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Maintenant on l'appelle Mr. Kogaku

Rappel du premier message :

Je massais la bosse causée par la piqure, avant de passer ma main dans me cheveux, j’attrapai deux bonbons dans le paquet qui trônaient sur la table face à moi. Je les lançais d’une main et les laissaient retomber dans celle-ci, un sorte de tic, lorsque je réfléchissais ou m’apprêtait à donner une explication. Mes hommes étaient tous rassemblé sur le pont devant une table sur laquelle était étendue une carte de Bliss. Mon poignard montrait de manière éloquente, l’emplacement du point de rassemblement. J’envoyai les bonbons d’une pichenette vers ma bouche et attrapai une baguette.

-Voici la base qu’on a appelé et la l’autre, voici les chantiers et c’est la qu’est établit le gouvernement…Vous 8 vous vous diviserez en quatre groupes de deux et vous vous rendrez à ces points

J’attrapais deux autres bonbons et les lançaient et les rattrapaient en essayant de donner les derniers détails à mon plan.
Ok plus que trente hommes à caser, je demandais ensuite aux soldats visant et tirant le mieux de se mettre à ma droite, Ils étaient neuf dont deux de mes hommes, je jetais un coup d’œil à la carte, j’aurais préféré les garder avec moi mais je n’avais pas le choix. Je mis avec chaque tireur un autre marin « bon au corps à corps ». Plus que douze hommes, je pris donc mes huit hommes restant et un soldat et un qui se disait bon acteur, avec moi. Je laissais ainsi trois hommes abord dont un de confiance. J’ordonnais ensuite à chaque groupe de se munir d’un den den, j’avais bien fait d’en emprunter pas mal dans une base sur une autre ile.

-Voici le plan, nous allons tous débarqué sauf vous trois…

Je montrais ensuite à trois « snipers » où ils devaient se mettre, sur trois bâtiments autour du hangar.

-Les ambassadeurs, vous partirez direct, chaque sniper prendra une lettre grecque, les trois que j’ai décidé seront : alfa, beta et gamma...Je garderais un den den allumé dans ma poche relié au bateau, selon les infos que vous recevrez, vous les enverrez au groupe à partir de Delta pour qu’ils se placent sur un toit autour des bâtiments où les bombes seront placées .

Je lançais une dernière fois les bonbons avant de les expulser dans mon gosier.
Mon groupe s’habilla comme demandé sur la lettre et on se rendit à terre à bord du lutin. Mon plein était presque parfait : moi et mes hommes pour faire le ménage, un groupe de coordinateur et communication, un groupe au cas où on se plante et un dernier pour avoir peut être des renforts ou la renommée héhé… un groupe pour les informer tous, un groupe pour les défoncer tous et dans la prison les envoyé …J’suis un dieu héhé. Le seul point d’ombres, avais j’ manqué une info et mes hommes seront-ils assez doué.

*Œil tu resteras avec le groupe alfa, y a Nako dans ce groupe, comme tu le connais…et pis t’es assez prés pour agir au cas où, l’homme au meitou et au loup est connu mais un homme avec uniquement un meitou…un peu moins*

Nous nous présentâmes au hangar au nom de Brown.

  • https://www.onepiece-requiem.net/t2619-fiche-de-yama
  • https://www.onepiece-requiem.net/t2499-yamamoto-kogaku-dit-lame-fini-test-rp-fini
Je me  retournais...juste un bras...il avait encore des tours dans son sac l'enfoiré ...il était pas le seul remarque, je levais la têtes le p'tit révos se trouvait a quelques mètres de hauteurs, avec un chewing-gum pour garrot (y'a plus qu'a espérer que ça s'infectera dans la seconde...) .

-C'est parce que j'avais les pieds plats ! On m'a viré de la marine !

-pas mal

Je sorts un GW pour descendre son moyen de locomotion, mais trop tard il était trop tard et il s’envola emportant avec lui 2 mots qui s’étirèrent (*y'en a trois*) (ca dépend du point de vue...)

-On se retrouveraaaaa

Je l'espère bien...je criais ver les ciel en espérant qu'il m'entende

-A la prochaine !

*t'étais un peu en dessous la...*

J'attrapais son bras et me grattais le dos...

-Disons plutôt que je te retrouverais...

* a ton avis dans du formol ca ferait une belle déco ? *

avec son sang et une partie de son corps...j’inhalais longuement mémorisant son odeur...comme ca si j'augmente mon odorat et qu'il se trouve dans le coin...je le pisterais sans le moindre problèmes...

*Oeil...la technique secrète N°32 *

*j'suis bien obligé...faudrait quand même changer le nom non ?*

*beh non ça aura la classe...un jours...je crierais technique secrète N° 32, on me dira t'a plus de 32 techniques secrètes ?...non une seule...la 32*

Je montais sur le dos du loup qui m'arrivait maintenant sous les cotes, destination les révos, je tombais tout d’abord sur un tas de cadavre qui semblait avoir été abattu par derrière, pendant qu'ils affrontaient un petit 'commando' de marins, appartement y'avait qu'un survivant parmi les hommes qui défendait ce point, j’attrapais un den den sur le cadavre d'un de mes marins j’appelais ma base pendant que mon loups cherchais la prochaine piste.

