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♫ Je suis parti de bon matin... ♪

Je courais dans les cercles d'armada le sourire aux lèvres et le cœur désireux et excité d'une nouvelle aventure. Dans les mains, se trouvait un cylindre métallique contenait des plans et une carte de l'île qui obnubilait mes journées depuis une semaine.

Il fallait dire que tout avait commencé au retour d'un équipage pirate venant de Water Seven. Leur équipage semblait avoir subi une défaite. Le plus grand chantier naval du monde ou bien la cité sur l'eau ne brillait pas par sa puissante force armée. Et n'étant pas sous le gouvernement mondial, je doutais que des marines y fussent pour quelque chose.

Quand je m'enquerrais de la situation auprès du capitaine il me raconta qu'en passant a coté de la cité il on eu vent de rumeurs venant de leurs contacts comme quoi un atelier appartenant a Franky un des plus grand charpentiers du monde avait été récemment découvert  mais lorsqu'ils on voulu vérifier cette théorie il sont tombé sur la "franky family" et que ces gugusses défendaient la zone. Ne s'attendant pas à une telle opposition, ils ont dû fuir la plupart de leurs membres d'équipage passé à tabac par ce gang de rue.

Il ne pouvait m'affirmer que cet atelier existait, mais une chose était sûre, ce gang défendait un endroit dans les débris autour de la ville parfois recouvert par l'eau. Personne n'a intérêt à défendre un terrain vague. Alors depuis des jours accompagnés par les conseils avisés de mon nouveau membre d’équipage, j’étudiais de vielle cartes de la ville. Essayant de raccorder au témoignage de l’équipage en question pour trouver une zone a chercher.

Pourquoi je faisais ça ? Parce que ne possédant moi-même aucun navire et n'ayant aucun moyen de m'y rendre mon plan devait être solide comme le roc pour que le capitaine Red me vienne en aide.

Avec un peu de chance, ce Franky aurait pu laisser des plans ou même un navire prêt à être embarqué ! Et je pourrais enfin devenir un véritable capitaine à part entière !C'est alors après plusieurs jours de recherche que ma course me menait déjà dans son cadran et je rentrais en trombe passant les différents pirates qui défendaient l'entrée.

C'est alors après plusieurs jours de recherche que ma course me menait déjà dans son cadran et je rentrais en trombe passant les différents pirates qui défendaient l'entrée.

"Pardon, pas le temps !"

J'aurais même pris appui sur la tête d'un pirate qui aura tenté de mettre en travers de mon passage.

"J'ai dis pas le TEMPS ! Désolé !"

Je passais devant les pirates, mais aussi la déco' assez étrange de l'endroit ou était accroché tout un tas de richesses et de trucs précieux que je ne pouvais décidément pas comprendre. Cet endroit avait un effet étrange sur moi, car certes, c'était des choses précieuses étaient affichées, mais cela donnait aussi un effet de "trophées de chasse" qui ne me plaisait pas. Après tout, j'avais reçu mon propre avis de recherche récemment et moi-même était un trophée pour certains.


J'ouvrais la porte du bureau de Red en menaçant de tomber ma fidèle navigatrice sur mon dos.


"Red ! Je l'ai ! Il faut que je te montre ! J'ai besoin que tu m'amènes à Water Seven! "


Je me rapprochais bien décidé du bureau en ouvrant la carte avec mes annotations et la plaquant contre le bureau devant le fauteuil ou était assis Red. Dans la salle, se trouvait l'homme aux cheveux blancs de Marineford, Aquila, je crois, visiblement, je venais de débouler en pleine conversation. Peu importait, j'avais travaillé trop dur pour ça et j’étais complétement remis et bien plus forts qu'ils ne m'avaient jamais vu. Ma rémission avait fait des miracles.


"Je sais où se planque l'atelier de Franky. Il est couvert par de l'eau ! C'est pour ça que je ne le trouvais pas ! Mais maintenant je sais ! Il est sous-marin ! Dans cette zone ici ! Ils ont dû le construire en dehors de la ville sous les débris à l'abri des regards, c'est pour ça qu'ils défendaient la zone quand elle était à sec. Et qui veux dire à sec veux dire vulnérable !"


Mon sourire était éclatant et ma détermination sans faille. Mon cœur battant tel tambour dans ma poitrine tant j'étais heureux d'avoir potentiellement trouvé le secret le mieux gardé de Water Seven.
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Dans la cabine de Léo, la rousse pose ses pupilles sur le mink géant qui sautille sur place. Maintenant, que ces blessures n’étaient plus, l’homme avait dévoilé énormément d’énergie et de motivation à enfin partir en aventure. Dès qu’elle avait entendu parler de l’endroit où ils allaient enfin partir, Water 7, la demoiselle c’était démenée pour trouver de l’information, échangeant des heures de travail ou encore connaissance contre les informations nécessaires à leur futur voyage. Elle finit par claquer des doigts, le son résonne dans l’espace clos et elle attire pour la cinquième fois l’attention de l’être turbulent. Elle joue distraitement avec son pantalon vert, tire finalement un peu sur les gants de cuir qui recouvre ses mains avant de reprendre la parole.

‘’Un peu de concentration Léo, j’ai des informations importantes…'' Elle pince l’arête de son nez. '' Il y a un phénomène météorologue qui se passe sur place, L'Aqua Laguna est une marée haute annuelle qui a lieu dans Water 7. Elle engloutit la partie inférieure de la ville avec une énorme vague. Si mes calculs sont bons, elle devra arriver sur nous durant notre passage sur Water 7… Et j’ai cru comprendre qu’il fallait se rendre justement dans la partie inférieure… On devrait peut-être retarder notre visite…''

Toutefois, elle voit bien que l’homme ne l’écoute plus, se dirigeant vers la porte extérieure. À remarquer ses signes d’impatience, elle le suit silencieusement, résignée. Elle referait ses explications plus tard… Ou elle lui laisserait découvrir l’événement le moment venu. Sur les talons du mink, elle n’hésite pas quand elle le voit se préparer à foncer en direction du manoir de Red. En moins de quelques mouvements, elle saute sur son dos et s’accroche avant de voir les contours du paysage devenir flou sous la vitesse. Elle enfonce son visage dans la crinière pour ne pas avoir un mal de cœur et attend sagement qu’ils arrivent à destination.

Ce ne fut qu’une fois dans le bureau et à une vitesse plus normale qu’elle en profite pour sauter en bas du dos. Elle offre un hochement de tête respectueuse au propriétaire des lieux avant de se reculer un peu pour laisser place aux gardes qui allaient bientôt débarquer dans la pièce, clairement outrés de l’action de Léo. Elle remarquait ensuite l’autre homme présent, Aquila si sa mémoire était bonne. Elle offre un sourire presque timide, davantage malaisée d’être débarquée dans un lieu qui lui était complètement inconnu. Elle lui offre tout de même un hochement de tête pour salutation et elle attend sagement qu’ils échangent.


“Is the land a source of belongings, or a source of belonging ?”

“The underlying melody via every rock, plant, animal, sky and star, inside the water, from the dirt, through the light: only love lasts.”
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Chapitre 9 - Nos maisons flottantes...

Ayant pris conscience de sa condition de pirate, et ayant pesé les conséquences que cela allait avoir, Aquila et Kensa se rendirent sur le cadran de Red afin de lui demander de l'aide pour obtenir un navire et régler les conséquences de ses actes sur Marine Ford.
Le couple déambulait plus aisément qu'à son arrivée. Certains les reconnaissaient, d'autres les ignoraient. Mais, au final, Armada n'était ni plus, ni moins qu'une grosse cité avec différents quartiers plus ou moins fréquentables. Heureusement, lorsqu'ils demandaient le cadran du Capitaine Red, certaines personnes répondaient gentiment en donnant des indications assez précises.
Une fois dans le cadran de Red, trouver son bureau était assez simple. À son entrée, se trouvaient deux gardes. Aquila s'approcha d'eux et leur dit :


"Je viens voir le Capitaine pour affaire."

Reconnaissant le couple, ils les laissèrent passer. De toute façon, ils savaient qu'ils n'étaient là que pour faire figuration, car vu la puissance de l'Empereur, ça serait plus une tentative de suicide qu'autre chose que de l'attaquer.
Une fois devant la porte de son bureau, Aquila toqua et le couple rentra que lorsqu'on les invita à entrer. Aquila et Kensa entrèrent en le saluant :


"Capitaine !"
"Capitaine !"

Puis, Aquila lui expliqua qu'avec les événements de Marine Ford et la prime sur sa tête, le couple allait devoir régler certains problèmes, et que pour ce faire, il leur fallait un navire. Aquila rajouta même :

"J'ai bien compris qu'en étant pirate, je n'irais pas l'acheter et qu'il va falloir qu'on le vole. Le souci, c'est que je n'y connais rien en navire et je ne sais pas où son les chantiers navals, donc nous sommes venus te voir afin de savoir où il y en aurait, s'il te plaît !"

Mais à peine sa phrase fut-elle finie, qu'une furie féline sous les traits de Léo, le Mink qui les avait accompagnés depuis Marine Ford, fit son apparition. Là, il se mit à déblatérer tout un tas de choses, sans même qu'on n'y comprenne quoi que ce soit. Le pauvre homme devait même commencer à manquer d'air tellement, il parlait vite, sans reprendre son souffle. Aquila le regardait faire, les bras croisés, tandis que Kensa était appuyée contre un mur et attendait patiemment.
D'un coup, parmi l'imposante fourrure du Mink, apparut la jeune femme du navire de la Marine qui avait réduit la virilité de Léo à néant. Elle salua le monde se trouvant dans la salle par un hochement de tête auquel Aquila lui répondit en levant deux doigts de sa main visible, et Kensa lui rendit la politesse par un autre hochement de tête.

