionnaire, le caporal D La Mancha mena sa petite escouade à travers les bois sur les flancs du mont. Puis ce fut la guerre, certains fuyards tentèrent de s’échapper par Fushia via des tunnels de secours. Coup de feu, coup de sabre, coup de  poing, coud de boule et coup dans les burnes. C’est alors que son sergent  Kesta Tikon fut gravement blessé. Les hommes eurent peurs, cinq kilomètres plus bas c’était le camp de réfugiés. Il fallut prendre la relève. Ni une, ni deux Quichano il prit la casquette de Tikon et il se mit à gueuler. Il rassembla les escouades. Et même si ce fut dur pour lui au début ses gènes reprirent le dessus. Il prit l’escargophone et donna des indications, comme s’il eut était le sergent Tikon, aux autres escouades sur le flanc. Un succès qui en fit un sauveur. Quichano demanda à ce que l’on épargne les prisonniers si c’est derniers voulaient rentrer dans la marines, il s’occuperait d’eux. Après tout à la 475 ème, on manquait d’effectif.

Puis il y a eu l’ultime tentative de rebellion en 1627, les révos survivants n’étaient pas dans le camp de réfugié, nan. Ils s’étaient gourés les gars du CP6. Les révos étaient dans les caves de Fushias, là, un peu partout. Ils ont tenté de soulever le peuple de Fushia mais c’est les escouades de bibi qui les ont arrêté et de surcroit avec les troupes fraichement engagées de la battue de 1626. Un beau succès ! Encore des gens pour s’engager dans la marine. Les plus récalcitrants ont étaient envoyés au bagne de Tequila Wolf. Ils n’auront pas de quoi s’ennuyer, parait qu’elle est mignonne la nouvelle directrice pénitentiaire. Bref ! Deuxième succès pour Quichano, par deux fois il avait fait ses preuves.  Il avait bien aidé son adjudant qui s’était pris un coup de poêle à frire un poil trop fort dans l’pif et paf l’os qui craque et perce le cerveau.  « Monde de merde », avait eut-il le temps d’articuler avant d’clamser l’adjudant. Son sergent chef avait dit qu’il était trop vieux pour ses conneries d’adjudant. Il avait alors posté une lettre de recommandation pour Quichano. Et pouf voilà Quichano propulsé au rang d’adjudant au début de l’année 1627.

Faut dire que c’était du boulot toutes ses jeunes recrues passées d’un camp à l’autre et fallait bien les former. Alors à chacune de ses montées en grade Quichano avait fait muter ses hommes en grade aussi. Les 5 braves qu’il avait sous ses ordres quand il était caporal, devinrent caporal à leur tour. Ils eurent la charge de former les recrues engagées depuis l’opération « ramasse miette ».  Puis quand il fut promut  adjudant, les caporaux sous ses ordres furent nommés sergent ainsi, les plus disciplinés et prometteurs  des hommes de ses nouveaux sergents furent nommés caporaux.

La paix semblait bien revenue ces derniers mois à Fushia et Quichano s’en félicitait. Faut dire qu’il y avait mis de sa patte. Il les avait bien éduqué les nouvelles recrues. Les travaux de labour dans les champs, les missions d’aide au près de la clinique dans le mont, et les missions « restos du cœur » dans le camp de réfugiés, ça vous forge de la bonne graine de marins tout ça.  C’est comme ça que la paix semblait être bien revenue à Fushia. Ouaip mon p’tit gars, tout ça grâce à bibi ! Alors au début de l’automne le colonel Tommy Sauveur convoqua Quichano dans son bureau :

« D La Mancha il y a de la graine d’Officier en vous » qu’il lui avait dit. « Ça tombe bien le vice-lieutenant Sen Nils prend bientôt sa retraite. Préparez vos affaires adjudant, vous partez pour le G2 passer la formation des officiers. » Communication, Infiltration, commandement, Stratégie… il appris plein de choses intéressantes, et puis il y avait la promesse du terrain, de l’action !! Oui, oui c’est vrai il aimait bien ses p’tits bleus mais fallait un jour couper le cordon pour qu’ils puissent grandir les petiots. Alors il révisa d’arrache pied, il mis tout ce qu’il avait dans le cœur à cet examen Quichano. Plusieurs mois après, il eut le sourire aux lèvres quand il vit qu’il était tout en haut de la liste des résultats. Il fut alors convoqué dans le bureau du colonel Dutch Warp. Pourquoi ? Seul l’avenir nous le dira.



Test RP









   
[/color]
Informations IRL


• Prénom : Thibault Dupuis
• Age : 30 balais ( ouaip les ch'veux blancs pointent le bout de leur nez de temps en temps)
• Aime : le développement personnelle, la lecture et tout ce qui touche à la créativité.
• N'aime pas :  Heu joker ...
• Personnage préféré de One Piece : Y en a plein mais ouaip Shanks le Roux.
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? social, ouvert d'esprit, créatif.
• Fait du RP depuis : début du Lycée donc heu ... 14 ans
• Disponibilité approximative : deux trois jours par semaine.
• Comment avez-vous connu le forum ?
recherche internet

ONE PIECE REQUIEM ©



Dernière édition par Quichano le Dim 27 Oct 2019 - 11:04, édité 27 fois
    Dix jours pour terminer, tu connais la chanson.

    À plus sur OPR !
    • https://www.onepiece-requiem.net/t21326-uzi
    • https://www.onepiece-requiem.net/t21315-tim-uzi
    Salut à tous !

    Présentation finie ! En attente de Test RP Very Happy Very Happy
      Salut ! Je viens pour ton test RP. Smile

      Un jour, sur [île de ton choix], Quichano fait la rencontre d'un homme. Celui-ci lui expliquera l'avoir déjà rencontré dans le passé, déversant toute la rancœur qu'il ressent pour l'odieux personnage dont il avait autrefois croisé le chemin. Quichano va devoir faire face à la situation et lui expliquer, voire lui prouver qu'il n'est plus le même.

      Bien sûr, s'il ne te convient pas, tu peux toujours en demander un nouveau.

      Bonne écriture ! bounce
      • https://www.onepiece-requiem.net/t20401-fiche-technique-de-farros
      • https://www.onepiece-requiem.net/t20354-presentation-de-farros
      Hello je vais avoir une fin de semaine chargée et même être très occupé jusque mardi soir. Est ce que du coup j ai une date limite pour le test rp.
        Le test RP est à effectuer sur 10 jours, il te reste donc 5 jours pour le rendre.

        Tu peux demander un délai si besoin.

        Voilou !
        • https://www.onepiece-requiem.net/t16409-fiche-technique-de-myoso
        • https://www.onepiece-requiem.net/t15222-
        Oki, alors je veux bien un délai supplémentaire siou-plait :-)
          Je devrais finir de tout poster tard demain soir tongue tongue tout juste dans les temps Very Happy Very Happy Very Happy
            Bonsoir a tous

            Je sais que j ai deja demande une rallonge. J aurais du finir l ecriture mais me suis paume dans la ville suisse ou j ai rejoins ma cherie. Nous venons juste de rentre et meme si je rattaque dans les minutes qui suivent ce message il le faut trois j ai une moyenne de une pages par heure a peu pres sans compte la relecture.

