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T. Harpan [Terminé]

(???)T. Harpan,Le harponneur Monstrueux

Age : 21 ans
Sexe : Homme
Race : Humain
Métier : Pêcheur
Groupe : Civil
But :
Devenir le plus grand chasseur de Monstre.
Équipement : Un Harpon à la pointe vétuste m’ayant suivi durant très, peut-être trop longtemps.
Une corde d’une vingtaine de mètre.
Pantalon m’aidant dans mes parties de chasse en mer
Une dague pour éventrer mes proies
Des hameçons pour les jours tranquilles
Un seau en osier pour le menu fretin
Un carnet noir
Parrain : L
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ?BNon
Si oui, quel @ l'a autorisé ?
Codes du règlement :

Description physique

Un verre contre des questions ? Ma foi… J’accepte ! *Pause, vide son verre*
Me décrire ? Hmpf... Quelle drôle d’idée ! Moi qui passe si peu de temps devant la glace et qui n’en ait, pour tout dire, jamais possédé. Je n’ai que rarement observé mon visage, et le touchant des mains, je sais juste qu’il est surmonté de sourcils sérieux qui protègent bien mes yeux, d’un bon nez qui hume l’air suffisamment pour rester en apnée longtemps sous l’eau, et que mes yeux sont marrons.  Les fois où j’ai vu mon visage, dans des glaces ou dans de simples flaques d’eau, enfant, mon visage était maigre, relativement émacié.
Puis, l’argent venant dans mon porte-monnaie, trouvant du travail facilement sur les bateaux du port, mes joues sont devenues pleines et l’effort quotidien aidant, mon corps s’est renforcé.  Je me laisse poussé une queue de cheval et un bouc rudimentaires en guise d’esthétique. Mon enfance dans les rues de Logue-town, puis, mon travail en tant que harponneur sur les Navires de pêches, ont résolu de faire de moi quelqu’un de Fort, en tout cas, c’est ce que disent les autres marins. Les autres sont toujours impressionnés par mes prouesses en mer.
Mes tatouages ?
Un héritage familial justement… Ce ne sont que des lignes blanches de « sauvage », vous n’avez qu’à retenir ça !
C’est très tôt que j’ai compris ma différence. La couleur peau n’est pas une différence notable dans ce monde, mais les origines, elles, le sont. Le regard des gens m’a vite fait comprendre cette idée. Puis leurs coups m’ont dessillé sur ce dont ils étaient capables, lorsqu’ils ne comprennent pas, lorsqu’ils agissent à cause de la peur. Je crois que c’est une des raisons qui m’a poussé très tôt à prendre la mer et à affronter des monstres de plus en plus coriaces. Je pense que je voulais me prouver qu’on pouvait dépasser sa peur, peu importe la taille ou la puissance supposée d’un adversaire. On me dit téméraire voire complètement fou. Les gens disent beaucoup. Enfant, ils avaient peur de moi ;  jeune adulte, ils avaient peur de moi, mais tolérer ma présence, puisqu’au fond, je venais de « là-bas » mais que j’avais appris à vivre comme eux. Enfin, ils finirent par m’accepter, je parle en tout cas des non-marins. Les autres, bien qu’ils me trouvent peut-être trop courageux, ont fini de me respecter pour ce que j’accomplis en mer.
En d’autres termes, je ne suis pas  n simple pêcheur. Peut-être que c’est la rudesse de mon environnement qui m’a rendu comme ça – l’apprentissage de la survie, j’veux dire, a fait de moi quelqu’un de fort, physiquement, comme je vous l'ai dit. Mais ici, sur ce port,  j’ai l’impression que je m’étiole, que je gaspille mon temps et ma force en des labeurs de faiblards.
Les bandages ?
Hopf ! Disons que mon bras droit me lance parfois, à force de lancer mon harpon… ! De simples rhumatismes...Il est fort, mais mon bras gauche n’est pas en reste, à force de porter de lourdes charges seul, il arrive d’ailleurs qu’il soit le seul à retenir la corde d’amarrage lors des  fortes tempêtes. Lors des rixes auquel j’ai participé, j’aime à choisir avec quel bras j’achèverai mon adversaire, cependant, en mer, je n’utilise dans l’acte finale de la chasse que mon bras droit. Je trouve qu’il perfore mieux.
Mes jambes ? Vous êtes un marchand d’esclave ou quoi ? Me détailler comme ça c’est… Réifiant… Oui, je connais des grands mots… Eh bien… On peut dire qu’elles sont rapides, puisqu’elles parviennent, en mer, à rattraper certains poissons, et sur terre, à distancer la plupart des hommes, ou, à bondir plusieurs mètres pour atteindre la berge, ou encore à monter, en quelques sauts au sommet du mât.
Elles sont souvent surmontées de mon pantalon bleu qui n’est pas qu’esthétique. Il est assez aérodynamique pour tout vous dire et permet de nager vite sous l’eau. Et c’est sorte de bracelets au poignet sont là pour que j’agrippe mieux mes proies et pour m’aider à mieux tenir la corde lorsque je ferre un monstre. Il n’y a en somme pas de trucs qui ne servent que d’ornement chez moi. Autrement, je me balade la plupart du temps torse nu, excepté ces bandages qui le traversent.
Malgré toutes les choses que j’ai faîtes pour m’intégrer, les gens pensent encore que je vais faire comme mes ancêtres et les dévorer avec des petits oignons…  Ça pourrait vous arriver si vous continuez à me soûler avec vos questions… *rire*