Lorsque Léo eut terminé son discours, Aquila s'approcha du bureau pour regarder ce qu'avait amené le Mink et lui dit en même temps :


"Calme-toi et pense à respirer ! Je n'ai rien compris à ce que tu as baragouiné !" Puis, en regardant les documents plus précisément : "Donc, si je comprends bien, tu aimerais aller visiter un atelier abandonné, se trouvant sous l'eau sur l'île de Water Seven? Intéressant..." Regardant Red : "Tu en penses quoi ?"
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- Difficile de ne pas vouloir creuser un peu. L'avantage des stocks de bidules technologiques c'est que ça se conserve plutôt bien. Et quand on rajoute le nom de Franky en plus...

Après tout, Franky est le pendant pirate de Vegapunbk et le cyborg le plus célèbre du monde de la piraterie. Au delà des réalisations des Mugiwara, nul doute que tout ce qui trainera dans un vieux labo du cyborg aura de la valeur et un intérêt pour tous ceux qui mettront la main dessus. Et comme Water Seven n'est pas vraiment le coin le plus hostile aux frères de la cote, c'est une expédition qui ne s'annonce pas très compliquée. L'info est maigre mais le gain prometteur. Alors pourquoi pas.

- Je vais vous trouver un bateau et un éternal pour Water Seven. Je présume que vous n'avez pas besoin de beaucoup de temps pour faire vos sacs ?

C'est l'avantage d'arriver par hasard sur Armada, on s'y trimballe rarement avec une malle pleine d'affaires.

Quelques minutes plus tard Brick le tontatta nous a rejoint, et s’avère comme prévu tout aussi conquis que les apprentis pirates.

- L'Ablette vient de rentrer de Jaya, ce sera parfait pour un aller retour rapide à Water Seven.


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"Non, en effet, on peut partir tout de suite. Avec un peu de chance, on n'aura pas à affronter l'aqua laguna. Moi ce qui m'intrigue, ce sont les gardiens de l'endroit. On ne garde pas un endroit pour rien, si ?"


Me tournant, je fis un clin d’œil à Heliamphora, prouvant que j'avais définitivement écouté ce qu'elle m'avait expliqué.


"Mettons-nous en route, au plus tôt alors ! Direction l'ablette !"



Mon cœur battait la chamade. Ils avaient acceptés ! Un empereur et un gars avec une prime de supernova avaient accepté mon idée ! J'en étais sur, comme quoi tout travail fini par payer finalement. Et je venais de les allécher avec un pactole historique. Normal qu'ils me suivent non ? Ça sentait l'embrouille et l'aventure.
Lorsque l'homme de red en question revint le voir, je n'en revenais pas, il était minuscule ! Mais carrément minuscule !


"Un nain ! Un véritable nain ! Ma mère avait raison, je n'en crois pas mes yeux. C'est un honneur de rencontrer quelqu’un de votre tri...bu ? Peuple ? Peu importe. Mon nom, c'est Léo et on a un trésor, hypothétique, à trouver !"


Pour cette mission, je ramenais de quoi forger au cas où. Ce qui équivalait à toutes mes possessions pour le moment, mes marteaux et mes affaires représentais les seules choses qui pour moi me rappelaient la maison. Alors au vu de ma carrure et mon impatience, il ne fallut pas longtemps avant que je ne sois à bord du navire avec toutes mes affaires. Alors que l’équipage du bateau et moi-même s'affairait à larguer les amarres, je regardais heliamphora avec un sourire.

"Ça va bien se passer ! On a vu pire. Eh puis t'es vachement intelligente, j’suis sûr que grâce à toi, je ne risque rien. Par contre le capitaine Red m'as donné ça, tu sais t'en servir ?"

Je lui montre l’éternal pose ne sachant pas exactement quoi en faire. Je crois que ce genre de chose permettait de ne jamais perdre de vue une île en particulier, mais au vu des débuts prometteurs de Hélia en tant que navigatrice, je préférais lui laisser cette charge. Qu'elle se sente en confiance et dans une véritable équipe qui me comptait moi et elle.
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Heliam écoute attentivement, retournant la politesse tout en ne manquant aucune miette des échanges. Elle ne savait pas trop encore comme prendre la précipitation. Malgré ses efforts pour trouver le maximum d’information, elle avait la vague impression qu’elle n’en avait pas assez fait. Silencieuse, elle esquisse une légère moue, caressant distraitement son visage qui voilà encore quelques heures à peine avait encore les marquer du cadeau de Reyson, une moustache. Toutefois, les poils naturellement roux avaient tombé, dévoilant que les hormones n’étaient pas infinies et que le corps humain finissait par les expulser ou simplement l’éliminer… La rencontre avait été des plus… Douloureuse, mais combien intéressante pour son esprit scientifique. Elle s'était même demandé si elle n’allait pas une nouvelle fois à la rencontre de l’homme pour découvrir cette fois, ce fameux sosie avec lequel elle partageait le même visage, peut-être que la jeune femme connaissait sa mère ?

Elle secoue finalement la tête, chassant toutes ses interrogations pour observer le bout de garçon qui entre dans la pièce pour annoncer son retour. Red annonce au même moment, que s'était l'enfant qui serait leur moyen de transport… Une nouvelle fois, l’enthousiasme de Léo face à le gavroche, un nain ? Était-ce un termine pour souligner la taille d’une personne ? Une race peut-être, malgré le corps enfantin, il y avait une brillance dans le regard foncé qui trahissait une expérience de la vie. Sous la prochaine étape, Helia avait approuvé sans plus attendre. Avant de partir, elle avait déjà tout pris, son sac de voyage et des dizaines de green pop en plus de son équipement de combat. Elle avait laissé le reste de son matériel tel que son laboratoire et ses bouquins à sa cabine, elle n’allait pas prendre le risque de tout perdre dans la marée qui allait leur tombée dessus. Elle s’étire finalement, échangeant un regard avec les autres avant d’emboîter le pas du lion qui entraînait Brick avec lui.

Heliamphora se retient de tout commentaire devant la coque de métal qui les accueillit. L’odeur d’huile, de fumée et de chimique lui agresse immédiatement les narines et elle ferme un instant, les yeux, le temps qu’ils embarquent tous. Quand elle ouvre ses pupilles, elle tombe sur le visage joyeux de Léo qui lui donne le fameux eternal pour se rendre à l’île de Water Seven. Elle l’observe la boule de verre un instant avant de hocher la tête.

‘’Je vais aller rejoindre Brick, c’est lui le navigateur de l’ablette, mais je vais lui demander si je ne peux pas l’observer et l’assister. Il faut bien que je mette mes nouvelles connaissances offertes par Jeska en pratique. Je serai avec lui si tu me cherches.''

Sur ses dernières paroles, elle offre un faible sourire à Léo et s’éloigne vers l’arrière du bateau. De ce qu’elle se souvenait, le modèle qui leur avait été prêté était un bateau avec un petit équipage et ceci leur permettrait d’aller à une vitesse très vite. Elle reste un instant interdit devant la roue à aubes qui semble être le centre du système de navigation et de puissance du bateau. Elle espérait sincèrement que le futur bateau qu’ils allaient chercher n’allait pas ressembler à celui-ci. Tout en rejoignant Brick, elle lui tend l’eternal.

‘’Red nous a donné ceci pour Water Seven. Est-ce que ça dérange si je reste et j’observe, je suis la navigatrice de Léo et j’aimerais observer ici un compère expérimenté… Surtout avec un modèle tel que l’ablette aussi unique.’’

Après une vague approbation, du moins elle croit, le capitaine du bateau s’active en installant le log sur un socle à cet effet et commence à donner des ordres pour lancer le bateau dans la bonne direction. La rouquine est immédiatement fascinée avec la vitesse d’exécution du bateau, clairement le petit navire avec une facilité aux manœuvres rapides et serrées. Depuis sa sortie de son île, elle en avait vu des bateaux, mais jamais comme celui-ci. Avec la vitesse avec laquelle ils se déplaçaient, ils arriveraient relativement très vite à destination.


“Is the land a source of belongings, or a source of belonging ?”

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Red était intrigué par la chose, et comme il le disait, si ça porte le nom de Franky, ça peut valoir le coup. Même un jeune artiste martial comme Aquila, qui n'était jamais sorti de son île natale, avait entendu parler de ce charpentier hors pair.
En tout cas, Red avait consenti à prêter un équipage dont le chef de l'expédition était un être de petite taille. Aquila n'en avait jamais vu, mais il savait qu'il ne fallait pas le prendre à la légère, d'autant plus que l'homme en question faisait partie de l'équipage de Red. Si Léo était très expressif, ce que certaines personnes pouvaient très mal le prendre, même si ce n'était pas le but, Aquila, lui, le salua d'un signe de tête et s'écarta un peu de manière à ce qu'il intègre la discussion, tout en se présentant, ainsi que Kensa.
Là, Red prêta à Léo une sorte de boussole enfermée dans une sorte de châssis de sablier. Peu importe l'endroit où l'on se trouvait, la pointe rouge indiquait toujours la même direction. Sur le pied de cet "éternal", on pouvait y voir les inscriptions "Water Seven". Aquila en déduit que c'était une sorte de boussole indiquant l'île en question. Mais le comment et le pourquoi, il n'en savait rien. Ça ne faisait que peu de temps qu'il était sur Grand Line.