            Serait il ce possible de me rajouter 5 jours ce sera emplement suffisant
              Accordé, mais n'abusons pas des délais non plus. ;)
              • https://www.onepiece-requiem.net/t21326-uzi
              • https://www.onepiece-requiem.net/t21315-tim-uzi
              Merci beaucoup !!

              Je devrais finir la redaction demain. Et donc poster soit lundi soir soit mardi matin.
                Merci beaucoup !!

                Je devrais finir la redaction demain. Et donc poster soit lundi soir soit mardi matin.
                  TEST RP :

                  Été 1625 :

                  Révolte, haine, espoir et ambition, des sentiments qui, il y a maintenant plusieurs mois, ont fait de l’ancienne Goa un champ de ruines et de Fushia, un immense camp de réfugiés. Pour parvenir à soigner ces miséreux, la 475 ème Garnison de la marine mis la main à la patte et avec eux les survivants bénévoles qui en eurent le cœur. C’est ainsi que la plupart œuvre main dans la main pour aider les habitants de la petite ville et les hommes de la clinique.

                  Parmi ces bénévoles se trouve un jeune ado âgé d’une quinzaine d’année. Paerldamor, rien que ça, porte un nom qui lui va si bien ! Il est tellement généreux ! Il n’a de cesse de mettre au service des autres chaque minute de son existence, depuis la sortie de son coma. Et les gens, fallait dire l’aimaient bien. Enfin pas tous évidemment, les bourgeois et autres nobles survivants comme cet Amadis de Retourtour qui voulait toujours plus que les autres, eux ne l’aimaient pas. Les pauvres ont pouvait les comprendre, car à défauts de beignet, mets qu’ils adoraient et ne cessaient de réclamer c’était des beignes qu’ils recevaient la plupart du temps du jeune Paerldamor.

                  Aujourd’hui est une journée merveilleuse pour Paerldamor, car il accomplit une fois encore son passe temps favori : aider ses prochains de tout son cœur. C’est ainsi qu’il se mit à accompagner au cours des jours qui passèrent le docteur Armando et l’escouade du Caporal Peetar N’Fury dans le Mont Corbo. Certains pourraient trouver cela bizarre qu’un adolescent accompagne une telle procession dans cette montagne aux bêtes plus féroces les unes que les autres mais ce n’était pas le cas du docteur Armando et de son escouade protectrice.

                  Assis autour d’un feu de camp la joyeuse troupe bois, braye autour d’un marcassin dont la taille serait celle d’un sanglier ordinaire. Les hommes de N’Fury s’exclament joyeusement fêtant l’exploit de leur chasse, mais tous savent que cela n’est rien comparé à l’énorme loup aux pelage gris argenté qui servait de dossier chauffant à Pearldamor. Couverte de cicatrices, borgne la bête aurait pu sans problème dévorer le docteur et les marines présents, mais elle dormait là près d’eux comme un toutou rempli d’amour et protecteur.

                  Paerldamor l’avait domptée à coup de poing, de clefs de bras et de rôtis de sanglier quelques mois auparavant. Depuis Wolfy était devenu un fidèle allié qui portait sur ses flancs les affaires de campement de tout le monde. Par le passé, les marines avaient bien essayé de revenir sur la partie du Mont Corbo que le loup avait marqué comme son territoire mais ce dernier les en avait sauvagement chassé à chaque fois. Il fallait bien l’avouer Wolfy comme l’appelait le jeune adolescent l’avait reconnu comme mâle alpha et seul maitre. Or c’était un problème car sur le domaine du loup se trouvait plusieurs variétés de végétaux rares possédant des vertus thérapeutiques précieuses que prisaient les toubibs de la clinique de Fushia. D’un commun accord les hommes du Colonel Tommy Sauveur ont finit par accepter la présence nécessaire de l’ado lors de leurs sorties en montagnes.

                  Scrountch, scrountch, scrountch …

                  Et ce bruit là c’est le bruit que l’ado fis en mangeant goulument l’énorme cuisse qu’il vint d’arracher du rôti.

                  *Haaaa !!! Qu’est ce que ça fait un bien fou putain d’être en pleine nature !! Haaa la respiration de Wolfy et si apaisante Haaaaaa !!! Et ce morceau de sanglier *

                  Harm ..Scrountch, scrountch, scrountch

                  - C’est pété de bontéééé !!! Mmmmmmh !!! Et cet hypocras trop booon !!!

                  Glou, glou, glou … slurps, slurps


                  - Ca fait du bien une bonne rasade ! Hé les amis vous en revoulez !!!??

                  Les soldats de l’escouade s’exclamèrent de plus belle, et voilà que l’alcool coule de nouveau à flots dans les gobelets de bois.

                  - Fwihihihhiihihhi !!

                  Seul le caporal tempéra tant bien que mal son calme. Il regarda le docteur Armando lister les plantes, puis l’interpela lorsque ce dernier émit une moue contrariée.

                  - Tout va bien docteur Armando vous avez l’air contrarié ?
                  - Oui, oui tout va bien caporal, tout va bien, c’est juste que … je pensais trouver une plante plus rare sur le territoire de Wolfy, mais il semblerait que nous ne sommes pas assez haut en altitude.
                  - Nanni ? On a qu’à monter plus haut alors, vous en faites pas pour les animaux je m’en chargerai.

                  Afin d’illustrer ses propos Paerldamour effectua un moulinet du bras et fit un signe en tapant son biceps de la main opposée à ce dernier. L’officier lui, se permit de faire une grimace avant de cracher un crachat noir de tabac sur le sol à côté de lui et de boire une rasade.

                  - Ca ne servira à rien là où on va devoir aller Paerldamor . Ce n’est pas la jungle sauvage où l’on va aller mais la jungle humaine.
                  - La jungle humaine comment ça ? Ca à l’air marrant ça. Fwihihihihiihihii !!!
                  - Tu n’es jamais aller au sommet du Corbo Paerldamor depuis que tu es réveillé n’est-ce pas ?
                  - Non, pourquoi ?
                  - C’est devenu un vrai merdier depuis le temps, tous les survivants qui ont fuit la révolution se sont rassemblées en village éparse.  Nos sources nous ont rapportés que si les habitants des sommets ont perdu une grande partie de leur confiance en Rafaello di Auditore et l'armée révolutionnaire, ils ne portent pas pour autant la marine dans leur cœur.

                  *Rafael..d..Audit…* Boum, boum, boum *Révolut…Goa* Boum, boum … boum, boum * Putain qu’est-ce qui m’arrive ! J’ai l’impression que ces mots…ces faits … non ça peut pas être ça j’ai du boire une choppe de trop, oui voilà c’est ça une choppe de trop*

                  - Paerldamor ça va ? Répondez-moi tout va bien ?
                  - Oï tout vas bien petit.
                  - Ouaip caporal ! ouaip, j’ai du boire une choppe de trop va falloir que j’arrête la choppine que j’crois.
                  - Mmmmh ?

                  Le caporal observa un moment le jeune homme avant de reprendre.

                  - Quoiqu’il en soit ce sera trop dangereux pour nous de vous y accompagner docteur Armando. Tout ce que nous pourrons faire c’est vous passer un escargophone pour nous contacter en cas de besoin. On vous accompagnera jusqu’à proximité du village le plus proche. Paerldamor , vous devrez escorter le docteur est-ce que ça ira pour vous ?

