>> Kain
 | Pseudonyme : Blue Eye / Oeil Bleu Age: 23 ans Sexe : Homme Race : Humain Métier : Sniper particulier (utilise une queue de billard comme arme et n'importe quel objet comme projectile) Groupe : Pirate But : Avoir une "famille" et un "chez soi" Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Aucun pour le moment. Équipement : Une queue de billard en acier. Codes du règlement : Parrain : Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
Du haut de ses deux mètres, Kain est loin d'être la personne la plus grande du monde. Il se situerait plutôt un peu plus haut que la moyenne. De plus, malgré sa musculature très développée, il n'en impose pas vraiment à cause de sa morphologie. En effet, il reste quelqu'un de mince. En quelques mots : un grand mince musclé, quoi.
Kain possède un look assez excentrique. Il porte un pantalon noir, étroit et moulant, recouvert par un léger tissu blanc du bassin jusqu'au haut du pied gauche ne laissant donc apparaître son falzar uniquement sur la jambe droite. Une grosse ceinture noire à boucle dorée maintient le tout. Ses chaussures étant de la même couleur et de la même matière que son pantalon, elles sont souvent confondues avec ce dernier.
Quant au haut, Kain aime laisser son dos et son torse à l'air libre et faire profiter le monde de sa musculature impressionnante et de son teint de peau bronzé à l'extrême. Les bras sont habillés de manches – tout comme son falzar – noires, étroites et moulantes cachées par un tissus blanc similaire à celui du bas. De même pour les épaulettes en acier couvrant ses épaules. Seuls ses gants noirs demeurent apparents. De plus, des ceintures noires aux boucles d'or situées entre les bras et les épaules permettent au tissu de rester en place.
Enfin, et c'est là le côté le plus excentrique de son look, la tête. Kain est plutôt bel homme dont les traits fins lui donnent un léger air efféminé. Malheureusement, ses longs cheveux blanc atteignant le milieu de son dos ont la mauvaise habitude de tomber en avant et donc de cacher son visage, ne laissant filtrer que ses yeux jaunes. De surcroît, un étrange symbole bleu représentant un œil et deux triangles, l'un au-dessus de cette pupille et l'autre en dessous, est comme tatoué sur sa chevelure d'où le surnom de "Blue Eye". De ce fait, les gens ne peuvent rarement lire sur son visage.
Il ne faut également pas oublier l'arme de Kain, sa fidèle compagne de toujours. C'est une queue de billard en acier dont une moitié et l'extrémité opposée sont blanches tandis que l'autre moitié et extrémité sont de couleur bleu.
>> Psychologie
Capable de croire n'importe qui un minimum convainquant, Kain est extrêmement naïf. Les très bons menteurs pourront le mener en bateau avec une facilité déconcertante, et ce, quand bien même notre héros a appris dès sa plus tendre enfance à se méfier d'autrui. Mais que voulez-vous, si un inconnu a besoin de lui, il répondra présent sauf si son éthique lui en empêche. Sûrement les conséquences de plusieurs années de solitude et le bonheur de se sentir utile.
De ce fait, pas la peine de l'obliger à faire un bain de sang, il n'aime pas ça. Et ce qu'il n'aime pas, il ne le fait pas. Tout simplement. Ne lui demandez pas non plus de faire à manger ou le ménage : il ne sait pas cuisiner et a grandi dans la nature. Paresseux dans l'âme, il ne sera pas des plus actifs dans la vie de tous les jours. Après tout, pourquoi se fatiguer quand on peut dormir ?
Il aime le calme et déteste donc les gens bruyants. C'est pourquoi il ne crie ou ne hurle jamais. Cependant, il se met facilement en colère et, afin de ne déranger personne, déverse cette rage en frappant du point un objet tel une table. A noter qu'il adore la musique qu'il ne considère pas comme du bruit mais comme un art sublimant le calme. Rien de mieux pour lui que de profiter de la musique sans personne pour la troubler.
Il peut paraître distant aux premiers abords mais si le courant passe bien, s'il vous apprécie, vous aurez là un très bon compagnon fidèle et loyal comme pas deux. Il pourrait vous suivre jusqu'en enfer, botter le cul de Cerbère et Hadès et vous remercier de l'avoir emmené avec vous. Néanmoins, il a un gros faible pour le sexe féminin, quelque soit la race. Impossible pour lui de frapper une femme même s'il doit en mourir.
Enfin, il a horreur de la Marine et qu'on se moque de lui ou de ses cheveux sous peine d'entrer dans une colère noire qu'il calmera à coups de poings et de queue de billard sur la personne qui a eu l'audace de se foutre de lui.