Quelques minutes plus tard, la troupe embarqua sur l'Ablette. C'était la première fois qu'Aquila et Kensa voyaient ce genre de navire. Il était renforcé avec un blindage d'acier, tout en longueur, sans armement et avec une roue à aubes imposante.
Aquila se posa dans un coin avec Kensa et il lui dit qu'il allait falloir qu'elle s'entraîne à se battre, ou au mieux, à savoir se défendre sans compter sûr lui. C'est pour ça qu'il dégaina ses deux sabres jumeaux, lui en donna un et lui dit de faire comme lui.
Là, Aquila lui apprit les mouvements de base. Si au début, les gestes étaient saccadés et hésitants, plus le temps avancé dans le voyage, plus les gestes devenaient surs. Voyant cela, Aquila accélérait les mouvements de manière à ce que ce soit plus fluide et presque instinctif. Si pour Aquila, c'était un échauffement de base, pour Kensa, la fatigue commençait à se faire sentir. Là, il lui dit de faire une pause de quelques minutes. Lorsqu'ils reprirent, Aquila se plaça face à Kensa, comme pour un duel. Là, après s'être salué au sabre, Aquila sortit :


"Garde haute !" Là, les deux sabres s'entrechoquèrent et le maître-sabreur continua : "Garde basse... Haute... Médiane... Haute."

Voyant comment elle réagissait avec le sabre, il lui dit :
"Le sabre peut te paraître lourd. N'oublie que tu tiens une arme qui ôte la Vie. Respecte sa force et sa puissance. Plus ça ira, plus la lame deviendra une extension de toi. Tes pensées et tes actions passeront à travers la lame. On va faire des enchaînements. Tu te souviens des mouvements de tout à l'heure ?"

"Oui."

"On y va ! 1... 2... 3... 4... 5... 6... 7... 8!"

Le couple enchaîna les enchaînements, mais savait bien que Kensa n'était qu'une débutante, c'est pourquoi Aquila préférait y aller doucement, bien qu'il s'amusait à accélérer les mouvements pour voir jusqu'où elle pouvait aller. Aquila savait que son souci, c'était d'avoir eu une vie de princesse, dans un cocon où elle ne risquait rien. Ce cocon avait commencé à se briser avec la torture que le Dragon Céleste avait dû lui infliger, mais le fait d'être avec Aquila pouvait avoir pour effet de refermer ce cocon et devenir dépendante de son amant et ami d'enfance. Or, vu la voie qu'ils venaient d'emprunter, il fallait être fort, sinon, c'était la mort ou le retour à l'esclavage. Kensa était consciente de tout ça, c'est pour ça qu'elle acceptait l'entraînement et faisait de son mieux pour ne pas un boulet qu'Aquila se traînerait. Mais elle savait aussi qu'il allait falloir du temps pour qu'elle arrive à un niveau correct.

Après un long entraînement, Aquila lui conseilla de se reposer, et lui dit de garder le sabre avec elle, et qu'il garderait sa lame jumelle avec lui. Tous deux savaient l'importance de ces sabres pour l'un comme pour l'autre.
Si Aquila partit en direction de la proue pour observer l'océan et aider l'équipage au besoin, Kensa, elle partit rejoindre Heliamphora pour voir si elle pouvait apprendre certaines choses qui pourraient être utiles. C'est timidement et en restant discrète qu'elle regarda la belle rousse et lui dit :


"Tout se passe bien ? Tu as besoin d'aide ? Au fait, je m'appelle Kensa. Vu le peu de femmes qu'il y a par ici, entendons-nous bien."

Puis, elle tendit la main en signe d'amitié...
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- Vous êtes vraiment des rookies de quinze jours hein ? C'est fou la capacité du capitaine Red à attirer des types venant de n'importe ou... ça doit être son fruit !

Pendant que Brick vous explique comment marche la navigation sur la route de tous les périls, et comment on peut différencier un log pose, un trilog et un éternal, vous quittez Armada et filez à vive allure sur la mer. Le navire est un peu bruyant, mais il file plus vite qu'aucune embarcation sur laquelle vous êtes déjà montés. Sur la carte que Brick vous déplie, la ville de Water Seven ne semble pas situé très loin du triangle Florian, d'ailleurs elle est reliée par train des mers à la base de Marinford que certains d'entre vous connaissent bien. A peine l’affaire de quelques jours en mer sans économiser le carburant.

Avec un navire vide vous avez toute la place qu'il vous faut pour être à l'aise, et découvrez avec joie que les pirates qui bossent pour le Capitaine Red ont visiblement des habitudes de luxe assez loin des pirates les plus traditionnels ou de l'ordre spartiate de la marine. En tout cas on mange très bien à bord, et les appartements sont tout a fait confortables.

Le temps de sortir du Triangle Florian en prenant de vitesse un gros grain nuageux à l'air méchant, et vous savez que Birck vient d'une ile nommée Dressrosa, ou son peuple vit de son expertise dans le domaine de la botanique florale. De quoi intéresser Heliamphora jusqu'a ce qu'il s’avère que si Brick est parti de chez lui c'est qu'il est visiblement le seul de son espéce à pouvoir tuer toute les plantes dont il s'occupe, et qu'il est vachement plus doué avec une scie et un marteau qu'avec un pot de bégonia. Sorti de cette différence et de sa volonté qu'on le considère comme un terrible pirate de deux mètres,il est plutôt sympa.

- Water Seven en vue ! Les touristes peuvent regarder, pour les autres on passe la tenue de camouflage de la demoiselle !

Et pendant que Brick s'occupe de couper les machines, l'équipage entreprend de transformer le navire en simple bateau de pèche, en montant une cabine qui camoufle la roue a aubes, et en déployant des voiles et des filets, selon un manège visiblement soigneusement répété.



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Grand line est un endroit fabuleux mais aussi cruel. Grand Line est l'océan actuel qui suit une ligne imaginaire qui s'étend d'Ouest en Est dans le milieu du monde et perpendiculaire à Red Line. Red Line est un vaste continent qui encercle le globe du Nord au Sud. Ces deux lignes divisent le monde en quatre mers : North, East, West et South Blue.
C'était la base des bases selon brick et rien qu'à l'entendre cela me donnais des frissons. Tout ça en étant sur un navire que je n'avais jamais expérimenté avant. Un bateau à moteur ! Non destiné aux civils celui-là. J'aurais tout donné pour être plus intelligent et comprendre comment ce moteur fonctionnait.

Nous passâmes alors plusieurs jours ont filer comme le vent sur une mer plutôt clémente tout en apprenant la base de la navigation, visiblement régie par une sorte de force magnétique qui était effectivement présente dans toutes les îles et qui permettait au log pose de trouver la prochaine île. Tout ce dont il avait besoin, c'est de temps pour s'acclimater a l'île actuelle avant de pouvoir détecter une autre île.
Je comprenais vite fait les fondamentaux, mais il expliquait des tas de choses que seule helia semblait comprendre sur comment vérifier une trajectoire et le temps s'il se gâtait.
Si seulement on pouvait forger un trajet clément j’assure que je le ferais à chaque fois mais au-delà de ça cela dépassait bien mes compétences. Je savais me battre et forger, donc je suppose que savoir le minimum sur les log pose n'allais pas me tuer...

Pour le reste eh bien tout ce que je pouvais dire, c'est que je commençais à éloigner certaines de mes craintes concernant la piraterie. Et certains a priori facile à faire contre eux. Le bateau était en bon état et l’équipage vivait dans un luxe que certains marins ne partageaient pas.

Je passais alors mon temps à m'exercer sur le pont ou bien a essayer de comprendre la forme de la mécanique du bateau et comment les forgerons qu'on participé a l'élaboration du moteur on procédé. Enfin tout ça avant que l'appel en vue des côtés de water seven se fasse entendre. Je voyais qu’énormément de gens se pressaient pour camoufler le bateau en bateau de pêche ce qui me fit demander :


- Pourquoi on camoufle le bateau ? Je croyais que water seven n'était pas sous le gouvernement mondial... Normalement, il ne doit pas y avoir de marines noms ?


Puis âpres, je mis en route pour ouvrir ma carte et admirer la vue de cette fontaine gigantesque. Un des plus grands chantiers navals au monde se dressait devant nous et faisait palpiter mon cœur. Water 7 comme 7 docks repartis tout autour de l'île ayant abrité les plus grands charpentiers du monde. Mais aussi une fille qui comme une fontaine a facilité les déplacements à travers elle par un système de canaux à cause de l'aqua laguna !

Malheureusement, je doutais qu'on allât mettre un pied dans la ville, car l'endroit qui nous intéressait se trouvait sur le récif crée par les matériaux de construction autour de l'île.


"Il faut aller à l'est de l'île, c'est que l'atelier se trouve. Plus on va s'approcher plus on va rencontrer de résistance de toute façon. On pourra peut-être les convaincre de nous laisser passer non ?"



L'idée de combattre des gens qui protège leur chez eux ne sonnait pas comme quelque chose de sexy a mes oreilles.