                  Boum.. boum, boum, boum

                  *Bordel pourquoi est-ce que mon cœur bas aussi fort et surtout pourquoi j’ai un mal de crâne pareil moi ? La bibine m’a jamais fait un truc du genre… gmmbl, grrrmmm*
                  - Ouaip Caporal N’Fury, v’s’inquiéter pas je prendrai soin du docteur Armando, faut bien qu’on arrive à la soigner la petiote de Cunégonde. Et pour ça j’irais jusqu’en enfer s’il le faut. Fwihihihi!

                  Sous les ordres du Caporal les soldats finirent leur dernière choppe, savourèrent leur dernier morceau de repas et s’enfoncèrent dans leur futon. La nuit fut paisible pour tout le monde et la petite troupe se leva de bonne heure. La journée en revanche s’annonça sous de mauvais hospices, le ciel commença à se couvrir, et un mauvais vent marin commença à souffler. Vous savez ce genre de vent qui amène d’énormes nuages grisâtres et noirs.

                  Le chef de la troupe cracha une nouvelle fois un mollard noir de tabac par terre, Wolfy grogna en regardant le ciel, le docteur Armando tira une moue inquiète, et Paerldamor ne put s’empêcher de regarder son accoutrement avec une pointe d’ironie. Le jeune ado n’avait pour tenue qu’une simple casquette, un vieux T-shirt mité, un vieux jogging  troué de ci de là, tout comme les baskets qui lui chaussaient les pieds laissant apparaitre quelques orteils. Le caporal distribua une cape à tout le monde.

                  La petite troupe prit la route prestement, alors que les premières averses commencèrent à tomber. Afin de gagner du temps on installa le docteur Armando à califourchon sur le dos de Wolfy. Nombre de fois les soldats du caporal glissèrent dans la boue. Autant vous dire que les tenues si impeccables qu’ils portaient commençaient à être de plus en plus marrons. Finalement après plusieurs heures de marche forcée, des fumées se firent voir, traces grisâtres sinueuses s’élançant vaillamment vers les nuages.

                  La troupe fit une nouvelle halte à ce moment là. Paerldamor jeta un regard circulaire à sa petite compagnie. Les capes de chacun étaient trempées. Les hommes du caporal s’adossèrent aux arbres et commencèrent à vérifier l’état de leur équipement. Peetar se ralluma une clope survivante de son paquet puis prit la parole.

                  - Voilà nous sommes à la limite d’où nous pouvons vous accompagner Docteur. À partir de là, on ne peut compter que sur vous Paerldamor.
                  - Haï ! Vous pouvez compter sur moi Caporal ! Professeur, on y va quand vous voulez ! Une jungle humaine, comme c’est excitant fwihihihihi !

                  Le professeur acquiesça et accompagné du jeune adolescent descendit le  faussé qu’ils surplombaient peu de temps avant. Ils arrivèrent ainsi à un sentier de terre battue qui les mena à une gigantesque palissade en bois au centre de la quelle se trouvait une énorme porte en bois. Au dessus de la porte un écriteau affichait : « Grobousiai ». Au sommet de la palissade des hommes les interpelèrent. Armando et Paerldamor durent présenter leur identité ainsi que la raison de leur venue, suite à quoi on leur ouvrit la porte et on récupéra leur manteau trempé pour leur offrir des capes sèches de prêt.

                  Paerldamor suivi le médecin jusqu’à un souk couvert. L’ambiance était chaleureuse, chacun criait presque pour se faire entendre.  L’ado n’en revenait pas il y avait de tout : des vêtements des plus simples au plus noble en parfait état, des couverts divers en bois, en argent, en acier. Il y avait ici des épices, des légumes qu’il n’avait jamais vus. Par ici un vendeur d’œuvre d’art négociait, peintures, sculptures allant de la figurine aux statuts à taille humaine. Par là un vendeur de vase tous aussi plus exotiques les uns que les autres avait étalé ses produits.  Certains vendaient des tapis, d’autres des meubles en tout genre, de multiples de types de bois et encore tout ceci n’était qu’une toute petite partie de ce que pouvait contenir ce souk.

                  Le docteur Armando était en intense négociation avec un herboriste et dieu sait qu’il n’était pas doué pour ça.  Ce vendeur abusait clairement. Les hommes ici étaient de vrai escroc, il ne pensait qu’à s’enrichir sur le dos des autres. Ce qui avait la faculté de mettre le docteur Arnando hors de lui. En bas dans le camp de réfugiés, la petite de la vielle Cunégonde était à deux doigts de la folie à cause de ses règles douloureuses et seul une variété rare d’estragon poussant au sommet du Mont Corbo pouvait l’y aider.  Au final le docteur Armando avait réussi à faire considérablement baisser le prix de la plante. En sueur il rangea le précieux végétal dans son herbier, non mécontent de son exploit même  si il ne lui restait plus beaucoup de Berrys en poche.

                  - Bien une bonne chose de faite Paerldamor ! Il ne nous reste plus qu’à retourner à Fushia mon pt …

                  Les yeux du docteur faillirent lui sortir de leur orbite lorsqu’il se rendit compte qu’à la place de l’adolescent se trouvait un espace vide. Un milliard de pensée lui traversèrent l’esprit. Le docteur ne craignait rien, mais Paerldamor… il ne connaissait pas le passé du jeune Paerldamor, mais ici certains pouvez très bien le reconnaitre.

                  *Holala Catastrophe, il pourrait lui arriver malheur, il faut vite que je le retrouve, vite, vite, vite. Mais non, mais non, calme toi, le petiot il est adorable, il ne peut qu’avoir était quelqu’un de b… non, non ça réaction d’hier, c’est pas un symptôme post traumatique de réveil amnésique de souvenirs refoulés ce n’est pas possible. Reprends-toi mon vieux, tout se passera bien pour l…*

                  BraaaaaaAAAAAAAAAAM

                  Le bruit de meubles qui se fracassent fit tomber le docteur à la renverse, le sortant violemment de ses pensées.

                  - La Mancha !! Kisama !!!

                  La Mancha D Quichano 1571958422-ynhc

                  Une petite heure avant que son poing ne heurte l’homme qui attisait toute sa rancœur, Sancho, jeune membre de l’état-major révolutionnaire de Goa avait eu pour mission de se rendre au village de Grobousiay pour aller à la rencontre de nouvelles recrues et récupérer d’éventuels biens. C’était une mission que le jeune révolutionnaire avait effectuée plusieurs fois sans bavure, une routine rodée depuis six mois. Une routine qui aujourd’hui dérailla.

                  Sancho avait tout perdu. L’amour de sa vie à peine tombée enceinte de lui  avait été marié au plus sadique des Bourgeois du royaume pour sauver la face de la famille de son amante. Elle n’avait pas été mariée à n’importe qui mais à l’homme le plus mauvais après la famille royale de cette ile : le commandant de la flotte, que tous surnomment "le boucher". Déjà rendu malheureux d’être séparer de la femme qu’il aimait, et de savoir qu’elle passera le reste de ses jours dans une douleur et une tristesse sans fin, sans amour, ni reconnaissance. Il avait survécu à l’immolation de sa famille dans un de leur hospice. Le nom de ce bourreau : La Mancha D Quichano.