>> Biographie
1602 – 1608
Je vis le jour en 1602, selon les dires de ma mère. Elle s'appelait Rosana. Une femme très belle dont la bonté n'avait aucun égale. Toujours douce avec moi, quoique je fasse. Elle ne m'avait jamais frappé ni même crié dessus. Nous vivions des jours paisibles chez nous, au Mont Corbo à proximité du Royaume de Goa. En effet, malgré les nombreux dangers – à savoir les bêtes sauvages et les brigands – qui nous entouraient, nous n'avions aucun problème. Ma mère était tellement gentille qu'elle soignait les brigands et autres pirates qui s'aventuraient prêt de chez nous. Elle avait une bonne réputation dans les parages. Une des rares médecins de la montagne, les autres vivant avec les nobles et les privilégiés. Notre demeure, pourtant petite et dès plus simple, était comme un sanctuaire, un havre de paix. Quant à mon père, je ne l'ai jamais connu. Mort avant ma naissance. Un homme bien apparemment, dur mais toujours prêt à aider son prochain.
1609 – 1612
Alors que je m'étais un peu trop éloigné de la maison, une bête sauvage m'attaqua. De peur, je tombai au sol et regardai, horrifié, l'animal bondir vers moi. C'est là que je le rencontrai, l'homme qui a fait de moi celui que je suis maintenant. Très grand et costaud, il devait avoir la quarantaine. Ses long cheveux et sa barbe étaient grisâtres. Un œil bleu était comme tatoué sur sa chevelure. Une gigantesque cicatrice parcourait son torse tandis qu'un dragon était tatoué sur son dos. Il portait des noirs sous un tissu blanc. D'un geste précis, il frappa le fauve de sa canne qui, recula de plusieurs mètres avant de fuir, préférant chercher une proie plus faible. Cet homme me demanda si j'allais bien et me proposa de me ramener chez moi. Il s'appelait Joseph Joestar et s'était devenu mon héros.
Je le présentai à ma mère et racontai tout ce qu'il s'était passé. Elle le remercia et l'invita à manger et à passer la soirée chez nous. Ils firent ainsi connaissances et sympathisèrent. Il vint ensuite nous rendre visite. De plus en plus souvent. Cet ancien pirate devint un père pour moi et un mari pour ma mère. Il m'appris à me défendre à l'aide d'un bâton. Sa canne était en réalité une queue de billard en acier. Il s'en servait pour lancer toutes sortes de projectiles comme des cailloux par exemple. J'avais, d'après lui, un talent inné pour cet art.
1613 – 1617
Ma mère tomba malade. Une maladie qu'elle ne connaissait pas. Son état empirait de jour en jour. Un jour où elle perdit connaissance et où sa fièvre avait atteint un seuil critique, nous décidâmes d'aller au Royaume de Goa demander l'aide d'un médecin. Malheureusement, quand nous arrivâmes devant les portes de la ville, les gardes ne nous laissèrent pas entrer sous prétexte que des gens tels que nous n'avaient rien à faire ici et n'apportaient que des malheurs. En entendant ça, Joseph devint fou de rage, assomma les gardes et entra, ma mère dans les bras, dans la ville. Sans hésitait, je le suivis. Pendant qu'il hurlait pour demander à un médecin de venir, plusieurs citoyens appelèrent la Marine. Celle-ci nous chassa et nous ordonna de retourner d'où nous venions. Nous n'eurent pas le choix et ma mère mourut, allongée dans son lit.
Joseph continua à s'occuper se moi. Son entrainement devenait plus rude. Il voulait de ce fait m'évitait de penser à ma mère, focaliser mes pensées sur autre chose. Bien que cela fut difficile, j'y parvint malgré mon jeune âge. Je n'avais pas vraiment le choix de toute façon. L'havre de paix étant détruit, les brigands n'avaient plus aucune raison de nous laisser tranquilles. Un jour où ils furent particulièrement nombreux, nous furent dans l'obligation d'abandonner la maison et de fuir à travers la forêt jusqu'à Grey Terminal, chez Joseph. Il continua à parfaire mon éducation jusqu'au jour où il fut tuer pour de la nourriture. Il me confia sa queue de billard et m'ordonna de partir loin, très loin. Je couru jusqu'au Royaume de Goa. Sur le chemin, je croisai plusieurs soldats de la Marine. Je leur demandai de venir l'aider mais ils me répondirent qu'ils n'étaient pas intéressés par les règlement de comptes entre déchets et qu'il était préférable pour Joseph, moi et tous les autres habitants de Grey Terminal de mourir. Fou de rage, je les insultai et revint à la décharge. Là, je vis un Joseph agonisant me demander de prendre soin de son arme et de quitter cette île. Dès lors, ma haine des Marines ne cessa de croître. D'abord ma mère, puis mon père spirituel.