"En-tout-cas s'il y a bien quelque chose, c'est bas qu'on le trouvera. Y a un moyen de prévoir cette aqua laguna ? "
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Tout en écoutant avec fascination Brick lui parler de son île, de son absence de don, des millier de plantes, mais surtout des habitants à la connaissance si poussé qu’Helia en oublie presque de poser des questions sur la navigation. Livre de note ouvert, plume qui s’active furieusement, elle marque la position et toutes les informations donner sur cette fameuse Dressrosa. Elle peut déjà se voir en train de visiter cette merveilleux du monde pour approfondir ses connaissances et ses maîtrises des plantes. Elle buvait les paroles du petit homme en hochant parfois la tête pour montrer son intérêt, mais la brillance dans son regard parlait déjà de lui-même. Elle rit tout de même un peu de ses aveux, lui qui semble avoir la poisse avec les plantes.

Il vient ensuite d'un cours de théorie rapide sur le fonctionnement de la bête de vitesse. Rien qui ne pourrait pas lui permettre de chauffer la créature comme bon elle lui semble, mais ceci renforçait ces connaissances et puis, il y a quelques jours lui avait tout de même donner un coup de main en lui prêtant la Lépreuse pendant 48h pour lui permettre de découvrir le gout. De ce qui lui avait été partager, le bateau qu’ils allaient récupérer était sur le même principe que celui de Jeska, mais en plus petit et moins mécanique. Alors la chose devrait bien aller. Tout ce qu’il lui manquait serait un Log pose pour le bateau. Elle allait poser d’autres questions sur ce sujet quand Brick se fait interpeller par un autre membre. Le brun s’excuse un instant avant de l’abandonner. Cependant, elle ne reste pas bien longtemps seule, aborder par une demoiselle à la peau caramel qui accompagnait Aquila.

L’autre brunette lui tend la main après une fine présentation et Helia la prend après une courte hésitation. Elle ne comprend pas très bien le concept entre femmes, entendons-nous bien. Est-ce qu’il y avait une règle dans la civilisation qui disait le contraire ? Où confirmait ceci ? Pensive, elle hoche doucement la tête.

‘’Heliamphora, Hm… Selon Brick, tout se passe bien. Si tu veux l’aider faudrait que tu lui demandes personnellement à lui, je ne peux pas te répondre.’’ Malgré l’intelligence qui brille dans les pupilles ambrées, il y avait une certaine innocence curieuse. ‘’Je peux te poser une question ? Disons que je viens d’une île très isolée de la civilisation, alors ma culture sociale est… En construction. Que voulais-tu dire par vu le peu de femmes ici, entendons-nous bien ? Quelle est la différence entre hommes et femme pour s’entendre avec quelqu’un ?’’ Demande-t-elle finalement.

Et oui, malgré ses grands airs de scientifique maniaque de botanie, Heliam avait une grosse lacune dans les relations sociales, qui amenait parfois des situations tendues ou particulière. Tout en discutant avec la demoiselle qui se retrouvait malgré elle à faire un cours 101 sur les relations humaines, ils arrivèrent finalement à l’île en un temps record. Helia ressentit le ralentissement du bateau facilement, fronçant un peu les sourcils en invitant la demoiselle à la suivre à l’extérieur pour observer le changement de scénario du bateau. Sous ses yeux surprirent, le bolide de vitesse se transforme en bateau de pêche, offrant un ‘’nouveau’’ bateau presque méconnaissable. Elle sourit un peu bêtement en tournant la tête vers Kensa.

‘’Wow, impressionnant…’’

Elle va rejoindre finalement Léo qui pose différentes questions. Pour au moins répondre à l’une d’entre elle, laissant les autres, plus expérimentés qu’elle répondre aux deux premières.

‘’Si tu vois que le ciel s’assombrit et des vagues gigantesques apparaître à l’horizon, tu seras que l’Aqua Laguna arrive. Sinon, je suppose que la ville a un système d’avertissement sonore qui nous dira quand il arrive…’’

Tout en parlant, elle vient tirer une large paire de lunettes de soleil de sa poche arrière, la déposant sur son nez pour protéger ses yeux des rayons agressant du soleil. La lunette en apparence extravagante cache le haut de son visage, ne laissant apercevoir que ses lèvres maintenant couleur sanguine depuis son apparition sous le soleil, tout comme sa peau qui semble un poil plus vert que quand ils étaient sous la cabine. Son épaisse chevelure, flotte autour d’elle dans un semblant d’écran rouge, clashant avec ces vêtements vert et sa paire de lunettes aux verres opaques.


“Is the land a source of belongings, or a source of belonging ?”

“The underlying melody via every rock, plant, animal, sky and star, inside the water, from the dirt, through the light: only love lasts.”
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Les questions de Heliamphora étonnèrent un peu Kensa. Pour les poser, c'était qu'en effet, elle ne connaissait rien des habitudes de certains. La princesse de Hinu Town la regarda avec un sourire et lui expliqua que les hommes, lorsqu'ils voient de belles femmes comme elles, ont tendance à vouloir assouvir leurs plus bas instincts et se vider les bourses, avec ou sans le consentement de ces dernières. Elle lui expliqua que tous les hommes ne sont pas comme ça, et elle cite Aquila comme exemple, car c'est celui qu'elle connaît le mieux. Et le fait de bien s'entendre entre femmes, dans un milieu presque exclusivement d'hommes, permet de mieux s'entraider quand l'une ou l'autre aura besoin d'aide. Et puis on ne peut pas confier les mêmes choses à une femme et un homme, car un homme aurait du mal à comprendre, ou aurait vite les idées déplacées.
En tout cas, Kensa expliqua tout ce qu'elle pouvait à la belle rousse, car elle avait vu toutes les différences sociales qu'il pouvait exister en ce bas monde. Lorsque le bateau se mit à ralentir et que l'équipage s'activait telle une fourmilière, Kensa alla rejoindre Aquila. Là, le petit bonhomme s'amusait encore à rabaisser Léo et Aquila, en disant que c'était des touristes. Sur le coup, il voulait lui en coller une, mais bon... Vu qu'il faisait partie de l'équipage de Red, il ne devait pas être mauvais. Ensuite, il rendait quand même un service en amenant le petit groupe à Water Seven, même si Aquila pensait qu'ils y allaient trouver un intérêt. Et enfin, même si sa manière de le dire pouvait être vexante, c'était la vérité. La première fois qu'Aquila a pris Grand Line, c'était pour rejoindre Marine Ford.
Ensuite, il entendit Léo et Heliamphora parlaient de l'Aqua Laguna. Si ce que disait la jeune femme était vrai, alors il valait mieux trouver un endroit sûr pour que le bateau n'ait rien à craindre de cette vague immense.

Une fois le camouflage mis en place, Aquila admirait l'architecture de cette île fontaine géante. Ayant quand même reçu une bonne éducation et instruction, Aquila discutait avec Kensa de comment l'eau pouvait jaillir en haut de la cité. Est-ce que c'était avec un système complexe de pompes, ou est-ce que c'était le courant même de Grand Line qui permettait cela ? Ensuite, ils regardaient comment l'île pouvait tenir face à cet "Aqua Laguna", car en temps normal, une île classique se ferait dévaster dès la première vague. Donc les constructeurs de l'île devaient avoir réfléchi à une sorte de système de sauvegarde. Puis, à force de discussion, Aquila sortit :


"De toute façon, nous le verrons bien, vu que pour trouver cet atelier secret, il faut attendre que l'eau se retire, vu qu'apparemment, on ne le trouve que pendant l'Aqua Laguna." Puis en fronçant les sourcils, prenant un air des plus sérieux continua : "On aura intérêt à se dépêcher, car si on n'est pas à l'abri à temps, ça sera la fin pour nous."

Kensa regarda Aquila avec une certaine peur, mais elle savait qu'il avait raison, donc il allait falloir se concentrer pour survivre, peu importe les obstacles.
Brick fit accoster le navire dans un endroit où l'Ablette passait inaperçu. En même temps, si on voulait cacher un arbre, le mieux, c'était dans une forêt. Le groupe descendit du navire et tous se mirent à suivre les indications de Léo, vu que c'était lui qui détenait les informations pour trouver l'atelier secret. La ville était assez belle. On pouvait y voir plusieurs immeubles aux murs beiges, s'élevant en hauteur, tous avec un toit arrondi de couleur rouge. Cette couleur devait sûrement avoir son importance, pour cette île. On pouvait aussi voir que plus on regardait vers le haut, plus les bâtiments étaient mieux entretenus, comme quoi, peu importe l'île, il y aura toujours des bas quartiers pour des habitants plus pauvres et des beaux quartiers pour les habitants aisés. On pouvait constater aussi qu'à chaque numéro inscrit sur les murs de Water Seven, correspondait à un chantier naval. C'est ainsi que tout le monde marchait sur les différents quais, en direction de l'endroit le plus moche de Water Seven, mais aussi le plus triste, le cimetière d'épave.
L'endroit ressemblait à un beau bazar. Des épaves partout. Certaines étaient à moitié brisées, d'autres, on ne voyait plus que le mât. Il ne restait que peu de navires en état, comme s'ils avaient été pilier pour leurs ressources en bois, armements, etc... D'un coup, alors que les seuls bruits qu'on pouvait entendre, étaient le bruit des vagues s'écrasant sur les quais ou brisant les navires échoués, une voix se fit entendre sur des hauteurs. Cette voix s'adressa surtout à Heliamphora et Kensa en disant :


"Dites, les filles, ça ne vous dirait pas de laisser ces pauvres types et de venir avec nous ?"