                  Quelques minutes avant qu’il n’expulse sa haine sur l’homme à l’origine de toute sa souffrance, il se promenait dans le souk. Lui et les cinq révolutionnaires qui l’accompagnaient s’étaient séparés avec chacun une liste de bien à récupérer dans leurs main. Caché par une longue cape imperméabilisée l’homme ne l’avait pas reconnu mais lui oui. Au début il eut du mal à y croire tellement l’immonde bourreau de sa famille avait changé d’apparence. Cependant les yeux l’avait trahit. Il voulut en avoir le cœur net, et par chance put trouver chez un marchand d’art un tout petit portrait de l’adolescent. Le doute n’était plus permit. Il sentit la colère monter en lui, une colère légitime. Il marcha droit vers l’objet de sa haine, et lui balança un uppercut droit dans le nez. L’homme prit par surprise alla s’écraser en une vrille disgracieuse sur un meuble d’un commerçant quelques mètre plus loin.

                  - La Mancha D Quichano !!!!! Pourriture !!! Comment t'as fais pour survivre !!!! Et merde de tous ses nobles à gerber fallait que ce soit toi qui survives !!!

                  Paerldamor se releva goguenard. Heureusement ses combats avec les prédateurs les plus féroces du Mont Corbo l’avait endurci. Sans nul doute que sans son entrainement sa colonne vertébrale y serait passée. A peine eut-il le temps de reprendre ses esprits que l’homme fonça sur lui pour lui asséner un autre coup, mais cette fois même goguenard, son instinct l’averti et il esquiva l’attaque en roulant sur le côté.

                  - Je sais pas qui vous êtes monsieur, mais vous devez me confondre avec quelqu’un d’autre je vous assure. Je ne vous connais pas et tout ce que je sais c’est que mon nom est Paerldamor, par Quichano Le Mancho
                  - Niaahahaha ! Kuso Yaro ! Tu veux faire croire ça à qui hein !!! J’vais t’péter en deux !! Tu t ‘esquiveras pas !!! Personne ne te croiras !!!! J’vais t’briser !!! Shine !!!

                  L’homme chargea de nouveau feint à gauche, coup de genoux, droite, coup de pied retourné. Des attaques remplies de haine qui rendait les postures de son assaillant trop prévisible. C’est sans mal que Paerldamor les évita. Paerldamor n’avait rien contre cet homme et son expérience contre les bêtes enragées du mont lui avait appris que la meilleure solution était d’esquiver les attaques du fauve jusqu’à ce qu’il s’épuise. Ainsi il se passa quelque chose : plus il évitait, plus l’échange perdurait et plus le visage de son agresseur commença à émerger de sa mémoire. Sa tête se mis à lui faire de plus en mal, jusqu’à ce que les battements de son cœur résonnent comme des tambours infernaux dans ses tempes.

                  *Bon sang qu’est ce qui m’arrive à nouveau, j’étais sur d’avoir bien décuvé ce matin en partant, qu’est-ce que …*

                  Sa pensée fut coupée net au moment où son adversaire réussi à lui asséner un coup de poing en pleine tête. Sous le coup Paerldamor recula de plusieurs pas. Sonné il fut réceptionné par la foule de gens qui s’était réunie en un cercle autour d’eux deux. Avant d’être rejeté violemment au sol.

                  - C’est vrai c’est bien lui ? s’écriaient certain.
                  - Non ça peut pas il était blond avant ! Et son visage était différents. !!
                  - Non c’est bien lui !! Lança Jacob le marchand d’art. Regardez-sur ce portrait que j’ai pu récupérer à la capitale c’est les mêmes yeux, la même implantation de cheveux !!!

                  Un brouhaha se fit entendre. Comment ! Un fils de la pire vieille noblesse de l’ile se trouvait ici ! Vivant de surcroit, se promenant de manière innocente !!

                  - Niaahahahahaha t’es foutu La Mancha !!! Niaaahahahaha, Niiahahaha je sais pas quelle folie t’as pris de venir ici, dans un lieu où tu es le genre de personne que tous déteste et voudraient voir pendu à un gibet, mais une chose est sûr t’es fouchtrement fichu Nihahahahaha !

                  Le bruit de la foule s’effaça petit à petit alors que le visage de son agresseur se superposa à des brides de souvenirs qui lui revenaient. Son esprit qui dans un ultime effort de contenir ces germes du mal, lui donnait un mal de crâne impitoyable. L’image d’un bâtiment en flamme lui apparu alors, les cris de centaines d’âmes en train de mourir dans la pire des agonies lui revenaient. L’odeur de la chair carbonisée en masse, surgissait de sa mémoire olfactive. Un écriteau «  De Goya Hospice » tombait de l’encadrement de la porte comme s’il voulait à tout prix survivre au feu dévorant. Paerldamor une main dans un gant raffiné de soie précieuse récupérait l ‘écriteau de bois. Il sentit le sadisme monter en lui, une jubilation de l’acte bien fait, de la mission bien accomplit. C’est dans ce sentiment pourtant si détestable pour le Paerldamor de l’époque actuelle, qu’il se vit jetait se dernier écriteau dans les flammes. Un rire tonitruant et horriblement diabolique sortait de sa gorge, et une phrase qui tomba comme une sentance :

                  « Bien ils ont eu une fin à la hauteur de ce qu’ils étaient : opération désinfection des cafards terminée Niii ha hahahahaha !!! Des cafards hahhaha ».

                  Une violente douleur à l’estomac le sorti de son effusion de souvenir. Sancho venait de lui asséner un violent coup de genoux. Etait-ce la douleur du coup ? L’horreur des souvenirs qu’il a vu ? Ou peut-être les deux ? Toujours est-il qu’une subite envie de vomir le prit. Son estomac et ses intestins se mirent à se tordre de douleur, comme s’il voulait se purger de quelques choses. C’est ainsi que le savoureux sanglier de la veille fut déballé sur la terre battue du souk.

                  Ses tympans lui battaient la chamade, et les tambours battaient toujours dans son crâne. Il y avait aussi cette barre de fer dans la tête. Cette fucking de barre de fer. Les yeux révulsés, le teint blafard, Paerldamor ne savait plus ni où il était, ni ce qu’il était tout à coup.

                  * Non ça ne peut pas être moi que j’ai vu, je ne suis pas comme ces poubelles à luxures du camp de Fuschia. Et merde pourtant ça avait l’air d’être moi, qui suis-je, qui suis-je putain d’merde. La M.. D Quichano ? Il a dit un truc du style tout à l’h*


                  Le coup de pied retourné de Sancho l’arrêta une nouvelle fois dans ses pensées alors que Paerldamor venait à peine de se redressait. L’adolescent tomba sur la foule amassée autour, et se prit un violent coup de boule dans l’pif qui l’envoya une nouvelle fois au sol au centre de l’arène improvisée.

                  Sancho tira sa capuche et laissa voire pleinement son visage.  La moitié de son visage était cachée par un masque à oxygène. Des cheveux bruns en bataille. Un regard fier remplit d’amertume, de haine, portait des yeux marrons le regardait fixement. Ses yeux prirent une teinte rouge sang alors que l’homme s’approcha d’un pas presque mécanique de lui. La peur … ouaip la peur. Elle le prit à cette instant cette homme là pouvait le tuer.