Description psychologique

Pourquoi j’aime le Roger’s Bar ? Ce bar est peu fréquenté. J’suis pas du genre sociable. J’accepte de répondre à vos questions, parce que vous rincez, point….
A la ligne.
Oui, le rhum ici est pas des plus fameux, mais l’ambiance, c’est elle que j’apprécie. Si j’avais pu j’l’aurais vidé ce bar. Je suis pas sans le sous et j’ai ma baraque près du port, mais, même si je suis le meilleur pêcheur d’East Blue, et ce, sans me vanter, je roule pas sur l’or. Pourtant j’suis rustique comme gars. Mais ça m’arrive de voyager, en grande pompe. Les pêcheurs roulent pas sur l’or, sauf quand c’est un contrat du gouvernement. J’ai déjà pensé à m’engager dans la marine, oui. Pourquoi je l’ai pas fait ? Parce que j’aime bien la liberté et si y a que le galon qui justifie qu’on me commande, bah, j’rentre pas dans les rangs. J’dis pas que c’est exclu, on m’a d’ailleurs déjà démarché après l’histoire de Blue Crab, mais à peser le pour et le contre, le salaire d’un soldat de bas rang valait pas ma tranquillité d’esprit. *Pause, vide une bouteille de rhum*
J’suis pas taciturne, j’ai juste pas grand monde à qui parler quand je suis sur terre, et c’est dans cette ville qu’on fait le plus de blé. Oui, y a Poiscaille land, mais là bas, bien qu’elles soient nombreuses, les proies sont pas des grands défis… Mon rêve ? Bwah… Comment expliquer… Vous savez, de la même manière que sur terre, les marins vivent de rumeurs et d’informations qui circulent entre eux. Après l’apparition de Blue Crab, un monstre dont la taille anormale a surpris tout le bateau sur lequel je me trouvais, j’ai compris que mes capacités étaient extraordinaire et que ce monde regorge de créatures plus puissantes les unes que les autre. Mon rêve serait donc d’affronter les monstres les plus puissants du monde. On dit que le Nouveau Monde est un terrain de chasse et de pêche si luxuriant, aux monstres si dantesques, qu’il faut une puissance presque inimaginable pour espérer percer leur peau. Il faudrait aussi faire preuve d’ingéniosité et de stratégie, des domaines, en somme, où je n’excelle quand mer, sur un navire. Sur terre, en quelque sorte, bien que je sois ici, dans cette ville gigantesque, je ne sais lorsqu’il faut se battre, que foncer dans le tas.
Oui, la mer me fascine… La Navigation, j’en connais instinctivement beaucoup, j’ai tendance à sentir les tempêtes se lever quelques heures à l’avance, en tout cas, dans les blues. C’est pourquoi j’ai toujours du travail.
C’est pour ça que vous me parlez ? Ah… Vous me connaissez de réputation ? C’est flatteur… Et je ne sais guère comment réagir à la flatterie. Je suis quelqu’un d’humble en quelque sorte.  Vous voudriez de moi sur votre bateau ? *Pause, termine une autre bouteille*
Vous payez combien !? Vous dîtes que je serai payé en butin… Vous seriez donc un pirate… Vous savez, par ici, on aime pas trop les gens de votre espèce. Moi, je n’ai rien contre vous, chaque équipage est différent, seulement, j’ai besoin de raison si à l’avenir je devais vous suivre.