1618 – 1625
Durant cinq ans, je m'entraînai jour après jour, seul, dans la forêt, améliorant ma technique et ma maîtrise de la queue de billard. Je chassai les bêtes sauvages et détroussai les brigands pour vivre. Je mis au point plusieurs techniques me permettant de me battre à distance comme au corps à corps, l'acier de l'arme permettait de s'en servir comme d'une sorte de batte. Je décidai de retourner à Grey Terminal afin de me venger des meurtriers de Joseph. Je les tuai les uns après les autres, volai tous leurs biens et descendit avec méfiance au village de Fushia. Je découvris alors des gens accueillant, me montrant ainsi que les "privilégiés" n'étaient pas tous égoïstes. Je vécu des jours heureux, chassant dans la forêt et vendant ce que je trouvai au village. J'évitai de croiser le plus possible des Marines, ne pouvant pas contrôler ma colère lorsque j'en voyais un. Je me fis faire des vêtements sur mesure à l'image de ceux de Joseph. Malheureusement, ce bonheur ne dura pas. En effet, une révolution éclata. Grey Terminal fut bombardé et devint qu'une plaine de cendre, la noblesse fut considérablement affaibli et la Marine multiplia ses effectifs dans toute l'île. Je pris alors la décision de partir sur les mers, trouver des compagnons qui formeraient une famille à mes yeux et un lieu que je pourrai appeler "chez moi".
>> Test RP
J'aime beaucoup les petits bars. On peut y boire et discuter paisiblement. Les grands bistrots ont toujours du monde. Or le monde, ça fait du bruit et pas qu'un peu. Impossible de s'entendre parler ou penser dans tout ce bordel. Et pour atteindre le barman, faut souvent se battre tellement il y a de personnes au comptoir.
Malheureusement, je n'avais pas trouvé de petit bar. Je m'étais donc résolu à prendre un verre dans un troquet plus conséquent situé au centre du village d'Orange. Un charmant village au passage. Il y avait énormément de clients, la grande majorité était des civiles, le reste des chasseurs de primes et des marines. Pas un seul pirate. J'entrai, jetai un rapide coup d’œil à la salle afin de trouver une table libre, marchai jusqu'au comptoir et commandai une pinte de bière. Une fois servi, j'allai m’asseoir à une table proche de l'entrée et posai ma queue de billard à côté de mon verre. Je penchai la tête en arrière pour balancer ma chevelure en arrière. Tout en buvant ma boisson, j'écoutais ce que les gens se disaient, à l'affût de toute information pouvant me procurer de l'argent. Cela me fit penser que je devrait arrêter de boire car, premièrement, je n'avais pratiquement plus un rond sur moi et, deuxièmement, je n'aimais pas trop le goût.
Soudainement, un type en costard débarqua dans le bar et commença à scruter la foule de clients. Il transpirait comme un bonhomme de neige au soleil et semblait marmonner dans sa barbe à une vitesse grand V. Il recherchait sûrement quelque chose d'important. Ce qui devait arriver, arriva : son regard croisa le mien. Il s'arrêta un court instant sur moi, subjuguer par un look aussi particulier puis aperçu mon instrument de travail sur la table. En un instant, il se précipita sur moi et implora :
"Bonjour monsieur, je suis un des organisateurs du tournoi. Malheureusement, pour notre plus grand malheur, un des participants s'est évanoui. Et comme vous semblez à même d'offrir une performance honorable, je vous implore de le remplacer."
Cet homme à l’œil. Oui, je suis fort. Plus fort que tous les types que j'ai rencontrés. Aucun n'a réussi à vraiment me tenir tête. Mais je n'aime pas les efforts inutiles...
"Un tournoi ? Je ne savais pas qu'il y en a un aujourd'hui. Mais qu'est ce que j'y gagne ?"
"Il y a un prix pour le gagnant : 1 000 000 de berrys."
Oh ! J'ai besoin de cet argent.
"Vous m'avez convaincu. Allons-y."
L'organisateur me fit traverser deux avenues et m'invita à entrer dans un grand bâtiment. Une fois entré, il déclara avoir trouver le remplacement. Je n'eu même pas le temps de bouger que l'on me poussa vers une porte. Il y avait énormément de bruit de l'autre côté. Je n'aime pas le bruit mais bon, c'est un tournoi. Va sûrement y avoir du grabuge. J'ouvris et fis quelques pas. La lumière des projecteurs m'aveuglaient. Comme si je n'y voyait pas déjà assez avec la chevelure devant les yeux. Je dégageai les cheveux de mon visage et enfin pu voir ce que je n'aurai jamais pensé être le tournoi. Du billard ! On m'a dit un tournoi, pas du billard ou un tournoi de billard ! Et puis je n'ai jamais joué au billard. Sous prétexte que je me balade avec une queue, ça y est, c'est la fête ! Je suis un pro ! Et bien non ! Les tables étaient alignées, les autres participants déjà prêts. Un des organisateurs hurla dans un micro :
"Mesdames et messieurs, veuillez accueillir comme il se doit le remplacent de Jimmy la Gâchette, j'ai nommé... euh... Blue Eye !"