                  Il s’avança vers l’adolescent. Paerldamor ne pouvait rien faire tétanisé par ce qu’il avait vu. La foule scandait Sancho de finir « cette ordure », « Ce sang bleu.. ». Et lui ne savait toujours rien de tout ça.  Alors que le révolutionnaire l’attrapa par la gorge de ses deux mains une seule pensée tonnait fort dans son esprit

                  * Qui suis j… b… m … *

                  Paerldamor, sentit sa tête devenir froide, le sang arrêta d’alimenter son cerveau, au moins il avait plus cette foutu barre dans le crâne. Il sentit le CO2 envahir ses poumons … Sancho souriait, sa vengeance était accomplie

                  * Euphémia … après tout ce temps nous allons enfin être vengé. Armando il ne restera plus que toi ..*


                  - Bon Baiser des De Goya pourriture de cafard !!!


                  La Mancha D Quichano 1571943238-sancho

                  Purupurupuru … purupurupuru.


                  - Caporal Peetar N’Fury, j’écoute.

                  - Caporal, c’est horrible ! Catastrophe ! Drame ! Paerldamor ! Danger ! Passé ! Trouble… mémoires !
                  - Calmez vous Armando respirez un coup et dîtes moi ce qu’il se passe c’est Paerldamor, il est en danger c’est ça ?
                  - Oui c’est ça ! Faut faire vite !!
                  - Vous avez votre herbe ?
                  - Oui m..
                  - Vous êtes où ?
                  - Caché dans une toilette sèche à côté du souk. Lui est au souk.
                  - Ok bougez pas on arrive.

                  * Et merde manquait plus que ça. Et en plus on est trop loin de la base pour appeler des renforts shit !!! Bon au moins ça permettra de ne plus nous geler les miches*

                  Peetar jeta le reste de son mégot par terre et s’en ralluma un autre. Fallait bien se réchauffer comme on pouvait. La pluie tombait plus drue à ce moment là, il faisait presque nuit entre l’obscurité amené par les nuages et l’ombre des arbres. La foudre frappa un sommet éclairant la scène. Le loup regardait intensément le caporal et comme s’il avait comprit ce qui se passait se mit en mouvement. Le gradé tira une nouvelle bouffée et regarda ses hommes. Ils étaient prêts. Tous formés pour ces moments de complication là. Un peu d’action ne ferait pas de mal à personne.

                  - Les gars quand faut y aller, faut y aller. Première classe Kurozaki, vous prenez les secondes classes avec et vous extrayerez le toubib. Quant à moi je m’occupe de la jungle, si Wolfy n’est pas encore en train de le faire.
                  - A vos odres mon caporal.
                  - Roger !!

                  Tous savaient ce qu’ils avaient à faire. Les portes d’entrées avaient été lésées de leur garde, soit l’agitation causée par le môme du attirer toute l’attention, soit le loup avait du faire fuir les gardes, ou les deux. Les hommes du caporal partirent sur la droite, Peetar lui marchait droit devant lui, droit vers d’où venait le bruit. Il dégaina son arquebuse dans ses mains. Une foule était amassée dans le souk. Civil rescapé, bandit, ancien criminel et autre misérable que la société avait rejeté se trouvaient là. Tous des gens qui risquaient de ne pas  apprécier les p’tits gars de la marine.

                  Le caporal jura et cracha son fidèle mollard noir par terre. Ca se présentait pas bon. Des personnes de la populace balancer des objets sur l’ado et qui plus est scander à sa perte. L’opposant enleva sa capuche. Et le visage de l’homme parla tout de suite au caporal pour avoir sa photo sur des avis de recherche présent partout dans la caserne. Sancho de Goya un cavalier de la révolution, membre de l’état major du roi des ordures. Ca va être corsé. Mais surtout Peetar se questionna pourquoi une telle tête d’affiche s’en prenait au p’tit. Reprenant ses esprits le gradé se racla une dernière fois la gorge qu’il savait encrassait par le tabac. Puis tira un coup de mousquet en l’air.


                  - Que plus personne ne bouge ! Caporal Peetar N’Fury ! Ecartez-vous !


                  Son esbroufe ne fonctionna pas. Au contraire les gens s’étaient resserraient de son côté et laissèrent un passage au révolutionnaire.

                  - Chikuso, d’la bleusaille !!!

                  BANG ! Le colt si coup fit feu sur le visage de Paerldamor, la bille de peinture qui partit du canon vint s’éclater sur son nez et lui recouvrit la tête de gris.

                  - Color Trap ! Grey Spleen !!!

                  Le révolutionnaire fonça alors sur l’ado, le hissa sur son dos avant de prendre la fuite.  Le caporal voulu le stoper mais la foule forma tout de suite un bloc compact. Visiblement la rancœur etait telle que la populace locale préférait protéger un révolutionnaire plutot qu’un brave gradé de la marine. .

                  * Bon sang mais qui est-ce que tu pouvais bien être l’minot pour que ces foutus villageois agissent ainsi.*

                  Plusieurs brigands tirèrent leur sabre de leur fourreau, certain dégainèrent des dagues, d’autres des rapières et quelques uns sortirent carrément un mousquet de leur cape. N’Fury pesta sous sa coupe. La situation s'agravée avec une amertume odeur de retraite. Par dessus la foule il aperçut le révolutionnaire aidé de ses comparses s'éloigner avec l’ado sur son dos. Mais les premiers coups fusèrent, il esquiva un sabre, puis un second et contra une dague. Une table lui servit de bouclier pour parer les coups de feu qui le visait. Son den den mushi sonna.

                  - Caporal ici le première classe Kurozaki ! On a récupéré le toubib vous êtes où qu’est-ce qui s’passe on a entendu des coups de feu.
                  - Retraite première classe ! retraite ils sont plus déchainés que d’habitude on se retrouve au point de raliement comme prévu, on sauve d’abord le toubib.
                  - Et Pearli mon caporal ?
                  - Retraite j’te dis !
                  - Roger Caporal !!!

                  La fuite fut effrénée, les hommes du caporal aussi durent se battre vaillamment pour s’extraire du village et ils bénirent que les portent n’étaient plus gardée. Les marines se rendirent comptent également que passé ces dernières les villageois s’étaient contenter de quelques coup de feu intimidant et de les regarder partir. Visiblement ils voulaient juste les chasser. Le bilan était mitigé chez les marines, certes ils avaient récupérer le médecin, mais sans le mioche ils ne pourraient plus jamais récupérer de précieuses fleurs médicinales. Peetar regarda maussade le docteur soigner ses hommes. Sur le sol un énième mollard noir de tabac vient compléter l’arabesque déjà éclatée des précèdent.

                  * Bon sang gamin mais qui t’étais bordel ! C’est quoi c’foutoir. Et puis il est passé où ce foutu clébard nom de Deus*

                  - Fuck It. Furent les mots qui conclurent l’opération récupération demi-caduque de l’escouade N’Fury.


                  Une heure plus tard après cette débandade de la marine, la foudre tomba près d’un sommet. Les différentes branches de l’arc électrique éclairèrent une scène loin d’être ordinaire. Sur un monticule rocheux, alors que des cordes, et des cordes d’eau tombent du ciel  un loup énorme hurle et hurle encore à la lune malgré que cette dernière se cache derrière les nuages cycloniques. Le loup hurle, hurle. Un chant funèbre. Plusieurs kilomètres en contrebas les villageois de « Grosbousiay » se terrent dans leurs cabanes, les hommes de gardent pestent. Les chasseurs du village reconnaissent ce chant. Ce n’était pas une complainte d’amour. C’était une complainte de mort.

