Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal

❦ Heliamphora ❦ Une petite pousse ma souffler que le monde végétal avait besoin de mon aide... [Fiche Terminée]

❦ Heliamphora, pour les intimes, Helia ou Phora. ❦

Age : Difficile à dire exactement, mais elle dirait au moins une vingtaine d’étés passés, sûrement un peu plus, mais elle a arrêté de le compter.
Sexe : Au dernière nouvelle, elle était une femme.
Race : Malgré une apparence altérée par un environnement hostile, elle est une humaine qui a grandi sur l’une des îles de l’Archipel de Boyn…
Métier : Biochimiste botanique non reconnue. Elle se plaît à toujours étudier la physiologie, la croissance et la reproduction des plantes ainsi que leur environnement, sans parler de son obsession du développement de nouvelles variétés de plantes et de la mise au point de nouveaux procédés de culture ou de produits d’origine végétale. Elle a une passion débordante pour les plantes carnivores, les toxines/venins et les champignons.
Groupe : Révolutionnaire, elle ne comprend pas pourquoi le gouvernement remplace les forêts verdoyantes pour des murs de béton, sans parler de ce concept du Berry qui emprisonne littéralement la populace à être dépendante d’eux pour vivre quand la nature peut offrir tout ceci à celui ou celle qui prend la peine de bien chercher et d’écouter.
But : Partager les biens faits de la nature, ouvrir les yeux à ceux qui se sont perdues dans cette ‘civilisation’ qui les emprisonnées derrière des murs de béton et de la ‘monnaie’ qui les rend dépendantes d’un gouvernant qui se cache derrière ces pilons. Découvrir toutes les plantes existantes du monde et essayer de retrouver des nouvelles de Kaley.
Équipement : Deux longs fouets de cuir et de lianes, un set de vêtements basiques (Pantalon cargo vert défraîchit, crop top noir usé et une veste assortie au pantalon cargo aussi usées que le reste.) Un sac en cuir foncé usée renforcer de patches végétaux et autre que pour tenir les rations de nourriture. Elle porte un kit basique de botanie, récupérés dans l’équipement de sa maternelle, pour lui permettre de manipuler les poisons, substances et plantes. Il y a une large paire de lunettes aux verres rouge, quelque chose d’excentrique qu’appartenait à Kaley et elle porte autour de son cou un petit collier qui vient de la blondinette excentrique.
Parrain : ///
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non, premier compte.
Codes du règlement :


❦ Description physique ❦

Phora est une femme à la silhouette élancée, aux signes athlétiques à force de vivre dans les forêts. C’est une femme à la grandeur impressionnante, touchant facilement les 182 cm pour une équivalence de 70kg de muscle et de chair. Sa démarche est silencieuse et ses pieds sûrs dans l’environnement hostile des îles Boyn. Sa peau passe d’un ton naturellement bronzé au contact du soleil à celui plus verdâtre sous la voûte végétale, un phénomène d’adaptation qui s’active sans qu’elle ne puisse le contrôler. Ses pupilles sont généralement d’un vert pâle et changent de ton pour s’assombrir selon les saisons. Ses lèvres semblent subir le même traitement saisonnier, passant du vert pâle au printemps, au rouge vif l’été, au ton légèrement orangé à l’automne et finalement au vert très foncé en hiver, suivant le cycle de mère-nature. Elle possède de longs et épais cheveux roux, souvent envahit par les fleurs, les branches ou encore les feuilles. Ils sont souvent laissés libre, offrant une tignasse fournie qui flotte au vent et qui cascade sur ses épaules jusqu’au niveau de son dos. Dans d’autres occasions, quand elle se penche du côté plus scientifique, elle prend la peine de mettre un peu de discipline pour éviter que les mèches ne viennent la déranger et briser sa concentration. Tout comme le reste de son corps, l’anomalie génétique ou l’adaptation adaptative de ce trait saisonnier semble aussi affecter sa chevelure, passant du blond rouge cuivré, au cuivré khadi, au cuivré riche ou encore d’un roux foncé.