Le public m'acclama et scanda mon nom quand bien même il ne m'avait jamais vu auparavant. Comment résister à ça ? A cette foule ? Ils semblaient avoir vraiment besoin d'un autre participant. Je fis quelques pas en avant en direction de la seule table où il n'y avait qu'un seul concurrent.
"Messieurs, ce tournoi se déroule en un contre un. Le gagnant du match est celui qui rentre toutes les boules de sa couleur puis la boule noire en premier. Si vous entrer la boule noire avant, vous perdez. C'est un tournoi en élimination directe. Commençons donc les quarts de finales !"
Mon adversaire prit la main. Il mit une drôle de poudre bleue sur sa queue avant de frapper la boule blanche qui vint percuter toutes les autres boules qui formaient un triangle compact. Plusieurs boules jaunes entrèrent dans les trous. Il exécuta plusieurs autres coups avec dextérité, supprimant ses boules avec aisance, mais en manqua un. Il m'invita alors à jouer. Bon alors, si j'ai bien compris, je suis les rouges et faut frapper que la blanche. Pas toucher à la noire pour le moment. Si je suis capable de projeter plusieurs cailloux en même temps ou une branche d'arbre, provoquer des courbes et faire rebondir le projectile où je veux, je dois bien être capable de faire entrer des boules dans des trous. Je pris position. En face de moi, toutes les autres tables, parfaitement alignées. Ma queue était comme perpendiculaire à chacune d'elles. La boule ciblée était facile. N'importe qui aurait pu y arriver. J'armai et, d'un geste brusque, rapide mais précis, frappai la boule blanche. Celle-ci balaya la boule rouge et continua sa route en percutant toutes les tables avec force. Ces dernières furent renversées. Tous les regards étaient désormais sur moi. Aucun mot, aucun bruit. Juste des yeux me fixant, moi. Je pouvais y lire de l'incompréhension dans certains, de l'admiration dans quelques uns mais surtout de la haine dans la plupart. Et voilà ! Comment se taper une petite honte en dix secondes... Les tables furent remises sur pied mais finir par céder : la violence du choc les avait coupé en deux. J'avais l'impression que tout l'univers me fixait avec colère. Après un long moment de solitude, une voix se fit entendre.
"Mesdames et messieurs, suite à l'accident provoqué par Blue Eye, le tournoi est annulé. Nous en sommes désolés."
L'entrain avait disparu dans la voix de l'organisateur. Je partis sous la huée du public et des autres concurrents. Heureusement pour eux, aucun n'a insulté mes cheveux. Il y aurait eu des morts dans le cas échéant. Mais je suis très mal placé pour... J'entendis quelqu'un m'appeler :
"C'était une erreur... Je n'aurais jamais du vous amener. Tout dans les muscles, rien dans la tête, n'est ce pas ? Mais bon, passons. Après tout, ce n'est pas nous, organisateurs, qui allons payer les dégâts ni rembourser les places du public, n'est ce pas ? C'est vous, monsieur, n'est ce pas ?"
J'étais mal. Je n'avais que 200 000 berrys sur moi. Comment faire pour les dédommagements ? Et puis après tout, ils sont riches, non ? Ils n'ont pas grandi comme moi dans la misère, non ? Quel pauvre payerait pour un stupide tournoi de billard ? Donc désolé mais je me casse. Je relevai les cheveux de devant mon visage, adressai un sourire aux organisateurs et pris mes jambes à mon cou. Heureusement pour moi, je courrai vite, eux non. Je les entendais hurler derrière moi, me traiter de voleur et appeler la Marine. La Marine ?! C'est pas le moment. Si j'en vois un, je le défonce ! J’atteignis la forêt aux alentours sans encombre. Apparemment, je les avais semés. Tant pis pour la récompense... Bon, qu'est ce que je peux chasser dans cette forêt ? C'est que je commence à avoir faim, moi...
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Informations IRL
Prénom : Damien
Age : 20 ans
Aime : Quatre grandes passions : jeux vidéo, musique (Hard Rock, Heavy Metal et Hard Fm '70/'80), cinéma et mangas
N'aime pas : beaucoup trop de choses pour pouvoir les citer
Personnage préféré de One Piece : Crocodile
Caractère : gentil, serviable, passionné, rieur, naïf, paresseux, timide si on ne se connait pas
Fait du RP depuis : je crois que j'avais environ 12 ans quand j'ai commencé mais ça fait plusieurs années que je n'en ai pas fait
Disponibilité approximative : pourrai se connecter tous les jours normalement et poster en rp régulièrement
Comment avez-vous connu le forum ? Top site
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Dernière édition par Kain le Mer 4 Juin 2014 - 3:16, édité 4 fois