                  Sur son piton rocheux, les yeux brillant de Wolfy, luisaient d’une lueur malsaine, une colère irascible. On avait portait atteinte au mal alpha, et par ce biais on avait déclaré la guerre à la meute entière. Il fallait tous les rassembler, il était temps de sonner l’hallali.  Les loups n’aimaient pas la pluie, mais lorsque, des quatre coins du Territoire il entendit les autres répondre à son appel, ses babines s’étirèrent. Sa tête aurait presque pu prendre un air humain, et sa gueule un sourire carnassier. Ils étaient fait comme des rats, la chasse allait pouvoir commencer.

                  - Tu nous as foutu dans un sacré merdier ! Sancho, d’abord la Marine ! Ensuite cette meute de loup ! Je n’ai pas envie de crever ici comme un rat moi, t’as pigé !
                  - Calme toi Rodrigo ! La bleusaille ne viendra pas nous chercher ici, il y a que la volte qui connait cette grotte. De plus nous ne sommes pas sur le territoire des loups ici. Ils y viennent que rarement et puis avec la pluie ils auront du mal à sortir.
                  -  Même sans ça. Intervient un troisième révolutionnaire plus calme qui se tenait à l’entrée de la petite grotte. Tu viens de causer un sacré coup à la révolution. On était sensé agir incognito. Grosbousiay est sous le joug d’un compte à rebours maintenant. Et la volte est trop faible. On manque de monde, on est trop faible et cerné. On arrive tout juste à trouver de nourrir les survivants planquer dans les tunnel.
                  - Django à raison Sancho. Je ne sais pas ce qui t’a prit, qui était ce type pour toi. Mais là tu nous as tous foutu dans la mouise.

                  Sancho grinça des dents. Il le savait. Il avait déconné est ce qu’il avait engendrait pourrait avoir des graves répercussions pour beaucoup de monde. Mais il n’arrivait pas à s’extraire de la colère. Pourquoi entre tous, ce crevard avait survécu. On lui avait dit qu’il avait succombé lors du dernier assaut. Un mec de l’Umbra lui avait même confirmé qu’il lui avait personnellement planté sa dague en plein cœur. Quand ils seront sorti de ce merdier il en toucherait deux mots avec l’encapuchonné.

                  Des bruits de pas le sortirent de sa rêverie. Pizarro sortit de l’ombre de l’arrière de la grotte. Sa mine était particulièrement maussade. Ça sentait le bottage de cul, le roussi, la fessée cosmique. Quelques minutes auparavant le cinquième révolutionnaire de la troupe c’était isolé pour faire le bilan de l’excursion avec leur chef : le roi des ordures. Pizarro s’avança en rogne, et sa beigne atteignit de plein fouet l’utilisateur du color trap qui trébucha contre une paroi de l’abri et manqua de tomber sur leur prisonnier. L’homme au den den mushi, extrais une cigarette miraculeusement sèche de sous sa cape.

                  - De la part du Roi. Bakaro.

                  Pizzaro laissa planer un silence qui en disait long. Personne ne bronchait tous avait le sentiment que ce qui s’était passé aurait des effets sur la face de l’île de Dawn. Tous avaient la sensation que l’on éprouve à lorsque l’on est dans l’œil d’un cyclone. Lorsqu’il eut finit sa clope Pizarro l’écrasa et la plaça dans une de ses poches. Enfin il se décida à rompre le silence.

                  - De Goya apprêtes-toi à prendre cher à ton trou du’c lorsque l’on s’ra rentrer. M’enfin… c’est pas n’importe qui que t’as pécho là-bas. Personne ne pouvait s’attendre à croiser la route de c’te raclure d’avorton d’nobliau. Le fait qu’on a réussi à se décarcasser à quatre pour trouver les fournitures qu’on avait besoin pendant qu’monsieur s’farcissait du gratin dauphinois a également joué en notre faveur. Apparemment va falloir faire gaffe à pas faire tourner le gratin le roi veut aussi y gouter.


                  Un râle les surpris tous. Quichano venait de se réveiller. La peinture tenait toujours sur son visage malgré la pluie et pour cause elle était mélangée à des fixateurs puissants.

                  - Haaaaaaaaa
                  . Le gamin avait le regard dans le vide. Sa posture indiquait un manque d’énergie évident. Comme quelqu’un de las.

                  Les révolutionnaires regardèrent l’ancien noble se réveiller.

                  - Quoi qu’est ce qu’il a maintenant le nobliaux hein. Lança Rodrigo nerveux avant de lui balancer un coup de pied dans le bide. Coup de pied que le pleignant ne semblait pas sentir.

                  - Haaaa… monde est cruel !! C’est terrible, nous sommes faits comme des rats … je suis prisonnier par des personnes qui me haïssent, qui en savent plus que moi, haaaaaa. Ô rage et desespoir, il semble que je vais m…
                  - Ferme là Kisama !!! Shine !!!! Bim coup de pied dans les dents de Paerldamor, dont la nuque cette fois à faillit se brisée.  Bon sang mais c’est quoi son problème à lui !! Ça lui a même pas fait mal, et un ptit coup à failli le laisser sur place.
                  - Être ou ne pas être telle est la qu …
                  - Tu vas te taire oui !!!!!
                  - Rodrigo arrête tu vois pas qu’il est sous l’effet du color trap.
                  - Quoi … q … Mmmmpf …. On peut pas le faire se rendormir l’air était moins pollué quand il roupillait.

                  Plus très loin de la colline une des femelles de la meute étira ses babines qu’un observateur aurait pu juger comme un sourire de satisfaction. Elle avait réussi. Après qu’il ce soit réunis le mal qu’elle aimait plus que tout leur avait fait sentir les sacs qu’il portait. Et un vêtement d’homme en particulier. Le déluge ne l’avait pas aidé mais cette fois elle en était sûr elle avait retrouvée la piste de l’odeur. Là au pied de ce pics qui la narguait. Elle poussa un long hurlement au milieu de la nuit. La foudre tomba au sommet de quelque collines plus loin, et peu de temps après une trentaine de hurlement s’élancèrent dans la nuit dont un quel apprécié en particulier. Son cerveau de la récompense était surexcité, plus tard c’est sûr elle aurait droit à une lampée de léchouille affectueuse.

                  - Par les couilles d’Adam c’est quoi le problème avec ces loups ils nous ont déjà repéré !!! C’est quoi ces clebs ?!!! Et puis d’abord depuis quand ils sortent de leurs tanières sous un temps aussi pourri !  Sancho c’est encore ta putain d’faute, j’ai une famille moi !!! C’est fini on va tous crever !!
                  !
                  - Pour la troisième fois Rodrigo ! Boucle là ! Entendido !
                  - Naaaaaaaaaannnnnn Luuuuunnaaaaa !!!! Ne sors pas par ce temps-ci tu vas être malade bououoouh et puis ils sont trop dang…. PAF troisième beigne à Paerldamor.
                  - P’tain c’est gonflants ton truc à la fin Sancho, il nous les brise menu là le gratin.
                  - Naaaannnn je suis pas un gratin bououooouououh mech ….  BIM
                  - Toi aussi boucle-la le sang bleu !!!! Au moins t’as ta réponse Rodrigo. Nihahahahaha, on a besoin qu’il bouge l’nobliau. A moins que t’ai envie de finir dans la gueule du loup Nihahahahaha !
                  - Ta gueule Sancho elle est débile ta blague !