Premièrement, je déteste l’injustice, je déteste qu’on profite de sa force pour s’en prendre aux plus faibles… Et ça s’applique aussi bien en mer que sur terre. Je respecte mes proies et je veux les affronter à armes égales, non pas les harceler sur plusieurs mois comme font certains pêcheurs. Je n’aime pas faire souffrir, bien qu’une aura terrifiante gravite autour de moi pour les gens qui ne me connaissent pas. Mon bras droit dans la plupart des cas est fatal au premier coup. C’est avec Blue Crab que j’ai compris qu’il fallait que je m’entraîne tous les jours. Précision… Force brute… Vitesse… Voilà les trois mots d’ordre lors de mes combats. Et au fil du temps, l’on m’affubla de sobriquet qui ont fini par refléter mes années d’expériences d’où Le Harponneur Monstrueux…
Ah, vous avez vu les baleines qu’a ramené le Fisher Nest ce matin… Je comprends mieux… Finalement, vous avez l’oeil… Du menu fretin à mes yeux… Blue Crab, ça s’était un combat, là, j’ai dû me dépasser… Calm Belt… une fois dans ma vie, par erreur… sur le Must fishing, un capitaine généreux, c’est lui qui a repéré ma détermination en mer… Il disait que j’ai le sang froid devant la mort des plus grands sabreurs du monde. Je n’ai pas croiser le fer, ici, avec qui que ce soit qui puisse prétendre à un tel rang… De peur de devenir trop visible et de devoir changer de ville, j’ai appris à me faire discret et c’est pourquoi je viens au Roger’s, non pas par affiliation à la cause des pirates. Les remous et les aléas de la politique ne sont à mes yeux, pas plus importants que le climat.
Le monde change ?
Je ne peux décemment espérer exploiter mes capacités dans cette ville… Je le sais… Vous m’offrez de l’or, mais qu’est-ce que j’en ferais… Quoi ? A part m’acheter des montagnes de bouffes… Mais pourquoi voulez-vous savoir tant de choses sur moi… ?*Pause, hoquet, ouverture d’une nouvelle bouteille*
Soit… Je vais vous raconter  mon histoire… Oui, aussi celle de Blue Crab.

Biographie

Je n’ai que quelques souvenirs vagues de mes parents… Je me souviens tout flou, d’un visage aimant de femme. Certains diront plus tard que mon père était originaire de l’îlot flottant, qu’il y était un grand guerrier et aussi un chef coutumier. Je n’ai aucun moyen de vérifier ces informations. D’après le carnet que m’a laissé ma mère, pour seul héritage, ces dires sont vrais,du moins, en partie. Il semblerait donc qu’il fut cannibale si le portrait que dressent les écrits de ma génitrice sont fiables. Je ne sais pas si ça se transmet dans les gênes, peu importe… Ma mère était une scientifique de la marine, et elle était chargée, avec une petite expédition d’étudier les temples de l’îlot flottant ainsi que les tribus qui l’habitent. C’est ce que me racontèrent quelques gens du marché qui toléraient ma présence, bien des années plus tard.  Le carnet raconte une histoire plus détaillée...Bien évidemment, ce fut un carnage ! Elle fut capturée, prises pour femme , puis libérée pour des raisons qui m’échappent encore.