La plupart de ses tenues privilégient fortement le vert. Son look habituel est une tenue végétale qu’elle fabrique à partir des larges feuilles ou toute autres parties d’écorces qu’elle peut trouver pour l’aider dans son camouflage naturel qui lui permet de passer plus inaperçue dans la savane sauvage remplit de prédateur. Il n’est donc pas rare de la voir recouverte à moitié de feuille, de mousse, de fleur ou encore d’écorce et couverte de produits naturels comme de l’argile, de la terre ou encore de mixture qui lui permette de camoufler la moindre odeur et ainsi de peaufiner ses techniques de camouflage. Elle possède tout de même quelques vêtements normaux, des cadeaux offerts par sa petite blonde Kaley qui consiste à une veste verte et un top sport noir en dessous d’un chandail clair avec les écrits de "Shill Baby Shill", un pantalon de la même qualité que le veston vert ce qui en fait un ensemble et une paire de bottes de travail noir. Kaley lui a également offert un set de pyjama, un t-shirt portant la mention de "Tree Hugger" avec des manches vertes, ainsi qu'un pantalon de pyjama vert. Depuis la disparition de Kaley, elle garde précieusement la paire de lunettes à l’apparence excentrique de la demoiselle.

Si vous venez, vous tenir très proche d’Helia, vous pourrez remarquer qu’une odeur végétale s’attache à sa peau, mais que prenant la peine de bien sentir ou d’avoir la chance que le vent soit de votre côté que la demoiselle dégage un côté plus sucré, un mélange harmonieux entre le fruité et florale citronnée. Au niveau de ses mains calleuses, de ses bras et de ses jambes, il est possible de remarquer des lignes fines, des marques qui trahissent des blessures anciennes de course folle au travers la végétation, ou de coupure sur les feuilles rasoir de certaines plantes, ou encore des blessures de protection contre un prédateur chanceux.


❦ Description psychologique ❦

 Solitaire (peu habituée aux gens, en apprentissage) ❦ Rusée ❦ intelligente ❦ Courageuse ❦ Ambitieuse ❦ Protectrice ❦ Extrémiste ❦ Observatrice ❦ Survivaliste ❦ Inculte sur la civilisation ❦ Déterminée ❦ Obsédée ❦ Curiosité morbide ❦ Motivation connaissance ❦ Esprit scientifique

Helia marche sur cette ligne fine entre le bastion de mère-nature tendre et l'Écoterroriste psychopathe. Elle se considère comme la main de ‘mère-nature’. Si mère-nature était un dieu, alors Phora serait sa messagère divine. Elle cherche à défendre la végétation qui est sans défense de la civilisation et elle croit fortement en sa cause. Menacer, mutiler et tuer seront des mesures extrêmes, mais ce n'est rien comparé aux cruautés irrémédiables que l'humanité à infliger au monde de la nature. Heliamphora verra toujours le plus grand bien en punissant ceux qui le méritent. Sur les bords, sociopathe, Helia n'aura aucun scrupule à blesser les gens qui se mettront en travers de son chemin dans la sainte tâche qu’elle s’est imposée. Dû à son enfance plutôt isolée, elle montre rarement de l’affection pour quiconque en dehors de ses plantes bien-aimées, qu'elle traite comme ses propres enfants. Elle a manqué l’éducation nécessaire à faire fleurir les compétences sociales, toutefois, elle est assez curieuse et intelligente pour apprendre et démontre de l’intérêt à mieux connaître ses ennemis futurs. Elle veut devenir l'une des écoterroristes les plus en vue, motivée par une obsession pour les plantes, la botanique et l'environnementalisme extrémiste avec le désir de sauver le monde des maux de l'homme par tous les moyens nécessaires.

Une fois l’imagerie de la guerrière passé et la confiance gagnée, on peut découvrir un personnage curieux, qui désire découvrir le monde et ces habitants. Elle semble croire que tous ont une chance d’apprendre à vivre avec la nature, laissant une chance à ceux et celles qui veulent apprendre. Elle peut dévoiler un visage aimant et protecteur de ceux qu’elle considère comme précieux, offrant l’imagerie de la loyauté à son extrême. Malgré son manque de compréhension face au socialiste général, elle semble offrir parfois des petites attentions ‘affectueuses’ qui démontrent son appréciation. Elle est d’une personnalité assez directe, partageant ce qu’elle pense et ressent, oubliant que parfois les gens peuvent se froisser facilement, toutefois quand elle s’exprime ce n’est jamais pour pointer du doigt quelqu’un, mais plutôt soulever quelque chose qu’elle trouve important, autant plus, qu’elle n’a pas la notion du ‘jugement’ des autres.