                  Bon grès malgré la troupe se mit en route, chacun portait un sac à dos, ils en firent porter un plus petit à Pearldamor. Ils avaient un chemin court et ardu à réaliser.  L’entrée secrète la plus proche était de l’autre de côté d’une longue crête de calcaire. Ils s’attachèrent à une corde et gravirent le sentier secret escarpé. Ils ne pouvaient pas aller vite. Paerldamor n’avait que peu d’énergie, il ne faisait que se plaindre sous sa cape qui lui collait à la peau. Les derniers éclairs tombèrent au loin sur les monts derrière la nouvelle république de Goa. La pluie commença à diminuer et après une heure de marche les pleurs et lamentations de Paerldamor devinrent un supplice de plus en plus insupportable.

                  - Haaaaa ...  les gars je suis trop nul, je suis qu’une pauv’merde Haaaaah  !!!
                  - Ha ben pour une fois que tu dis quelque chose de censé Béhéhéhéhéhéé.
                  - Nan ... vous comprenez pas je suis un monstre, une ordure finie, un bourreau de la pire espèce je vais mettre fin à mes jours ...
                  - Non fais pas ça att …. !

                  Tout à coup sans crier gare Paerldamor se jeta dans le vide. Les révolutionnaires glissèrent, entrainés par la corde qui les reliés à l’ado. Deux se rattrapèrent in extrémis à des arrêtes rocheuses et le groupe se retrouva balançant en partie au dessus du vide. Pizarro les yeux sortis de ses orbitent, remercia le ciel de lui avoir présenter cette solide racine qui dépassait de la roche. Une demi-heure après avoir vu leur vie passé devant leurs yeux la joyeuse troupe ou presque parvint à bout de souffle à regagner le sentier.

                  - Ooooooï …. Sancho Kisama !!! T’aurait pas pu lui coller une autre émotion triple buse ! Neh ! Ton color trap commence sérieusement à me les gaver là !!!
                  - Rodrigo … pour cinquième fois …. ¡Cállate la boca!
                  - Vous avez fini de vous battre tout les deux on dirait des mômes sans déconner, on a une mission à finir et avec la pluie qui est en train de s’arrêter les clébards ne devrait pas tarder à retrouver nos traces.
                  - T’en mêles pas Pizarro! Tu sais très bien que si cette enfoirés n’avait pas m…
                  - Haaaaaaa je ne suis qu’une merde, une pauvre merde, à cause de moi de braves gars comme vous sont en train de se disputer, Haaaa,  en plus la meute à Wolfy nous a déjà cernée. Vie de merde …..
                  - Et voila ça r’commence qu’est-ce que j’disais que q ….
                  - La meute à qui?
                  - Il a dit Wolfy non j’ai pas rêver?
                  - Et quand il a chialer tout à l’heure il a bien parlait d’une Luna .
                  - Ouaip que j’crois.
                  - Merde. Vous croyais qu’il connait cette m…

                  AWOUOUOUOUOUOOU !!!!!!

                  La grotte était vide, mais il y avait pas de doute là dessus c’était bien l’odeur de son humain préférait. Celui avec qui il aimait bien se battre et avec qui il mangeait du sanglier au coin du feu en compagnie d’autre humain au pelage blanc et bleu. Wolfy lécha les babines de Luna. Luna ne pouvait s’empêcher de remuer vivement sa queue. Son cerveau de la récompense était de plus en plus actif, non seulement elle aurait une lampée de lèche, mais en plus ils auront cinq humains, cinq délicieux humains à manger.

                  AWOUOUOUOUOUOUO!!!!!


                  La Mancha D Quichano 1572169817-woluna

                  Une demi-heure de marche plus tard les révolutionnaires étaient enfin arrivés sur la crête. La pluie avait cessée. Le crépuscule se dessinait petit à petit à travers le voile de nuage et l’orage grondait encore au loin. De ci,  de là quelques étoiles laissaient émaner leur douce lueur et bien que le groupe accélérait le pas, les hurlements des loups continuaient à se rapprocher. Conscients qu’ils étaient presque arrivés, ils fournirent un ultime effort pour enfin être à l’abri. Ils n’avaient plus que cette aiguille à contourner pour arriver au passage secret que la volte avait réalisé.

                  Quelque chose n’allait pas. Rodrigo allait encore se faire dire de la boucler mais fallait qu’il l’ouvre. Temps qu’il pleuvait on pouvait pas vraiment savoir où on allait. Sauf que là la donne avait changé. Rodrigo il avait beaucoup navigué et il s’avait reconnaitre les constellation. Hors celle là devait se trouvait quelque part à l’ouest au dessus de l’ile de Dawn à cette saison, hors ils étaient sensé avoir voyagé vers le nord. Mais bon il n’en était pas trop sûr. Il fallait qu’il reste quelques minutes de plus afin de confirmer son hypothèse. Histoire de clore le bec une bonne fois pour toute à ce Sancho de malheur et d’être enfin écouté. Une brise passa, souffla les nuages. Le groupe avait pris un peu d’avance. Tant pis il le rattraperait plus tard. Enfin, le vent dégagea la constellation qu’il voulait vérifier.

                  * Bon sang j’avais vu juste on est sous la constellation de l’amiral ! On est pas dans la bonne direction, faut qu’j’avertisse le g…*

                  - Rodrigo qu’est ce que tu fais en retrait, on se demandait tous où t’était passait, tu nous as fait un sacré frayeur hahahaha on a cru que tu t’étais fais bouffer !
                  - Pizarro !! Qu… C’est terrible faut prévenir le groupe on est pas dans la bonne direction ! Cette constellation là elle aurait du être à notre gauche !!! On a voyagé à l’ouest au lieu du nord !!
                  - Quoi ! Bordel mais c’est pas vrai ! pars prévenir les autres, je couvre tes arrières au cas où des loups arriveraient par là.
                  - Ok !

                  Rodrigo se mit à courir, il apercevait le groupe comme de petits bâtons au loin qui continuait d’avancer.

                  * Attends comment ça se fait que le groupe soit si loin, il semble continuait à avancer, il ne l’attend pas, et au fait c’était pas Pizarro qui devait …*

                  Rodrigo se retourna pour jeter un œil à Pizarro. Il eut juste le temps de voir l’index de ce dernier sur son front, le pousse levé en l’air. Le faux révolutionnaire lui sourit tristement.

                  - BANG ! Le doigt dur comme du métal de Pizarro heurta violement le front de Rodrigo  qui s’effondra les iris dans leurs orbites sur le sol, la bouche béate, immaculée du sang qui en avait jiclé. Désolé mon p’tit j’enverrais des fleurs à ta famille. Finir bouffé par des loups sauvages en allant cueillir des champignons, c'est pas une vie ça.

                  A moins d’un kilomètre les hurlements se firent entendre Pizarro sourit.

                  * Bons toutous. Bon va falloir que je rattrape le groupe qu’est ce que je vais bien pouvoir leur dire moi à oui je sais*

                  Un sourire se dessina sur le visage de Pizarro. L’agent du Cipher Pol ramassa le sac de sa victime utilisa son soru et en quelques minutes rejoignit le groupe.