De là où se trouvait le groupe, on pouvait voir juste des ombres formées par le soleil, dont une plus massive que les autres, et contre toute attente, ils se mirent à danser !

"On the left ! Ahou !!!"

"On the right ! Yeeeeah !!!"

"Et... SUUUUUUUUUUUPER !!!"


Aquila les regarda et ne put dire que : "Qu'est-ce que c'est ?"

Mais Kensa, se sentant insultée par les paroles de l'étranger, le regarda avec un regard aguicheur, s'approcha d'Aquila, lui attrapa le visage et l'embrassa avec toute la passion qu'elle pouvait avoir pour lui. Aquila, lui, n'y comprenait plus rien. Mais bon, se faire embrasser par sa femme, ça n'a rien de déplaisant, si bien qu'il l'attrapa par la taille. Lorsque le baisé fut fini, Aquila reprit :

"Sûrement une bande de guignols... Continuons !"

"Comment ?! Vous osez tourner le dos à la Grande CFF ? La Grande et Puissante Cyborg Franky Family ?"

"Franky ?!"

Mais à peine eut-il fini son interpellation qu'une autre voix s'éleva, mais cette fois-ci, en face d'eux. Cette voix était féminine et d'un certain âge :

"Comment oses-tu, vilain garnement ? C'est nous la Franky Family ! Mes garçons et moi sommes la New Franky Family !!!"

"Putain, mais il y en a combien des comme ça ?" Puis, il regarda Kensa, Heliamphora, Brick et Léo : "Je ne sais pas vous, mais je sens qu'ils ne vont pas nous laisser passer gentiment..."
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Ah vraiment, ces jeunes pirates, ça débarque sur le nouveau monde et ça n'a pas appris les bases de la survie, pas étonnant que Grand Line s'appelle surtout "La route de tous les périls"

Pendant que le petit groupe déambule dans la cité aquatique, Brick explique à Léo qu'il n'est pas vraiment besoin d'appartenir au gouvernement mondial pour ne pas aimer des gens de mer dont le mode de vie est de considérer que tout ce qui flotte leur appartient et qu'on peut s'emparer de tout ce qui n'est pas boulonné au sol et qu'on a envie de prendre. Quand on est un pirate dans un endroit ou l'ordre règne, on prend des précautions, comme passer inaperçu par exemple. Ce qui évite aussi de se battre à chaque coin de rue avec des hordes de chasseur de primes.

Et en sa baladant incognito, c'est aussi vachement plus facile de discuter avec gens pour obtenir des réponses, au lieu de se retrouver tout seul dans une rue déserte, avec son pavillon noir sur l'épaule et des locaux qui vous tirent dessus depuis les fenêtres de leurs maisons. ça permet par exemple d'apprendre que la ville tout entière est une véritable merveille technologique, capable de se déplacer avec le niveau de l'eau pour survoler l'énorme raz de marée qu'est Laqua Laguna. Un magnifique moyen d'éviter tout probléme pour peu que vous êtes soigneusement accroché aux docks de la ville.

Un dispositif qui est bien plus récent que la création de la ville, ce qui explique que les soubassements de la ville sont un immense cimetière d'épaves, vestige a la fois des chantiers de démantèlement, mais surtout des innombrables navires broyés par la vague géante a l'époque ou la ville ne pouvait pas simplement l'éviter. Cimetière que l'arrivée de l'Aqua Laguna dévoile très largement, au moment ou la vague en préparation fait baisser le niveau de l'eau de plusieurs dizaines de mètres.

Et évidemment, pour que tout le monde ait le temps de se planquer, il y a des alarmes..

Comme celle la !

ATTENTION ! AQUA LAGUNA EN APPROCHE ! ÉVACUEZ LES QUAIS !

Une annonce inquiétante mais qui ne semble affecter personne autour du groupe. Que ce soit la bande de culturistes en maillot de bain ou la petit famille en face, qui se toisent tous d'un air méchant par dessus la petite bande de pirates.
En fait il n'y a que la mer qui commence doucement à se retirer de la scéne.


"Cette fois le labo sera a nous ! "








"Cette fois ?! Pff ! Bande de guignols musclés ! Jamais on ne vous laissera approcher de l'atelier !"









- Je sens comme une tension dans l'air non ?  



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ATTENTION ! AQUA LAGUNA EN APPROCHE ! ÉVACUEZ LES QUAIS !


Par réflexe, je regardais l'eau des quais et effectivement, l'eau se retirait déjà. La chose la plus inquiétante était que même moi qui n'y connaissait rien pouvait déjà remarquer l'eau bouger à l’œil nu et pour se rappelant des paroles de Hélia le ciel s'assombrissait également. C'était dingue ! Pourtant, cela fait à peine quelques heures qu'ils étaient ici le climat a complétement changé !

C'était ça Grand Line ?

Puis en entendant les réflexions de la part de ce gang plutôt pas banal, je commençais à reprendre espoir. Un labo ?!

"Je le savais !"

J'avais parlé tout seul. Tout ce travail n’était pas pour des prunes ! Ce Labo était un pas de plus dans la direction de mon objectif, les secrets qu'il renfermait allait bien m'aider pour la suite de mon voyage. Aucun mal à confirmer mes soupçons alors que les alarmes de la ville retentissaient comme un appel à rentrer chez soi à cause d'un bombardement. Les espèces de crapules de bas étages, quant à elle, se divisèrent en deux groupes. Un groupe visiblement resté ici pour nous stopper alors que l'autre courrait vers le cimetière de bateaux.

" Dans quelques minutes, le passage sera ouvert. Et il faut se dépêcher avant d’être balayé par la mer."

- Malin le chat. Mais tu ne passeras pas. Vous allez plutôt me filer toute la thune que vous avez. Me faut une nouvelle presse. Et toi la vieille, c'est pareil !

L'homme était un colosse. J’avais pas besoin qu'il me disent qu'il allait à la salle pour que je le crois sur parole, à tel point que les formes de son corps devenaient étranges. Disproportionné, mais prêt au combat, il se jetait sur nous. J'eus en effet a peine de temps d'esquiver que en un coup de poing il brisa le sol pavé où je me trouvais il y a quelques secondes.

- Hélia ! Agrippe-toi on passes ! Les autres occupez-vous de lui, j’vais nous assurer que le passage reste ouvert pour vous !

Usant de ma vitesse issue de mes racines et mon agilité féline, je commençais à courir à une vitesse folle pour suivre le groupe qui convergeait vers un point en particulier de la plage de débris. Étant des locaux, ils savaient peut-être déjà où l'entrée se trouvait.

Le géant était très rapide, mais j'esquivais encore un de ses coups essayant de prendre de la distance avec cette montagne de muscle monstrueuse. Mais à y voir de plus prêt, il y avait déjà des combats plus loin, ils n'étaient pas tous dans le même camp ? Pourquoi l'autre empaffé avait dit qu'ils voulaient s'en emparer s'il était le gardien du labo ?
Alors que je me mettais presque dans ma vitesse maximum vers le conflit ... "Inter-gangs" trois objets brillants interrompaient ma course en se fichant dans le sol devant moi. C'était la vieille de tout à l'heure armée d'une quantité impressionnante de couteaux de cuisine aiguisés.

"Ou vous allez mes mignons ? Si l'autre muscle, là-bas, n'ira pas au labo vous non plus. C'est du patrimoine, vous savez..."

"Hélia, on s'en occupe ?"

Je la fais descendre de mon dos et commence à me craquer la nuque.

"Pourquoi vous voulez ce labo au juste ?"

"C'est simple, il doit rester dans la famille. Et ça va nous rapporter, entre autres, des paquets de berrys. Berry qui nous reviennent de droit,"ricanne t'elle

"Donc le labo ne vous intéresse pas, c'est l'argent qui peut vous rapporter un truc a la clé c'est ça?"

"Dis donc mon minou, tu comprends vite !"

Elle lance encore une volée de couteaux, elle lançait ses armes avec beaucoup trop de précision pour que ce soit de la chance. Si l'un d'entre eux me touche, Hélia devra me recoudre. On va éviter de lui donner du travail ! Je me propulsais sur le côté d'un geste rapide sur le côté avant de foncer au corps-à-corps de la femme et arquais un coup de coupe sur son flanc qu'elle bloqua avec une agilité surprenante avec un couteau. Notre mélee était serré, je ne savais pas comment elle faisait mais d'une manière ou d'une autre cette femme n'était pas normale !

"Pas... Mal du tout, mais pas suffisant !"

Nous nous repoussons mutuellement reformant l'écart de sécurité entre nous.

"Je me disais bien que sais bien que je t'avais vu quelque part. T'es ce "King" léo ? Le pirate ? Sacré prime, parfois, j'ai de la chance comme ça. "

Elle a un sourire.

"Cela ne se voit pas, mais je capturais des raclures comme toi il y a quelques années. J'avais raccroché, mais visiblement, j'ai eu tort ! "

Je me replaçais en position de combat m'assurant de mes appuis alors que je me préparais à décocher un coup en sa direction.

"Si venir en aide aux autres est un crime alors oui, je suis un criminel. Kata de la bête divine Tigre : une griffe."