Phora est une personne plutôt simple, profitant des petits moments qui peuvent lui apporter du bonheur. Elle apprécie fortement passer de longs moments en forêt ou encore a expérimenté, faisant des mélanges d’ADN en greffant des plantes ensembles et en les faisant grandirent dans l’une des pointes les plus éloigner du centre, non loin des récifs de pierre qui lui permette de prendre refuge dans la plante géante s’active pour se nourrir. Sur ces mêmes récifs, un refuge datant d’une époque antérieure, du temps de ses parents. L’endroit pas plus gros qu’une cabane d’une pièce accueille le nécessaire l’étude des plantes. Des connaissances et des journaux écrits de la main de sa maternelle remplissent les étagères, et même si certains ont péri sous l’humidité, beaucoup, on permit à la rouquine de s’instruisent et de cultiver la passion qui vit dans son cœur aujourd’hui, la biochimiste botanique, une passion donner et inculquée par sa maternelle.

Son activité principale est de ça camoufler dans les arbres et d’observer l’évolution des plantes carnivores et des mammifères de l’île. Ceci lui permettait d’améliorer toujours plus ses techniques de camouflage, de connaître son environnement avec une précision et aussi de traquer les proies qu’elle a besoin. Si elle est principalement à l’aise avec les prédateurs de l’îlot de Boyn, elle finira par réaliser que le basique de traquer une créature reste le même pour presque tous. Depuis sa rencontre avec sa petite naufragée, elle rêve du monde extérieur donc il lui a été souffler avec grand intérêt et passion.


❦ Biographie ❦

Tout commence avec une fillette qui cours la forêt, un prédateur qui la pourchasse, mais le mammifère est lent, trop confiant qu’il va attraper la petite chose rousse qui cours. Elle le guide vers ce qui est un piège finement posé par les soins de son paternel qui la surveille de loin. Malgré la gravité de la situation, la gamine s’amuse et rit au éclat, heureuse de se rendre utile, mais encore plus de pouvoir jouer avec la faune et la flore. Encore aujourd’hui, son regard vert, c’était poser sur un nouveau végétal, le plus beau des champignon qu’elle avait jamais vu, mais le plus mortel aussi. La petite cours, saute une branche, se glisse sous un tronc à moitié tombé et se jette finalement, abillement dans le creux des racines d’un imposant arbre. Le fauve qui n’avait pas remarqué la supercherie et il plonge à la poursuite du petit être. Cependant, ces pattes et ces crocs ne rencontre pas la chair tendre, il n’a pas la chance de sentir le liquide poisseux du l’hémoglobine remplir sa bouche et teinter sa fourrure, au lieu de ceci, il se retrouver coincé et le pièce placer par les soins de son père se referme sur la bête et il se retrouve empalé a plusieurs endroit dans le gras de l’estomac. Il se débat furieusement contre la mort qui l’envahit lentement, mais tout ce qu’il fait est aggraver les blessures et finalement la vivacité de son regard s’éteint au même rythme que ces mouvements s’arrête. ‘’Oui ! Nous allons avoir un bon repas chaud ce soir ! Maman sera contente, elle pourra nous faire son spécial !’’ Annonce joyeusement la gamine qui sortait d’une cavité plus bas. Elle s’y était faufilée pour ce cacher de la bête. ‘’Phora, un peu de sérieux, il est temps de nous mettre au travail.’’ Réprimande la voix grave de l’homme qui observait toujours les alentours, un pli d’inquiétude barrant son front. ‘’Oui, père.’’

Sur ce simple échange, la gamine vient tirer le couteau qui se trouvait à sa ceinture et elle vient étriper la bête comme le lui avait montré son père. Elle vient ensuite glisser les deux mains à l’intérieur et elle en sortit les organes qui s’éventrèrent sur la terre, peinant d’un rouge visqueux les pieds d’enfant et l’environnement. Elle signala à son père que la bête était prête et l’homme descendit de son perchoir qui se trouvait plut haut et vient rejoindre sa fille. Il attrapa la carcasse de la bête et la jeta par-dessus son épaule massive, son énorme stature d’ancien pirate l’aidant dans cette tâche. Phora allait ramasser quelques organes quand son père l’arrêta ; ‘’Non, laisse-les.’' Annonce son paternel la voix éternellement sévère. ‘’Pourquoi ?’’ Demande la fillette surprise. ‘’Une offrande au monstre qui approche, avec de la chance sa nous permettra de quitter facilement.’’ Sur ces derniers mots, l’homme se met en marchant pour reprendre le chemin de la maison. La petite rousse porta les yeux dans son dos, observant la verdure qui s’étendait devant elle et elle vient réaliser le lourd silence qui s’étirait maintenant autour d’eux. Elle sentir un long frisson traverser son dos et elle s’élançait sur les talons du guetteur expérimenté. Ils furent accueillis par la mère de Heliamphora qui les attendait sur le pas-de-porte de ce qui leur servait de ‘maison’. L’endroit installé en bordure de l’île et d’un récit pierreux, le permettait d’être un minimum confortable et en sécurité quand la plante géante qui leur servait de terrain d’entraînement se refermait pour se nourrir. La cabane rudimentaire, fait en partie des matériaux récupérés de leur vaisseau qui s’était échoué plusieurs années plus tôt. ‘’Élora…’’ ‘’Marcius, le Den Den… Il a fonctionné…’’ Annonce simplement sa maternel d’une voix inquiète. ‘’Qu’est-ce qu’il a dit ?’’ Souffle l’homme qui se glissait à l’intérieur. ‘’Phora, commence à travailler sur la bête, nous avons besoin de discuter moi et ta mère.’’ ‘’Oui père.’’

❦ ❦ ❦

L’adolescente s’éloigne vers la table pour s’occuper de l’animal. De sa position, même si elle n’entend pas complètement la conversation, elle sent la gravité de la situation, quelque chose n’allait pas. Tout ceci lui rappelait ce même incident quelques années plutôt au retour d’une même chasse. Tandis que la lame courbe du couteau découpe les contours de la fourrure, son esprit divague un peu vers de vieux souvenirs. Depuis qu’elle avait été en âge de comprendre, ses parents avaient été directs et ouverts envers elle. Il était un pirate hautement recherché et elle un ancien biochimiste militaire pour le gouvernement. Ils étaient d’anciens amis d’enfance qui c’était perdu de vue pour mieux se retrouver des années plus tard et malgré leurs chemins différents, dès qu’ils s'étaient retrouvé les vieux sentiments étaient revenu et ils avaient pris la fuite… Sans entrée dans les petits détails, les parents d’Helia lui avaient expliqué qu’ils étaient considérés comme des fugitifs et elle devait respecter quelques règles qu’ils avaient mis en place. Encore aujourd’hui, ils vivaient avec ces règles, mais ceci n’avait pas impacter la vie de la gamine qui avait appris depuis qu’elle était haute comme trois pommes à courir dans la nature.

Ce qu’ignorait Helia était qu’elle avait eu une éducation bien différente de la ‘normalité’. Aillant grandit dans un environnement plus dangereux de la norme, elle avait dû apprendre jeune à survivre en nature (surtout, quelle avait la fâcheuse habilité de suivre Marcius durant la chasse) ainsi, il lui apprit jeune à reconnaître les signes, que ce soit des simples traces d’empreintes au sol, aux branches casser ou aux plantes carnivores cachées qui attendent patiemment des proies. Ensuite, il fallut lui montrer comment ce cacher dans la nature, à utiliser son environnement pour camoufler son odeur, quoi manger et ne pas manger, quoi utiliser pour appâter ou repousser les bêtes. Il y avait eu aussi la lourde éducation d’éduquer la demoiselle sur les innombrables dangers de l’archipel Boyn et portant, sous le regard d’incompréhension de son père, Helia ne faisait qu’avoir une grande passion pour chacune des créatures qui vivaient ici, malgré le risque d’être tué au moindre détour. La petite avait été mordue, piquer, empoisonnée, pourchasser, et même presque tuer et pourtant la fascination restait, au contraire, elle semblait se renforcer à chacune des rencontres ou des découvertes qu’elle faisait. Son père avait même remarqué une étrange ‘affinité’ qu’elle semblait avoir avec certaines plantes-animaux, mais il avait rapidement chassé l’idée, se disait que ceci devait avoir un rapport avec des accidents biochimiques durant la grossesse de sa femme.