Je sais que ma mère mourut peu de temps après son retour à Logue Town. J’avais à peu près 5 ans, ma mère n’ayant pas de famille proche dans cette ville, j’aurais dû devenir pupille de l’état, un orphelin destiné à entrer dès son plus jeune age dans la marine, si un étrange concours de circonstance n’avait rendu les choses plus complexes. Mon nom ? Je ne le connaissais pas encore. Mes premiers souvenirs remontent à un simple tonneau rempli de poisson… où je volais ma nourriture lorsque les marchands du port avaient le dos tourné. Je crois avec le recul, qu’ils faisaient semblant de regarder ailleurs… Étrangement, j’étais déjà tatoué, en tout cas aussi loin que ma mémoire puisse remonter. Ces étranges tatouages dont j’ai déjà parlé, ont grossi et pris de la couleur en même temps que moi. Et je ne sais pas ce qu’ils signifient. Je sais simplement qu’ils m’apportèrent une vive haine de la part des habitants de Logue Town. Je me hasardais rarement hors du port, pour des raisons connexes. Dès que je le quittais, je prenais une volée de cailloux bien sentie de la part des enfants, d’autre fois des raclées d’hommes sous l’emprise de l’alcool. Tous, dans cette zone, me regardait avec des yeux ronds, ou méfiants, ou emplis de haine. Dans cette zone, on me traitait de tous les noms et principalement de « sauvageon »… Je ne suis pas entrain de me morfondre sur mon sort, il n’y avait pas que de la haine dans tout ça, il y avait de l’incompréhension et s’il n’y avait les marins, je serai probablement mort de fin.

Je baragouinais quelques mots et ne savait pas lire. Je vivais Je me repérai aux couleurs, aux sons et à la vue. Je passai mon temps à regarder les bateaux amarrer, déversant leur lot de poisson tous les jours dans la bonne humeur... La seule chose qui fut distinguable dans le tohu bohu du port, la seule chose qui fut véritablement importante, c’étaient ces écus d’or qui changeaient de noms tout le temps mais gardaient la même structure grammaticale. Une fois c’était « cent », une fois c’était « mille », mais toujours, à la suite, venait cette étrange mot « Berries » ! Je suis moi même étonné de ne pas avoir développer une fascination pour les berries… Mais je sais exactement pourquoi elle n’apparut pas.

C’était un jour d’hiver où le port était nettement moins fréquenté. Hiver assez rude pour les plus démunis. Après une rixe dans la « zone urbaine », n’ayant jamais appris des coups qu’on me donnait quand j’osais sortir du port, et, j’en ai pris des raclées, je décidais, étant devenu de plus en plus rapide et précis dans mes larcins de survie, de voler un de ces petits sacs qui pendaient le plus souvent aux ceinturons des gentilshommes ou qui était caché dans le sac des dames. Au passage d’une ruelle, j’aperçus une bourse et m’empressai de suivre un homme bedonnant portant un chapeau haut de forme, je m’approchai subrepticement… Je vous l’ai dit, je connais des grands mots… Et la main tendue vers cette escarcelle quelque chose m’arrêta. Je ne pouvais plus bouger la main, une force gigantesque m’empêchait de bouger, j’avais beau tirer dans tous les sens et me débattre, impossible de faire un centimètre de plus. Ce n’était pas mon sens moral, sens qui n’a d’importance que lorsqu’on vit dans le luxe, non, c’était bien quelque chose… Une main !