Mes griffes généralement tout le temps rétractées sortent et produisent un son et un grésillement inquiétant. Et alors je m'élance vers elle comme un sprinteur en départ de course, je balayais l'air d'un coup de griffe chargé en électro. L'impact est brutal et un petit panache de fumée s'en suit couvrant la femme. Mais j'étais pas dupe, j'avais touché le couteau de la femme, pas elle.

Il fallait que je me dépêche.
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Tout se passe beaucoup trop vite et sans réelle intéresse pour que la rouquine n’y prête plus d’attention. Après un échant intéressant avec Kensa qui lui avait fait un cours de relation homme/femme et lui avait parlant de la misogynie. Dans d’autres cas plus rares, il y avait la vision de la misandrie qui était l’inverse de la misogynie, là, c’étaient les femmes qui méprisaient et étaient hostiles de base à l’homme. La rousse penche à tête sur le côté, observant Kensa qui s’éloigne pour retrouver Aquila après leur arriver. Toutefois, sautons plutôt là où le sujet nous intéressait ; l’interaction leur équipe contre des ennemis. La scientifique observe avec curiosité l’homme massif aux larges dessins qui marque sa peau. Ces vêtements criards attirèrent ensuite son attention, ou elle observe le dessin sur le tissu avant de revenir sur les différents tatouages colorés. Elle passe ensuite à la suivante qui c’était introduit, une femme avec un afro des plus impressionnants. Ainsi, il se retrouvait trois groupes pour la même mission… Trouver les laboratoires de Franky. Elle se tourne vers Léo, manquant la scène du baiser amoureux, tant qu’une voix mécanique crie des avertissements pour l’approche de l’Aqua Lagune.

‘’Léo…’’ Marmonne-t-elle, mais déjà, l’homme s’excite comme un enfant, partageant sa joie à qui veut la prendre. Elle secoue un peu la tête, ne comprenait-il donc pas la gravité de la situation ? ‘’De la thune ? C’est quoi de la Thune ?’’ Demande perplexe la demoiselle qui n’avait pas fait le lien entre Berry et thune. Les yeux toujours sur le Mink, elle remarque rapidement les changements visibles dans son visage quand il était décidé à faire quelque chose, d’autant plus, que le félin géant avait la manie de trahir son action de courir en étant ces jambettes. Il n’avait même pas terminé de lui dire, qu’elle avait rejoint son dos et lui tapotait l’épaule pour lui signaler qu’il pouvait partir. En moins de secondes qu’il faut pour faire, une minute, ils se retrouvèrent bloqués par la même femme qui semblait s’être exprimée avec eu plutôt. Pour faire de l’ombre à l’autre mec, une question d’honneur de famille. Toutefois, Helia s’en fiche un peu, son regard porter vers l’horizon pendant qu’elle se glisse au sol. Les vagues géantes commençaient à faire leur apparition au loin…

L’attention de la scientifique revient vers Léo et la dame, qui ne ce n’était toujours pas présentée. Elle allait sauter à son tour dans le combat, quand une ombre sur le côté attire son attention. Elle tourne la tête, prenant sur le fait un jeune homme accoutré d’une cape. Ils se dévisageant un instant tel deux animaux surprit. Il est le premier à réagir, Helia encore trop bafouer par la vision de son spectaculaire afro qui se précipite dans ses jambes. Le gamin l’attrape par les hanches, enfouit son visage dans son ventre et cri ;

‘’Je la tiens maman, elle ne pourra rien te faire, occupe-toi du lion. Je vais te protéger de la vilaine plante sinon je ne serais jamais Jason le HÉRO !’’ Sur ces dernières paroles, il se met à forcer, en essayant de la souplex… Toutefois, la rouquine doit bien faire presque la moitié de plus que lui et malgré la poigne sur sa personne, elle ne ressent qu’un malaise incertain si elle doit taper sur ce garçon clairement innocent au cœur remplit d’ambition comme son Léo… Elle ouvre la bouche, puis la referme. Elle n’allait quand même pas taper sur le gamin non ?

''Jason ! Ce n’est pas ainsi qu’on séduit une femme ! Tu ne t’accroches pas à elle, mais elle doit s’accrocher à toi !’’ Annonce avant confiance une tierce voix masculine. Chiquement habillé dans un costume trois pièces tout de blanc, l’homme retire ses lunettes et les glissent dans la pose de son costard. Elle passe la main dans son afro finement trimer et tout en regardant Heliamphora droit dans les yeux, lui tire son sourire le plus charmeur possible et tire doucement la langue. On pouvait presque voir tous les efforts derrières des heures de pratique devant une telle action. Helia est deux fois plus perdue, pourquoi la dévisageait-il de la sorte ? Qui étaient ces gens ? Où était leur instant de survie ? Pourquoi parlaient-ils autant ?

‘’Frankyky ! C’est mon adversaire ! Va aider maman !’’ Annonce le plus jeune en s’accrochant toujours à la rousse.
‘’Non Jason, selon mon analyse de cette demoiselle, elle est beaucoup trop forte pour toi. Et puis maman est d’égalité avec son adversaire, elle pourra user de son ingéniosité pour s’en débarrasser.’’
‘’Mais Frankyky, j’ai la situation en main !’’
‘’Jason, la seule chose que tu tiens dans tes mains est son fessier et elle semble se laisser faire par malaise d’un gamin que tu es, laisse Frankyky lui montrer ce que c’est un vrai homme.’’ Annonce l’homme avant de lui flasher un autre magnifique sourire.
‘’Non ! C’est ma cible, je serais un grand Héro et je vous prouverais que je suis utile !’’
‘’Hm… Si ça ne vous dérange pas, est-ce qu’on peut commencer à se battre ? Je voudrais éviter noyer sous la vague qui approche…’’ Souffle la rousse qui tire de sa poche deux green pop.
‘’Tu fais quoi là ?’’ Demande Jason toujours curieux en relevant la tête vers le haut.
‘’… Tu verras bien, mais c'est de la magie scientifique.’’ Sur ce, elle lance les Green pop en direction de ce dénommé Frankyky qui avait remis ses lunettes.

Elle pose une main sur la nuque de Jason, le retenant en pinçant juste un peu la chair dans une pression rassurante, mais aussi un avertissement silencieux. Elle ne voulait pas attaquer le gamin, mais s’il devenait trop gênant, elle utiliserait un peu de poison paralysant. Sous les yeux surpris du petit humain toujours accroché à elle, deux plantes immergent des boules vertes, la première étant une Hybrida Magnoliophyta Magna qui crache presque immédiatement son venin en direction de Frankyky, en se secouant et commençant à avancer grâce à ces puissantes racines. La deuxième, une Carnivorus Retinent et Occidere, les trois têtes rugissent, envoyant de la bave acide un peu partout, ce qui oblige Frankyky à sortir un parapluie pour ce protégé des liquides gluants. La rousse se décale un instant, entrainant avec elle le gamin pour éviter l’une des tentacules végétaux de la deuxième qui s’excitait face à son futur repas.

Compétences Green Pop:


“Is the land a source of belongings, or a source of belonging ?”

“The underlying melody via every rock, plant, animal, sky and star, inside the water, from the dirt, through the light: only love lasts.”
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Tout le monde était là pour les mêmes raisons, l'atelier secret de Franky. En plus d'avoir deux bandes d'enquiquineurs sur le dos, il fallait se dépêcher, car l'Aqua Laguna venait de commencer. Les nuages sombres et la pluie firent vite leur apparition. La mer s'était retirée comme par enchantement, et on pouvait voir au loin ce qui semblait être ce phénomène d'Aqua Laguna. Tout le monde avait commencé à bouger. Franky Flam avait sauté pour atterrir dans un fracas énorme, Léo était parti en courant avec Heliamphora dans le cimetière des navires, et la New Franky Family était partie arrêter ces deux-là.
Ignorant la montagne de muscle, Aquila prit Kensa par la main et courut dans le cimetière d'épaves à la recherche de l'atelier. Manque de bol, le colosse se mit à les poursuivre.


"Héééééééééé !!! Mais attendez ! Ça ne se fait pas de partir comme ça !"

"Merde ! Il bouge vite pour un gros tas de muscles !"

Entendant ça, le colosse prit une pose de culturiste tout en disant : "T'as vu ? C'est SUPER, non ?"

Mais Aquila continuait sa course sans prendre en compte ce qu'il disait. Se rendant compte qu'Aquila ne le regardait pas, Franky Flam reprit sa course. Au bout de plusieurs minutes, Aquila vit une chose bizarre jouxtant un quai. On aurait dit comme une extension du quai, mais recouvert de débris d'épaves, mais assez grand pour être un atelier d'un charpentier naval. Et puis si ça se trouvait, ce n'était que la partie émergée de l'iceberg. Ne pouvant pas aller voir par lui-même, Aquila demanda à Kensa d'aller vérifier la chose pendant qu'il s'occupait de l'artiste qui les poursuivait.
Kensa acquiesça d'un signe de tête puis se mit à courir en direction de l'amas de bois. Aquila, qui avait stoppé sa course, se retrouva face à face du colosse et dégaina Sandai Kitetsu et sortit :


"Tu ne vas pas nous lâcher la grappe, non ?"

"Sûrement pas ! On parle de l'atelier de mon grand-père. Je m'appelle Franky Flam "Junior" et je suis, moi aussi, un cyborg ?"

"Tu n'es pas plutôt qu'un gros tas de muscles ?"

"Tu recherches à m'insulter ?"

"Euh... Si c'est la vérité... Mais bon..."

"Tu vas voir !"