Si lui, c’était occupé du côté plus physique et survivaliste, c’était sa mère qui c’était occupé de la remplir de connaissances beaucoup plus intellects, découvrant en même temps que sa fille avait hérité de son génie et de sa passion scientifique. Ainsi, donc, Élora avait légué à sa fille tout son savoir de botaniste, ses connaissances avec les plantes et tout ce qui avait fait d’elle une scientifique de renom dans ce même domaine. Ainsi, elle avait offert principalement la phytologie et tout ce qui touchait de loin au domaine botanique. Toutes ces nouvelles connaissances permirent à Phora de mieux comprendre l’environnement dans lequel ils vivaient et ainsi de mieux évoluer en harmonie avec eux.

❦ ❦ ❦

C’était son père qui lui avait offert son tout premier fouet, beaucoup plus petit que ceux qu’elles maniaient maintenant, elle se souvenait encore du sentiment de fierté qu’elle avait ressentie face à cette confiance. La gamine qu’elle était, avait fait de son mieux pour être attentive et écouter son paternel. « Le maniement du fouet est un art Phora. Ce n’est pas simplement une lanière de cuir végétale que tu tires dans tous les sens, mais plutôt une allonge de ta propre personne. Tu dois apprendre à bien visée et à reconnaître ton arme sous toutes les coutures. Il faut savoir que l'extrémité du fouet peu dépasse la vitesse du son entre les mains d’une personne experte. Chaque coup, peut générer un "bang" supersonique. Ce "bang" s'appelle le "clac" et c'est tout simplement, le bruit que fait ton fouet quand tu réussis à bien l’utiliser. C’est ce crack particulier que tu veux entendre à chaque fois que tu l’utilises en visant ta cible. » Il fait le tour de la petite clairière où ils étaient installer, il l’observait en silence et elle faisait de son mieux pour cacher son impatience.

« Je vais t’apprendre deux types de maniement, le fouet cracking qui est des techniques de crack en maniement simple puis en double. Nous en ferons en flash, en combinaison, en routine et finalement sous forme de chorégraphie pour te permettre de bien assimiler les techniques en question. Une fois que tu seras à l’aise, nous irons avec le ciblage qui est des techniques de précisions, ton fouet devra percuter, trancher ou saisir avec force ou avec légèreté ta cible. Tout ceci avec agilité et rapidité. » Termine-t-il d’un air sérieux. Il pose à nouveau ses yeux sévères sur la petite fille qui avait toute la peine du monde de se retenir de bondir sur ses pieds. Il soupire en secouant la tête. « D’accord, assez d’information, nous commençons. » Annonce-t-il au plus grand des bonheurs de sa fille.

Elle se souvient que les heures qui avaient suivi, ils les avaient passées cette clairière à essaye de frapper avec le fouet. Malgré le tempérament impatient de son père en tant que soldat d’action, il avait démontré une patience à tout égard avec elle. Tout en reproduisant les consignes de son père, elle essaye d’enchaîner les "clac" pour reproduire le plus possible de "bang sonique". Pour ceci, il lui fallait trois choses très importantes ; de la patience, de la précision et de la vitesse d’exécution. Le maniement du fouet n’était pas spécialement une question de force, mais surtout d’agilité.

Tandis qu’elle se remémore lentement les techniques les unes après les autres, elle se met à danser avec les deux fouets. Elle fait un cent quatre-vingt sur elle-même pendant que l’un des fouets vient frapper l’un des ‘mannequins’ improvisés, continuant dans sa lancée, le deuxième vient frapper une autre cible et ainsi de suite, elle se retrouve à effectuer plusieurs frappes en continuant de tourner sur elle-même. Les claquements dans l’air résonnent à ses oreilles comme une mélodie de combat, l’encourageant à continuer de s’entraîner. "bang" "clac" ''He'' "bang" "bang" "clac" "bang" ''Helia'' "bang" "bang". « Heliamphora ! » La voix de sa mère la fit sursauter et le dernier coup qui était destiné pour venir frapper le mannequin non loin de sa mère dévie dans sa direction. Elle a tout juste le temps de tirer vers l’arrière l’arme pour dévier le coup et venir frapper dans le vide. "bang" « Mère… » Marmonne la jeune adulte en cherchant son souffle.

« Tu devrais prendre une pause, voilà déjà plusieurs heures que tu t’entraînes… Tu as manqué le dîner et le souper. » Lui annonce sa maternelle avec une étincelle d’inquiétude dans les yeux. Yeux qui fixent les deux fouets que sa fille tenait toujours. Dans un soupir qui est en fait le résultat d’une longue respiration d’air. En quelques mouvements rapides, elle enroule les armes végétales qui viennent retrouver leurs positions sur ses hanches. « Il est si tard ? » « Assez pour que l’heure du souper soit passée… Il sait passer quelque chose ? » Demande la femme vieillissante. Helia l’observe un instant, Depuis le départ de son père pour éloignée les ennemis de l’île, sa mère semblait se flétrir a vue d’œil, il était clair qu’elle prenait mal cette séparation et sous peu Helia soupçonnait qu’elle allait s’offrir en offrande à la plante carnivore qu’était l’île, sa maternelle était souvent tourner vers l’intérieur de l’île, observant pensivement la végétation. La rouquine l’avait même à quelques reprises entendues parler dans son sommeil supplier une entité de prendre soin de sa fille… Heliamphora ignorait à ‘qui’ s’exprimait sa mère, mais elle avait une petite idée quand même.  « Seulement la prudence, il y a de plus en plus des visiteurs qui passe proche de l’île. » Sa mère l’observe un instant, la même crainte qu’au départ de son père  prend naissance dans ses yeux bleus. « Tu as la même détermination que ton père… Fait simplement attention à toi. » Souffle-t-elle. « Aller, c’est terminer pour aujourd’hui, tu reprendras demain. » Phora hoche doucement la tête, réalisant que son corps était fatigué qu’elle le croyait. Elle rejoint sa mère, passant un bras protecteur autour de ses épaules frêles et elles marchent en silence vers la maison.

❦ ❦ ❦

La rouquine est installée sur l’une des plus hautes branches géante de l’île. Elle venait d’y installer un semblant de tombe pour annoncer à qui le voudrait qu’Élora Mensa'ea eût quitté le monde des vivants pour rejoindre celui des morts. Helia ignorait si son paternel était encore en vie, surtout après l’entente qu’il avait eu avec l’interlocuteur mystérieux du den-den. Les pensées tournées vers l’océan, les yeux perdus dans les vagues azures, elle finit par remarquer une embarcation de bois qui flotte dans la direction de l’île. Les vagues calmes porte le bois et les débris d’un ancien bateau… Et pourtant, elle a beau scruter l’horizon, elle ne détecte aucune fumée qui pourrait trahir qu’un bateau aurait été attaqué. Aillant le passé le statut de jeune adulte depuis quelques années, la femme se décide enfin à bouger pour rejoindre les contours de l’île qui sert de plage. Devenue une experte du coin, l’habitante ne croise aucun problème durant ça traverser, retrouvant assez rapidement le lieu ou plusieurs débris et la barque avait échouer. Tout en scrutant l’horizon pour s’assurer qu’elle n’aurait aucune mauvaise surprise, elle rejoint l’objet de sa curiosité. Une silhouette blonde se trouve recroquevillée au fond de la coquille de bois, inconsciente, mais toujours en vie. Les mouvements de la poitrine qui se soulèvent doucement confirment à la femme que la personne est toujours en vie. Elle se penche de son imposante stature sur la petite chose qui semble à peine lui arriver à la poitrine si elles venaient d'être l’une à côté de l’autre. Elle s’assure que la demoiselle ne fut pas une menace ou qu’elle ne porte pas d’arme avant de ramasser ce qui se trouve dans la coquille qui semble appartenir à l’inconnue. Elle ramasse ensuite le corps de l’inconscient qui semble être si léger. Il y a un grognement de protestation, mais les bras s’enroulent autour de son cou avant que le visage de la blonde ne disparaisse dans l’épaisse chevelure cuivrée.