                  - Horrible !!! Les loups ! Les loups !!! Ils sont à moins d’un kilomètre de nous ! Ils ont eu Rodrigo !!! Ils l’ont bouffé !! J’ai pas pu le sauver ils étaient trop nombreux !!!
                  - Rodrigooo Noooonnnnn !!! Bououououh je vous l’ai dit je suis un monstre !! On va tous mourir !! S’il est mort c’est à cause de moi !!! Je suis un moins que rien ! Une sous-merde !! Toi donne moi ça.
                  - Quoi, que …

                  Paerldamor subtilisa le mousquet d’un des révolutionnaires, et le pointa vers sa tempe ! Actionna le barillet et

                  - Adieu monde cruel !!

                  - Kuso Yaro ! Arrête tes conneries !

                  Le coup de pied de Sancho envoya le mousquet volet quelques mètre plus loin !!!


                  - Le Roi des Ordures te veut en vie triple buse.

                  - Ouin je veux pas allez dans une bennes à ordures moi oui …. Bim, bon maintenant on comptait plus les beignes mais ça faisait déjà pas mal de bleu sur le visage de Pearldamor.
                  - Kisama ! Boucle là.
                  - Heu les gars je veux pas vous dérangé mais …
                  - Quoi encore …
                  - … S’est normal que l’on aperçoit la rép …
                  - BANG ! Halalala
                  - Quoi … Oï qu’est ce qui s’passe !! Pizarro pourquoi t’as descendu Djangho !
                  - Halalala. Il semblerait que les choses se gatent. J’avais pas prévu que cette pluie finisse de si tôt moi. Halalalala.
                  - Fils de chienne t’es qui bon sang !
                  - Halalala vous êtes lent à la détente les gars. Je suis la gangrène qui ronge la jambe droite.
                  - Espèce de bâtard je vais te descendre ! Color Trap : Gre …
                  - Halalala. Désolé mon ptit mais c’est ça que tu cherche.

                  Sancho trouva les gaines de ses colts vides lorsqu’il voulut s’en saisir. Pizarro les faisaient tournoyer dans ses index de métal.

                  - Enfoiré ! Rends moi ça !
                  - Ouuuiiiin arrêter de vous battre !!! Tout ça c’est ma faute !! Je ne devrais pas exister ouiiiin, je suis une calamité ouiiiin !!!
                  - Halala, c’est pas ta faute m’ptit. C’est là faute à ces idéalistes de mes couilles. Ha d’ailleurs ça m’fait penser à un truc.

                  Les trois derniers révolutionnaires attaquèrent Pizarro. Ce dernier les esquiva tranquillement, la différence de niveau était trop grande. Tout en esquivant il regarda quel type de bille se trouvait dans les chargeurs des colts.

                  * Ha voilà ça doit être ça une bille transparente. J’ai rien à perdre, ça me coutera rien d’essayer*

                  BANG ! La bille transparente partit du canon et vint s’éclater sur le front de Paerldamor. Instantanément la peinture se dilua et ruissela de son visage.

                  - Halala c’était bien ça. Voilà une bonne chose de faite.
                  - Hein ! Qu’est-ce qui se passe ici … Waaaah mais je suis où moi !!! Et vous êtes qui vous waaah…
                  - Kuno Kusotare ! Qu’est-ce t’as fais ! Merde fais chier il a libérer La Mancha.
                  - La Mancha ha oui, j’étais dans le souk et puis …
                  - Halala tu es libre mon garçon, tes copains canins ne sont qu’à quelques kilomètres, je m’occupe de ceux-là.
                  - Ses copains canins, mais alors c’était vrai le fils de nobliaux il a un lien avec cette m…
                  - BANG ! L’index brisa la nuque Velasquez grâce au Shigan. Halala vous parlez trop les gars. Bien mon ptit Sancho reste plus qu’toi.
                  - K..Saaaamm.

                  Sancho savait qu’il n’avait aucune chance face au membre du Cipher Pol, ça sentait bien le roussi finalement. Au moins il ne recevra pas la fessée cosmique de la part du Roi. Pizarro attaqua le premier, trop vite trop rapidement pour sa rétine. L’index de l’agent fila droit vers son cœur. BANG !

                  La Mancha D Quichano 1572172650-spike-spiegel-full-1554186
                    Salut Quiche à no. Hm.

                    On traitera ta présentation sous peu, mais euh, comment dire. Je veux bien que tu sois passé à côté de l'encadré "Test RP" qui figurait dans le code du premier post, mais comme tu as supprimé les consignes qui y étaient écrites j'en déduis que tu l'avais quand même repéré.
                    Le staff a la capacité d'effacer ton message et de le copier-coller dans l'endroit prévu, mais ce n'est pas à lui de le faire. Une fois que tu auras corrigé ce petit couac, ce sera bon pour nous.

                    Sois attentif aux formalités, s'il-te-plaît. Ce n'est qu'un détail ici, mais ça peut devenir plus problématique si ça se répète régulièrement. Y a deux-trois codes de fonctionnement à intégrer quand tu rejoins le forum, mais tu verras, c'est très vite accessible. ;)

                    À toute sur OPR !
                    • https://www.onepiece-requiem.net/t21326-uzi
                    • https://www.onepiece-requiem.net/t21315-tim-uzi
                    Salut Tim!

                    J'avais pas trop le choix l La longueur du post ne tenait plus ce pourquoi je n'ai eu d'autre choix que déplacer le test (à qui il reste un peu moins de 5 pages, je devrais tout poster demain soir) sur un post du dessous.  Donc si vous avez une solution je remettrais sans soucis le test dans l'encadré, sinon ben je ne vois pas comment faire sur ce soucis là. Je peux mettre une partie dans l'encadré et une autre en poste à la suite.

                    A vous de me dire.
                      Hey,

                      Si ta présentation dépasse la limite de caractères autorisés, c'est qu'elle est trop longue de toute façon. Je n'avais pas survolé le test RP mais effectivement, le test moyen est environ cinq fois plus court. À toi de t'organiser pour raccourcir un maximum de choses. ;)
                      (Commence par retirer les images, si tu veux mon avis.)

                      Bon courage.
                      • https://www.onepiece-requiem.net/t21326-uzi
                      • https://www.onepiece-requiem.net/t21315-tim-uzi
                      Pourtant myosotis m as dit que il n y avait pas de limite
                        Ok alors je post demain la fin.
                          Salut Quichano,

                          Grosse erreur de ma part effectivement, je m'excuse auprès de toi et du reste du staff, ça m'apprendra à pas vérifier mes sources. La Mancha D Quichano 1450164589

                          Par contre ça ne t'a probablement pas échappé, Joe a validé ton test RP. Ça signifie que tu ne peux plus éditer ta présentation (test RP compris), elle est considérée comme définitive. Même si ce n'est pas intentionnel, c'est considéré comme de la fraude et si tu le fais, tu vas obtenir un malus de manière certaine

                          On préférait te prévenir avant que tu ne fasses une erreur.
                          • https://www.onepiece-requiem.net/t21326-uzi
                          • https://www.onepiece-requiem.net/t21315-tim-uzi
                            Page 1 sur 2 1, 2  Suivant
                            Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum