Demande de quête
Cherche : Vol, pillage et saccage d’une boutique.
Noms des participants : Feng Han, Ojom,
Difficulté : Moyenne
Type de RP : Présent
Récompense voulue : Des cartes des Blues, un log pose (fruit du troc des gens du coin), la caisse (ils sont forcément millionnaires en berrys non?)
PNJ présents (sinon supprimer la ligne) : Les gens de la Marine de Poiscaille,
PNJ destiné à mourir lors de la quête (sinon supprimer la ligne) : Aucun même si certains vont avoir mal.
Voulez-vous qu'ils soient joués par PNJ Requiem (sinon supprimer la ligne) ? Non
Situation initiale : https://www.onepiece-requiem.net/t1279-fiche-d-ile-poiscaille
Suite à la montée en régime de la Révolution à Kanokuni et vu que Feng n’a plus de titres, il décide de joindre l’utile à l’agréable avec son nouvel équipage pour rendre visite à Deng du Pays des Fleurs, un des révolutionnaires sur lesquels il enquêtait avant sa destitution. Celui-ci semble être depuis peu à la tête d’une florissante petite boutique sur Poiscaille. Ni une ni deux, le voici débarqué sur place pour lui montrer ce qu’il pense de la Révolution et taxer ce traître à la nation.
Quel est votre trajet jusqu’à cette ile ? En bateau depuis Kanokuni (Bai Lao Hu, le Tigre Blanc)
Intrigue : L’équipage du Tigre Blanc débarque sur l’île pour refaire le plein de vivres en vue de leurs aventures à venir. Feng vient également pour solder des comptes. Les Pluies Pourpres servent de devanture à du blanchiment d’argent de sales révolutionnaires kanokuniens de ce qu’en a compris Feng. Il vient donc pour plusieurs raisons
1 - Récupérer de l’argent sale pour financer ses oeuvres
2 - Mettre un gros coup de pression à la révolution
3 - Faire payer les traîtres à la nation
Le Tigre Blanc rend donc une visite de courtoisie aux messieurs et dames des Pluies Pourpres, se sert allègrement et ne manque pas d’attirer l’attention des autorités en la personne du lieutenant-colonel Décro Foin qui va tant bien que mal tenter d’arrêter les pirates avec l’appui de la 388ème.
Situation finale : La boutique est pillée, saccagée, vandalisée (ce que voulait Bramart en somme) et le moral de la “néo-révolution” locale prend un bon coup.
)