Phora reste un instant surprise, figée sur place face aux gestes peu habituelles, puis après s’être assurer que la personne n’allait pas l’attaquer ou encore bouger, elle se remet en marche, allant retrouver la sécurité de ce qu’elle appelait maison. Les heures, c’était écoulé avant que la demoiselle ne retrouve la force d’ouvrir les yeux à elle-même, mais surtout sans offrir une scène délirante à Heliamphora. Cette dernière avait fait de son mieux pour la garder en sécurité, nourrir un peu, mais surtout hydrater grâce à de la mousse-éponge parce que la demoiselle avait dévoilé être incapable de boire ou de manger par elle-même. Le gémissement qu’avait poussé la créature malade avait immédiatement attiré l’attention de la jardinière qui c’était détourner de son jardin improvisé pour rejoindre le chevet de sa malade. À ne pas se tromper, Helia n’était pas une guérisseuse, mais elle en connaissait assez sur les plantes et la vie sauvage pour se débrouiller avec des plantes médicinales. C’était surtout des techniques basiques qui pouvaient être accessible à qui voulait bien apprendre. Tandis qu’elle pose une main tiède sur le fond humide de la blonde, elle s’exprime.

‘’Tu sembles aller mieux… Ta fièvre est tombé. Crois-tu être capable de te redresser un peu et de boire une gorgée de liquide ?’’ Termine-t-elle en posant ses pupilles vert clair dans ceux de celle qui la dévisageait maintenant avec surprise et curiosité. L’inconnue hoche silencieusement la tête, commençant à se redresser en laissant afficher une vilaine grimasse. ‘’Où suis-je ? Qui es-tu ?’’ Exprime la voix encore un peu rouillée. En même temps que son interrogation, elle soulevait le chandail pour dévoiler une peau violacée au niveau de sa cage thoracique, signe qu’elle avait des côtés de fracturées. ‘’Les gens appellent ce lieu l’Archipel de Boyn et mon nom est Heliamphora.’’ Réplique simplement la rousse qui avait récupéré une tasse d’eau chaude odorante végétale et qui l’avait donné à sa patiente. Cette dernière attrape le verre, observe un instant son contenu avant d’y porter le bout de ses lèvres. ‘’Qu’est-ce que c’est ?’’ ‘’Une tisane…’’ La blonde l’observe de la tête aux pieds, prenant en compte son habillement principalement rudimentaire et simple. Elle jette un coup d’œil au bâtiment ou elle se trouve et assimile un peu plus sa situation. ‘’Mais encore ? Elle fait quoi ce breuvage ?’’ ‘’Il devrait alléger la douleur et t’offrir un maximum de nutriment pour t’aider à combattre et à guérir ton corps.’’ ‘’Tu vis seule ici ?’’ ‘’Oui.’’ ‘’Depuis quand ?’’ ‘’Toujours.’’ ‘’Tu veux dire que tu es née ici ?’’ ‘’Évidement, je viens de te le dire. Pourquoi tant de questions ?’’ S’exprime la rousse peut habituer à être autant questionnée. ‘’Curiosité. J’aime savoir où je suis, avec qui je suis, si tu es une menace pour ma vie ou pas.’’ ‘’Si j’étais une menace tu ne serais pas ici, je t’aurais laissée aux monstres de l’île.’’ La blonde ouvre la bouche pour répliquer, mais finalement, elle referme la bouche, il était clair qu’elle n’avait rien à redire à cette vérité.