Franky Jr. se mit à bondir en direction d'Aquila, armant son bras droit qui se mit à s'enflammer. Aquila esquiva sans trop de problème mais l'impact du poing sur le sol, ainsi que les flammes qui s'éparpillèrent, étendait la zone de dégâts, si bien qu'Aquila sentit les flammes lui léchées le visage. On pouvait même voir le bois, bien qu'encore humide par l'eau de mer, commencer à brunir sous l'effet de la chaleur. Mais ne voulant pas laisser le temps au colosse de se remettre en position, Aquila l'attaqua en usant de sa technique Tranche-Terre, afin de voir si le bonhomme était fait de chaire ou de métal. Voyant a puissance du coup, Franky esquiva de justesse, le seul dégât qu'il subit fut une simple coupure sur l'avant-bras gauche. Mais au moins, ce n'était pas un cyborg, il saignait!

"Bon, tu saignes... C'est un bon début, Monsieur le Faux-Cyborg !"

"Comment ? Je vais te montrer toute ma puissance cybernétique. Tu vas souffrir !"

"Soit! J'ai oublié de me présenter, Risenkaul Aquila."

Puis les deux hommes partirent dans un violent combat au corps-à-corps...

Du côté de Kensa, elle était arrivée au niveau de l'amas de bois et elle commençait à regarder si Aquila avait raison. Le truc, c'était qu'elle n'était pas la seule à avoir eu cette idée. Un homme assez grand, portant une casquette sur sa coupe afro, faisait de même. Polie, Kensa salua l'homme. Sans le savoir, elle utilisait son Aura de Séduction sur lui. L'homme en question se mit à rougir et la salua en retour, tout en profitant pour lui reluquer son corps. Mais l'homme se reprit lorsqu'il entendit une voix féminine :

"HUGO ! NE TE LAISSE PAS FAIRE PAR CETTE TRAÎNÉE !!!"

Kensa se retourna vers la personne à qui appartenait cette voix et vit une femme d'un certain âge. Là, Kensa lui répondit :

"C'est moi la traînée, grognasse ? Non mais tu t'es vu, espèce de coincée du cul ?! Même un triton ne voudrait pas de toi !" Puis plus calmement : "Non mais sérieusement ? Pour qui elle se prend, celle-là ?"

"C'est ma femme..."

"Ha... Désolé... Vous ne devez pas avoir la vie facile tous les jours."

"C'est une question d'habitude, je dirais."

"Si vous le dites..."

Puis, Kensa reprit ses recherches sans se douter que Hugo allât lui tendre un piège. En effet, pour éviter une énième colère de sa douce, Hugo prit une corde et en fit un lasso pour ligoter Kensa...

De son côté, alors qu'Aquila et Franky Junior continuaient de se battre, Aquila vit au loin ce qu'il se passait avec Kensa. La voyant en danger, un melting pot de sentiments, comme la colère envers celui qui attaque Kensa, ainsi que le désir de la protéger, et la peur de l'Aqua Laguna déclencha quelque chose en Aquila qu'il n'avait jamais ressenti :

"MAIS VOUS ALLEZ NOUS FOUTRE LA PAIX, PUTAIN DE MERDE !!!"

Aquila venait pour la première fois de sa vie, d'utiliser le Haki du Roi...

Techniques Utilisées:
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Le cri poussé et l’étrange vague d’énergie qui part ensuite d’Aquila, fait tourner la tête à la rouquine qui s’accroche un instant au petit Jason qui lui perd complètement connaissance. S’il n’en avait pas été d’Helia, le gamin, ce serait fracasser le nez contre le béton. Tandis qu’un haut-le-cœur lui monte au bord des lèvres, elle pose doucement un genou au sol pour ne pas perdre le peu d’équilibre qui lui reste. ‘’C’était quoi ça ?’’ Demande-t-elle vaguement perdue, à Léo qui se trouve non loin d’elle. Elle se souvient vaguement de quelque chose de similaire avec son paternel pendant sa jeunesse. Ils étaient tombés face à face avec l’un des monstres de Born, cependant, elle avait perdue connaissance avant même de comprendre ce qui se passait, son père avait hurler un truc et le noir l’avait enveloppée. À l’époque, elle était plutôt jeune et elle n’avait pas cherché à comprendre plus, mais elle retrouvait dans l’étrange vague le même ressentiment qu’autrefois, à une dose moins puissante… Tout en chassant le frisson d’inconfort, elle se redresse. Son corps est bizarre et elle se demande si elle n’était pas déjà en manque de la drogue de Reyson. Elle grimace, pourtant, elle avait eu sa dose forcée pour son bon fonctionnement de la journée. À moins que ce ne soit l’étrange pouvoir qu’avait utilisé Aquila. Elle se secoue un instant, posant ses yeux sur les plantes qui ne semblent pas affectées par ceci.

La Magnoliophyta se rapproche d’elle, ses puissantes racines, lui servant de déplacement pour venir fourrer son énorme fleur dans les visages de sa maîtresse en la faisant partiellement disparaître. Les bras de l’humaine s’extirpaient finalement, repoussant un peu la fleur géante avant de lui donner l’ordre d’attaquer Ma qui venait de tourner au rouge devant la réalisation de ses deux fils était maintenant Ko par le Haki. La Carnivorus, grâce à ces lianes centrales, avait même attrapé Frankyky par une jambe pour commencer à le tirer vers elles, ses trois têtes se léchant les babines de plaisir face au festin. Devant la vision macabre de voir l’un de ses enfants se faire manger et digérer lentement, Ma pousse un cri strident, obligeant Helia à se boucher les oreilles. Ma en profite pour bondir et récupérer Frankyky en sectionnant la liane qui ne le tenait pas la cheville. Elle le place derrière pour le protégé et cherche immédiatement son bébé qui se trouve toujours au pied de la rousse, inconscient… La Magnoliophyta se redresse rapidement, crachant immédiatement sa colère en direction de Ma et se précipite vers elle. Une valse de poison est lancée, frappant cette dernière en pleins visage, mais au lieu de calme le jeu, ceci semble s’enflammer, littéralement, la mère de famille. Maintenant, devant la perte de son repas, la Carnivorus semble davantage s’intéresser à celle qui venait de lui voler son repas.

Malgré la faiblesse qu’elle avait faite, la preuve plutôt devant le Haki d’Aquila, Ma semblait avoir retrouvé une certaine énergie, une conviction brûlait dans ses pupilles, elle était prête à tout pour protéger ses enfants ! Rapidement, un combat entre les deux plantes et Ma commence, Helia plisse les yeux et pince les lèvres face aux flammes qui brûlent ses plantes, son esprit paralyser par la réalisation que malgré tous ses créations n’étaient pas protégées contre les flammes. Elle tire Lentement son propre fouet, profitant de la confusion pour viser l’une des jambes de Ma et malgré le fait que l’arme serait probablement brûlée, elle la fait trébucher, elle-même affecté par la même conviction que Ma, personne ne fera de mal aux plantes tant et aussi longtemps qu’Helia vivra et à son tour elle saute dans la mêlée, complètement insouciante des autres.


“Is the land a source of belongings, or a source of belonging ?”

“The underlying melody via every rock, plant, animal, sky and star, inside the water, from the dirt, through the light: only love lasts.”
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Alors que je me préparais à contre-attaquer l'ancienne chasseuse de pirates, il passa quelque chose d'assez étrange. Une bourrasque de vent déferla à partir d'un endroit plus loin derrière nous alors que je me couvrais le visage m'attendant à une attaque de la femme elle posa un genou à terre. Rien ne faisait de sens alors j'en profitais en voyant de nombreux ennemis autour de helia et moi tomber ou chanceler. Je courrais vers la belle rousse l'emportais sur mon dos alors que je fonçais à nouveau sur la chasseuse de pirate.

"Je suis plus résiliente que... Ça !"

Une volée de couteaux déferla dans notre direction, mais je bondissais loin de leur trajectoire et m'appuyant sur le crâne de la femme ressautais plus loin toujours plus proche de l'atelier alors que je faisais un clin d’œil à nos poursuivants.



" Merci pour le tremplin mamie !"

Je réatterrissais à terre et comme un petit bolide, je repartais vers l'endroit où les conflits étaient le plus fort. l'entrée du dit atelier. Tout en courant, je regardais helia avec un sourire :

"Tout va bien ? Pour te répondre la thune, c'est les berrys. C'est un autre mot plutôt grossier. Bon maintenant, on fonce vers l'atelier. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, mais la vague approche et je ne vais pas les laisser me devancer ! Ils sont vraiment dingues ces gens non ?"



Je venais de remarquer que la silhouette de la navigatrice n'étais pas sur mon dos.Ce qui me fit pousser un cri étranglé de stupeur. pourtant étant trop proche de mon but je ne pouvais plus m’arrêter.
J'avais vu juste cachée sous une montagne de débris une porte de sas, immense, s'élevait dans cet amas de bateaux que formait toute cette "plage". Évidemment, plusieurs gangsters essayaient de s'interposer, mais usant de mon agilité féline, on aurait pu penser que rien ne pouvais m’arrêter.Ce trésor n'était fait que pour des aventuriers en quête d'un moyen de découvrir plus. Pas de vulgaires pièces.


"Arrêtez-vous au nom de la franky family !"


"Ah non arrêtez-vous vous ! C'est nous la franky family"


Je leur assenais un violent coup de pied pour envoyer bouler plus loin.



"Il serait temps de changer de rengaine ! Et de trouver un nouveau nom de marque..."


Je soupirais:

"Bon, il va falloir qu'on trouve un moyen d'ouvrir cette porte..."

La porte paraissait massive, comme une porte sous-marine. Je suppose que je devais faire tout seul...

"Je te jure ...ëtre capitaine...parfois..."
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Aquila ne savait pas ce qu'il s'était passé, et il ne comprenait absolument rien. Franky Junior accusa le coup, mais resta debout alors que les autres semblèrent avoir beaucoup plus de mal. Certains mêmes s'évanouir. Du côté de Kensa, le dénommé Hugo prit une belle raclée, mais il était toujours conscient. Essayant de comprendre Franky Junior lui fit :

"Oye ! Qu'est-ce que tu nous as fait là ?"

"J'en sais rien. C'est la première fois que ça m'arrive et que je ressens ça. En même temps, vous arrêteriez de nous emmerder, on en serait pas là!"

"Comment ?!"

"Regarde ce qui arrive ! Tu crois franchement qu'on a le temps pour se foutre sur la gueule ? Tu fais ce que tu veux, mais moi, je vais me foutre à l'abri dans l'atelier, avec les miens. Si tu veux venir, tu viens. Fais ce que tu veux !"

Aquila partit en courant en direction de Léo. Kensa, voyant son aimé faire, le suivit. Pendant le temps qu'il courait en direction de la porte de l'atelier, Brick avait rejoins Léo est commencé à analyser la porte, afin de l'ouvrir. Là, il montra à tout le monde qui il était vraiment en bricolant la porte et en l'ouvrant sans trop de problèmes, prouvant aux jeunes novices de la piraterie, la différence de niveau entre lui et eux.

La gigantesque vague n'était plus qu'à quelques centaines de mètres de l'entrée de l'atelier. On pouvait ressentir la toute-puissance de la Nature dans son état le plus primaire. Le vent était d'une violence inouïe dont les bourrasques poussaient les débris du cimetière marin vers la vague. De plus, le grondement de cette dernière se faisait de plus en plus pressant et angoissant.
Aquila arriva au niveau de Heliamphora et lui dit qu'elle n'avait plus le temps, qu'il fallait qu'elle aille se mettre à l'abri. Il regarda la dénommer "Ma" et lui dit la même chose qu'à Franky junior. Soit, elle et sa famille les suivaient gentiment, soit ils allaient tous mourir dans l'Aqua Laguna. La mère de famille, qui était tout feu tout flamme, fut refroidie lorsqu'elle vit la vague. Elle était tellement concentrée à la protection de sa famille, face à la belle rousse qu'elle en avait oublié l'un des phénomène naturel les plus dangereux de Grand Line.
Ni une, ni deux, elle accepta l'offre d'Aquila et fit signe à sa famille d'aller se mettre à l'abri dans l'atelier. Reprenant sa route, Aquila attrapa le plus jeune des fils qui était évanoui.
Lorsqu'ils arrivèrent tous à l'entrée, la vague n'était plus qu'à une cinquantaine de mètres. Aquila et Kensa firent entrer tout le monde dans l'abri, puis se fut au tour de Kensa. Aquila ne voyait toujours pas Franky junior, et du coup, il se retourna vers lui. Là, il vit l'homme se tenir face à la vague, comme s'il voulait la défier. Aquila hurla :


"VA T'EN !!! FUIS TE METTRE À L'ABRI !!!"

Puis le jeune homme bodybuildé regarda Aquila et lui fit un sourire en lui faisant un signe avec son pouce en l'air. Aquila pesta, car il allait certainement mourir, mais c'était sa décision. Chacun était libre de son destin. Du coup, le jeune sabreur entra à son tour dans l'atelier et laissa Brick refermer les portes.
Alors que tout le monde reprenait son souffle, l'atelier se mit à trembler. Le lieu venait de se faire frapper par la vague...
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Tandis qu’elle échange des coups avec Ma, Léo profite de la mêlé pour aller vers la porte avec Brick. Ensemble, ils commencent à bricoler la porte. Ce fut plus ou moins Aquila qui rappelle à Helia que la vague arrivait sous peu sur eux et tandis qu’elle lève les yeux vers l’immensité bleu, elle fait signe à ses plantes de reculer, se plaçant entres elles et Ma qui semblait plus calme elle aussi et pour le prouver, elle s’élance vers Frankyky. Elle tourne son attention vers Jason, mais Aquila est plus rapide, prend le gamin en se dirigeant vers la porte. Mes plantes se groupent autour de moi, suivant docilement, s’entraidant une et l’autre dans la tâche. Quand j’arrive à la porte, Brick arrive à l’ouvrir, faisant pousser un soupir de soulagement à tout le monde.

Une fois à l’intérieur, j’observe le lieu qui ressemble légèrement en esthétique à la base de Bulgemore, tout de métal, de béton et qui sent la technologie jusqu’ici. Elle plisse les narines un peu, me tournant vers la porte. ‘’Brick, faut refermer…’’ Elle n’a pas le temps de fini que le petit homme, c’était déjà activé, les plaçant en position protéger de l’eau. ‘’Merci Brick…’’ Qu’elle souffle doucement en passant une main dans sa chevelure. Elle ne pouvait pas s’empêcher de le voir comme un gamin aventureux. Elle tourne les yeux vers le fond du couloir qui était plongé dans les ténèbres.

‘’Dépêchons-nous, j’ai un mauvais pressentiment…’’ Helia avait toujours un mauvais pressentiment quand elle se retrouvait enfermée entre quatre murs de métal, la chose la mettant des plus mal à l’aise. Elle laisse tout le monde passer, fermant la marche avec ces plantes qui sont plus lentes que des humaines. Quelques minutes plus tard, Les plantes disparaissent, flétrissant pour mourir au moment où ils semblent enfin débarquer dans une grande salle. Des lumières s’activent à leur présence, illuminant l’intérieur. Deux bateaux flottent dans ce qui ressemble à un large bassin d’eau entouré par un plancher de métal. Il y avait beaucoup trop de matériel hors de la compréhension d’Helia. Des boites de métal, de bois et des outils avaient ramasser la poussière, signe que personne n’était venu depuis un moment.

Ma et Pa son penché sur leurs deux enfants, s’assurant qu’ils vont bien avant de se tourner à leur tour vers l’antre qu’ils avaient longtemps cherché. Ils échangeant des regards entendus, mais ne font rien pour le moment, profitant du moment de répit. ‘’Ce sont les bateaux que vous voulez ?’’ Demande Heliam en pointant les deux coques qui semblaient flotter paisiblement.


“Is the land a source of belongings, or a source of belonging ?”

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J'aidais à pousser et à sceller la porte avec Brick in extremis. Il ne fallut pas longtemps avant que les éléments déchaînés ne lèchent la porte en un tumulte métallique. Comme des milliers de points frappant la porte puis, au bout d'une minute, le silence.


Je soupirais de soulagement moi et brick encore appuyé sur la porte de peur qu'elle ne cède pas sous la pression de l'eau. Mais rien visiblement celui qui avait construit tout ça savait ce qu'il faisait. Nous avancions dans de longs couloirs sombres lisses comme s'ils venaient d'être faits. J'éclairais faiblement en faisant un arc électrique bleuté marchant en tête du groupe.



"Cet endroit est vieux... Mais pourtant, il est en parfait état."



À la suite de ces paroles, après avoir marché sur une dalle qui s'enfonce au sol les lumières s'éclairent. Une douce lumière artificielle commence à se diffuser à partir de lampes placées judicieusement sur les murs. Un frisson me parcourut l'échine.Brick excédé vint à ma rencontre :



"Fais gaffe aux pièges !
"


"Il n'y a pas de ça ici. On est dans un atelier et un très bon. Cet endroit est fait pour créer, je le sens."



Léo descend et au bord du quai passe une main sur la coque d'un navire à moitié finie, mais qui avais déjà fière allure.


"J'avais raison. Bienvenue dans l'ancien atelier du meilleur charpentier du monde. "


Me dirigeant vers un des plans de travail, je trouvais tout un tas de plans, des bien faits, des approximatifs. Mais les plans étaient faits par un génie, c'était sûr. !



"Il a créé deux bateaux. Ils sont fabuleux. À droite, nous avons le Thousand sunny-go mark 2 et à gauche le parangon. C'est tout simplement incroyable. Tout a été construit de ses mains et les lampes ici utilisent une technologie faites à partir de pompes à cola ! Ça doit au moins dater de ... 100 ans et pourtant tout est un super état ! C'est certain, il a construit cet endroit pour durer dans un élément que je ne comprends pas encore. Pour expliquer que ce soit le bateau ou ces notes elles auraient dû se detruire au moment ou on est rentré ici. "



Léo rit et montre les bateaux à moitié construits.


"On a trouvé un véritable trésor même s'il y aura des réparations à faire visiblement il n'a pas fini"



"Ne vous réjouissez pas trop vite."


Les deux alliés temporaires que nous avons prirent la parole:


"Comment on est censé sortir d'ici ? Tant que la vague est là, on ne peut pas sortir. "


"Vrai. Mais on n'est pas morts. Et tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir. "



Les deux grognèrent visiblement énervées d'avoir été coiffés au poteau. Deux fiers bateaux, ils ne manquaient plus qu'un coup de peinture et un peu plus de planches pour le pont et mon voyage pourrait commencer !
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