Je pris un coup redoutable sur la tête et m’évanouis. Me réveillai un temps indéterminé plus tard… et chose étrange, il ne faisait plus froid.  Je sentais une sensation qui m’était inconnu, j’étais pour la première fois dans un lit et non sur de la paille, autour de moi, le duvet d’une couette. J’ouvrais les yeux, cherchant tout de suite à m’enfuir, mais un croche patte me fit manger le parquet qui servait de sol à cette batisse. Un homme gigantesque, à la musculature d’un monstre me regardait en se marrant ! Il dit ensuite des mots qui devaient rester graver dans ma mémoire :

« Jeune gredin… On ne vole jamais d’or quand on est pas pirate ! C’est la première chose que tu apprendras de moi ! On gagne l’or à la sueur de son front!!! Chachhacha »

C’était Chester… Le premier marin qui daigna m’adresser la parole. Derrière lui, l’équipage du Must Fishing… Mon premier navire et mon premier emploi. Chester était un homme bon, malgré son apparence bourrue et ses manières de roublard, c’était un grand lecteur et sûrement l’un des meilleurs harponneur de baleine des Blues. Il m’apprit qui j’étais. Il m’apprit à pécher, harponner, me battre… Il m’apprit à lire et me donna le carnet que ma mère. Je ne sais pas ce qui s’est passé pour qu’il n’atterrisse pas dans mes mains au début de mon aventure. Je sus seulement qu’il l’avait connue, et qu’apprenant sa mort, il s’était empressé de partir à ma recherche ; seulement, en mer, il avait mis du temps à rallier Logue Town. Il ne dit jamais plus un mot sur ma mère, et, lorsque je lui posais des questions, son regard devenait ombrageux et il me rabrouait. Le reste de l’équipage étaient composé d’hommes de son espèce. S’ils n’avaient pas eu des familles disséminées au quatre coin du globe, ils se seraient sûrement faits pirates. C’étaient d’ailleurs de joyeux lurons, des pêcheurs imbattables et des navigateurs expérimentés.

Plus d’une fois, durant les années que je passais parmi eux, nous fûmes abordés par des malheureux pirates, qui après une bonne raclée prise sur Grand Line, pensaient pouvoir se refaire en pillant un bateau de pêche. C’était sans connaître le Must Fishing. Ils partaient sans demander leur reste après une autre raclée. Parfois Chester décidait de les pourvoir en poissons afin qu’ils n’aient pas l’audace de tenter une nouvelle attaque. Un homme généreux, vous dis-je.
Nous nous arrêtions dans divers ports des blues, dans des îles tropicales la plupart du temps, le temps de se ravitailler en Rhum et de récupérer de l’or. Seules raisons de toucher terre, en vérité. 5 à 6 ans passèrent et l’on m’autorisa enfin à planter mon premier harpon sur une vraie cible. Je n’étais déjà plus l’enfant malingre des rues de Logue Town... 10 ans mon premier éléphanthon, 2 ans plus tard ma première baleine… Et ainsi de suite...  De plus en plus gros… A 16 ans mon premier monstre marin, une vache des mers. Vous le comprendrez, le fait qu’ils m’aient ainsi accepté parmi les leurs, appris tout ce que je sais aujourd’hui sur les blues, la franche camaraderie et l’entraînement quotidien firent de moi ce que je suis et formèrent une durable amitié. Mais c’était sans compter… Les aléas de ces mers… * Termine une autre bouteille*

Un soir nous fûmes pris dans un ouragan dantesque… une perturbation anormale qui résultait du fait que nous voguions peut-être trop près des courants qui mènent à la Flaque. La raison en était qu’un village de pêcheur nous avait demandé de les débarrasser d’un bans  de monstres soit disant gigantesques qui empêchaient l’activité de l’île. Bien que mes compagnons furent rompus à ce genre de situation, nous dérivâmes cependant, et pour la seule fois de ma vie, à l’âge de mes 17 ans, je me retrouvai  sur Calm Belt. Nous nous battîmes vaillamment pendant quelques semaines pour reprendre le cours normal de nos activités, reprendre le courant, quoi ; cependant, le deuxième navire qui faisait partie de la petite flotte que nous étions fut coulé par une attaque de monstre. C’est à partir de ce moment là que je me résolus de devenir le plus grand chasseur de monstre du monde. Ambition que je gardais secret pendant quelques temps. Toutefois, alors que nous retournions sur une île pour refonder notre flotte,  et que nous traînions derrière nous deux monstres d’assez petites tailles en comparaison des autres, pour les échanger contre un nouveau navire. Chester ayant compris implicitement que mon cœur rêvait de venger la mort de nos camarades. Il m’incita, de manière indirecte, à prendre mon indépendance en me bottant le train… Peut- être que j’aurais un jour le temps de vous raconter cette histoire…