Les jours et finalement les mois s’étaient écoulées, leur permettant de faire plus ample connaissance le temps que la demoiselle trouve une manière de rentrer chez elle. La blonde, une dénommée Kaley, lui parla énormément du monde extérieur, des océans, des pirates, du gouvernement, des rebelles, ou encore de toutes ces îles qui parcouraient le monde dans lequel elles vivaient. Si la scientifique avait une curiosité sur son monde des plantes, la simple idée qu’ailleurs, il y avait des spécimens qu’elle n’avait jamais rencontré créa une obsession chez la rouquine qui n’arrêta plus de poser des questions sur ce dit monde extérieur. La survivaliste se retrouva choquée par la présence de ville qui regroupait des gens qui se cachaient de la végétation, elle en vient à questionner la sanité de tous ces gens qui se trouvait au gouvernement et encore plus ceux qui les suivaient aveuglément. Cette idée, complètement, aliène de concept intrigua la rouquine qui se posa des questions sur le mal qui avait du être fait à la végétation pour installer ses ‘institutions’ ou ‘habitations’ de bétons comme sembler lui décrire Kaley. Il y eut beaucoup de ‘premières’ fois entre la blonde et la rousse qui fut inculquée un peu de cette culture civilisé extérieur et ainsi pallier un minimal à son manque. Toutefois, leur petit moment prit fin quand un bateau accosta sur l’île, visiblement à la recherche de la demoiselle. Après des échanges, l'enthousiasme face à leurs retrouvailles, en vient les présentations qui se retrouvèrent un peu étranges et Kaley du expliquer la situation. Après que le choc passé, on l’invita sur le bateau, lui offrant l’opportunité de commencer un voyage qui lui permettait de faire le premier pas vers un but beaucoup plus grand ; découvrir le monde végétal extérieur...

Informations IRL

  • Votre prénom / pseudo : Marjo ou Nono
  • Êtes-vous majeur ? oui, j’ai dépassé la majorité légal il y a une douzaine d’années.
  • Vous aimez / n'aimez pas : J'adore mon sphinx, l’écriture, la lecture, la musique, la nourriture, thé/café. J’aime pas l’hypocrisie, trop chaud, trop froid et le manque de communication…
  • Votre personnage préféré (de One Piece) : Carrot & Yamato...
  • Vous vous définiriez comme : J’ai la main sur le cœur… Probablement trop.
  • Vous faites du RP depuis : Depuis un bon moment, mais je pourrais pas dire quand exactement.
  • Vos disponibilités (approximatives) : Essayée 1 soir semaine, peut-être plus si la disponibilité est là, sinon je vais avertir de tout ralentissement.
  • Comment avez-vous connu le forum ? Cam a durement travailler pour m’attirer sur ce beau forum !
  • https://www.onepiece-requiem.net/t26483-heliamphora
  • https://www.onepiece-requiem.net/t26473-heliamphora-une-petite-pousse-ma-souffler-que-le-monde-vegetal-avait-besoin-de-mon-aide-fiche-terminee
Salut Heliamphora, bienvenue dans le coin, je viens pour ta validation o/ (Magnifique avatar)

Niveau forme c'est très bien écrit, et a part quelques fautes verbales dans la bio y'a vraiment rien qui ne m'ait sauté aux yeux. Les descriptions sont superbes, j'ai adoré le coté étrange induit par l'enfance et la vie sur Boyn, le look qui se module en fonction de saisons, et ce mélange entre poison ivy et Indiana Jones, très bon. Le perso à l'air super sympa, et le coté éco warrior venue d'une ile sauvage promet des interactions super sympa (Si tu n'a pas lu la fiche d'ile de Torino, jette y un œil, ton personnage peut s'y faire des amis)

Au niveau de l'histoire on a bien tous les éléments qui nous donnent les clés du personnage, c'est clair, cohérent, ça se lit très bien. en fait y'a juste un truc que j'ai trouvé curieux, c'est que dans ton physique tu parles des lunettes de Kaley, que ton personnage semble garder comme une relique/souvenir, du coup je m'attendais à une mort déchirante ou une séparation, et en fait à la fin de ta bio finalement elles partent de l'ile ensemble, du coup j'ai trouvé ça un peu bizarre, je m'attendais à quelque chose d'autre, et peut être a plus de développement sur la relation entre vous deux après que tu l'ais trouvé.

Mais bon, ça peut se faire en jeu.

Hormis cette attente un peu déçue sur le personnage Kaley, c'est une présentation et un personnage très sympa que tu nous amènes.

Tu es donc validée révo a 750 dorikis.

Il ne te reste plus qu'a passer poster ta fiche technique et tout sera bon. Tu es déjà sur le discord, donc si tu as des questions ou besoin de quelque chose, n'hésite pas à nous contacter la bas.

A bientôt en jeu o/


  • https://www.onepiece-requiem.net/t17349-red
  • https://www.onepiece-requiem.net/t2638-red-termine