Je pense qu’à cet âge là, j’étais déjà un marin accomplis, et un jeune adulte plein de capacités. Le combat que je dus mener contre Chester dura beaucoup trop longtemps. Il me frappa une journée durant avant que j’accepte de quitter l’équipage et de me débrouiller par mes propres moyens pour rejoindre une île de pécheurs. Seul, abandonné par mon mentor et mes amis qui pleuraient, tout comme moi, à chaudes larmes, je rejoignis une petite embarcation pour atteindre Logue Town, où ma vie avait commencée. J’ai eu le vent en poupe et beaucoup de chance déjà d’atteindre Logue Town, et je remerciais le ciel d’avoir rencontré la bande à Chester. Le fait qu’il m’évince de son équipage, je ne le compris que plus tard, était en réalité une volonté de me libérer de ma colère et de mon envie de me venger. Il voulait aussi briser des liens qui, si j’en crois ce qu’il disait souvent de moi, lorsque j’avais le dos tourné ou que je faisais semblant de pioncer, allaient me ralentir dans mon histoire personnelle. Il disait que j’avais un destin plus grand que de rester simple pêcheur. Je n’ai jamais su pourquoi. Peut-être que vous pourrez me l’apprendre… ? Ça expliquerait peut-être autant de curiosité de votre part, hein ? *Pause,  ouvre une autre bouteille*
L’histoire de blue Crab ? J’y viens j’y viens !


Peu de temps après mon retour à Logue town, donc… Tout avait changé, certains des marins du port reconnurent mes tatouages et ce qu’ils appelaient mon énergie personnelle, furent heureux de me savoir en vie, bien que la transformation de ces quelques années fut si impressionnante. Tout avait changé aussi dans la zone urbaine, comme j’aime à l’appeler. Les gens avaient toujours peur, c’est vrai, mais les soûlards les plus téméraires n’osaient que rarement se frotter à moi. La plupart des enfants qui me jetaient des cailloux dans le temps, me jetaient aujourd’hui des regards emplis d’une terreur qui ne pouvaient qu’être appréciables. Je louais quelques jours après mon retour, une petite bâtisse près du port afin de continuer mon métier. Cependant, mes nouvelles ambitions persistaient, et, ma volonté d’affronter des monstres plus redoutables continuaient de croître… Je décidais de m’engager sur de plus gros baleiniers, espérant, un jour retourner sur Calm Belt. Je fus un jour amené à m’engager sur le Fisher Nest qui était des plus réputés. L’équipage cependant, trop sérieux, à mes yeux, ne valait aucunement le Must. Pourtant, c’est à son bord, qu’au large de Logue Town, après qu’une tempête l’ait fait dériver, le monstre surnommé Blue Crab devint ma plus grosse prise. La prise qui a fait ma réputation dans cette partie du globe.

Oui, je l’ai attrapé seul. Non, il n’était pas si gigantesque que ça en comparaison de ceux qui peuplent Calm belt et ceux qui, aux dires des marins, ont choisi de sillonner le Nouveau Monde. Et c’est pas comme si il crachait du feu! *Rire* Pour un ordre de grandeur, je dirai qu’il était moyen, mais son épaisse carapace, elle, le rendit extrêmement difficile à tuer et à tracter jusqu’au port. Non, vous rigolez… Le combat n’a pas duré une semaine… 2 jours... tout au plus... si ma mémoire est bonne. C’est vrai qu’il était coriace – je n’ai d’ailleurs depuis pas affronter de monstre aussi dangereux… Depuis Blue Crab, depuis 3 ans quoi, c’est le calme plat dans cette région...  Comment j’ai fait ? Bah … Au Harpon...

Informations IRL

  • Votre prénom / pseudo : Brometheus
  • Êtes-vous majeur ? Yep
  • Vous aimez / n'aimez pas : Le lore de One piece, le système de jeu de OPR et la créativité en général!
  • Votre personnage préféré (de One Piece) : Tony Tony Chopper
  • Vous vous définiriez comme : Un rôliste qui se pose beaucoup de questions. D'ailleurs ne sachant trop comment vous attribuez des dorikis, j'ai désiré poser un personnage implicitement assez puissant dans le domaine physique et dans la traque sans entrer trop avant dans le grosbillisme. J'espère que ce n'est pas trop long et que ça restera agréable à lire! Par ailleurs, je ne savais pas comment mettre mon avatar dans le code requis pour le modèle de présentation! J'essaye de repasser dans quelques heures pour refaire quelques relectures, au fur et à mesure! En tout cas, très beau design du fofo!
    Par ailleurs, j'espère avoir suffisamment fait sentir pour quelles raisons je préfère commencer en tant que civil, du fait que j'ai l'envie de me laisser porter par le rp plutôt que de créer un leader de la marine ou bien pirate. J'aimerai vraiment trouver un équipage de joueur plutôt que de devoir tout créer, au risque d'être plus perméable aux disponibilités des autres joueurs, je préfère écrire collectivement, plutôt que d'enchainer les rp solos.
  • Vous faites du RP depuis :  Pas assez longtemps
  • Vos disponibilités (approximatives) : J'peux vraiment pas me projeter sur ce point
  • Comment avez-vous connu le forum ? Google
  • https://www.onepiece-requiem.net/t26666-harpan-s-clock-style#276
  • https://www.onepiece-requiem.net/t26660-t-harpan-termine#276146
Bienvenue sur OPR mon cher Ekko !


Pour la forme:
Quelques petites fautes mais rien de grave. J'ai trouvé qu'il aurait été sympa de plus espacer tes textes, par moment ça faisait un peu compact.

Pour les descriptions:
Tout d'abord, à titre purement personnel, je ne suis pas très fan des personnages qui se présentent avec une certaine désinvolture. C'est souvent cliché et pas folichon. Dans ton cas, j'ai trouvé que c'était bien fait et qu'en plus ça servait bien la présentation. Les trois parties s'enchainent merveilleusement bien, il parle quelques fois par énigmes avec des références à son passé et ça m'a donné envie d'en savoir plus. On en apprend pas mal sur le personnage, on voit bien à quoi il ressemble et comment il est au fond de lui. Si je veux titiller un peu, j'ai trouvé qu'il n'avait peut-être pas assez de défauts à mon goût, mais c'est très personnel. Point sympathique, la façon qu'il a de s'exprimer, je trouve que ça le caractérise très bien.

Pour l'histoire:
Rien d'extraordinaire au final en dehors de sa filiation singulière. Pour le reste c'est finalement un peu le gosse des rues qui fait un jour LA rencontre qui change sa vie. J'ai apprécié de voir un personnage qui s'oriente ainsi vers la chasse au gros. C'était rapide mais efficace. Petit point qui m'a fait lever un sourcil: les marins qui survivent deux semaines sur Calm Belt. Ah ouais quand même, c'étaient pas des rigolos les types, mais à la limite pourquoi, ça peut être des monstres de puissance, on ne sait pas. Petit point où il faudra potentiellement faire attention, c'est qu'au début ton personnage ne peut pas être célèbre comme il n'aura pas de PP. En dehors de ça j'ai bien aimé le tout.

Tout ça pour dire que je te valide donc à 680 dorikis en tant que simple civil mais fier pêcheur.

Pour la suite: direction la confection de ta FT et le recensement de ton avatar.


Bon jeu et amuse toi bien sur OPR.
  • https://www.onepiece-requiem.net/t23698-fiche-technique-ambrosia
  • https://www.onepiece-requiem.net/t23692-ambrosias-proteger-servir-et-traquer#250544