-Ici Yama...situation ! (oui c'est chiant de faire des phrases complètes).

-y'a un groupe réduit de moitié toujours en vadrouille, un actuellement bloqué par les hommes posté la et un en prise avec les gars qui on fait un travail remarquable en prenant chaque fois des groupes a revers, mais ils se sont fais spotted...et suivant tes ordres ils restent planqué...sinon la cavalerie devrait arriver dans une dizaine de minutes


-Comme si on allait les laisser nous voler la vedette ... allez dix minutes...pour tous les dégommer... mais faut garder vivant les dernier com...


je fus interrompu par un impudent personnage.

-Chef y'a un des gars du hangar sur un loup...et y se balade avec un main dans la poche

-Et toi t'as des bombes on a du abandonner les nôtres...

Si ça c'est pas de la chance... je me rapprochais du groupe de quatre individus, je fis sonner la tête du chef et de l'impudent personnage comme dans les dessins animé (quoique ca fait 'poc'...donc pokker, quoique ca pourrait mal se prononcer...et on pourrait croire faire poker la tête...ce qui n'est pas la cas donc poké...voila...la c'est bien).Mon loup attrapa une jambe tira un bon coup faisant le mec s'écraser la geule face au sol, tandis que j'assenais un terrible clothesline au dernier qui fut projeter en arriéré, se retrouva dans un sorte d'appui manuel renversé (* tu peux appeler ça un poirier  qui utilise les épaules et le cou comme base non ?*) (non), il resta quelques secondes dans cette position improbable quelques secondes, avant de retomber.

-Ah oui...appelle les journalistes...

Nous nous précipitâmes vers l'endroit où se trouvaient mes gars,raah j'vais pas pouvoir garder mes sens aussi aiguisé si longtemps, va falloir que je relâche la pression, j'ai pas le choix...allez pause de dix minutes...

Nous arrivâmes prés de mes hommes planqué derrière un mur et tirant au jugé pour bloquer l'avancée des mes d'en face, qui s'était mis en position serrée prés à parer n’importe quelle attaque, je descendis du dos de ma monture, me collai au mur et d'un coup rapide envoyai une lame d'air au pieds de mes adversaire qui se prirent une pluie de poussière et d'éclats de pierre "Air Same Kosho".Mes hommes foncèrent ensuite pour assommer les quelques dernier survivants...plus qu'un groupe...mon den den crachota...ah non...je fis l'appel, on avait perdu 3/4 de nos forces...regrettable...mais inévitable...j'avais peut être un peu surestimé nos forces mais l'essentiel est que il n'y aie aucune perte civiles à déplorer...je levais la têtes et inspirais un bon coup....le jeannot avait quitté l'ile...Me shommes pansèrent mes plaies et on se remit au travail.

Nous rassemblâmes les quelque rare survivant et lorsque la cavalerie arriva (en retard comme à son habitude), lorsque le colonel voulut me serrer la mai je lui tendis le moignon jeannot qu'il serra avant de sauter en arrière en comprenant de quoi il s'agissait.

-Qu'es ce...cette chose...que vous agiter devant mon nez...

-la main du mec qui a organisé ca...

-Où es...le reste du corps ?

-Le paye s'est barré...il était badass...on a un peu foutu le bordel par contre

Je l'amenais la où s'était déroulé notre combat, il devint livide.

-Vous avez affronté...Trojean...un cavalier de la révolution...vous avez de la chance d'en être ressortis vivant...qu'il aie réussi ça sans nous alerter est effarant...il faudra passer ses événements sous silence...

je le frappai il me regarda l'air choqué.

-Je vous amènerais en cour martiale pour ca

-Donner moi une bonne raison pour ne pas  vous y envoyer, j'en ai rien a foutre que vous vouliez cachez votre putain d’inutiletée, des mecs sont mort par votre faute, si je n'avais pas été la, ce port aurait été rayé de la carte et les morts impossible à compter...je vous donne une semaine pour déposer votre démission et carrer votre putain de cul de planqué dans une retraite pourrie où vous croupirez le reste de votre putain de misérable existence !


Il voulut ouvrir sa bouche pour protester, mais je le foudroyai du regard, il ouvrit la bouche quelque fois augmentant sa ressemblance avec un poisson avant d'éponger son front.

-Ce...ce sera fait...mon...monsieur

De retour avec mes hommes nous finis d'énumérer les morts, les renvoyèrent tous à leur famille, laissèrent les survivants aux bon soin d'un vaisseau pénitencier et envoyèrent des messages à leur familles, nous fumes acclamé par le peuple, et j'apparus sur la première page du journal la lame au clair levée vers le ciel avec mes hommes derrière moi et à nos pieds une stèle en l'honneur des marins morts, avec comme grand titre.

"Un groupe de marin sauve Bliss"
"Yamamoto Kogaku, commandant au sein de la marine affecté au non moins réputé Ghost Dogs ayant participé à la dernière guerre et ayant capturé de grand criminel dont la comédienne : Aoi Nakajima. A la tête de ses hommes affronta un contingent de la révolution ayant pour but de détruire le chantier naval. Il mis personnellement en fuite suite à une lutte acharnée ayant marqué à jamais une allée, portant a présent son nom, Trojean l'un des cavaliers de la révolution non sans lui amputer le bras (...) "

On envoya le chat de trojean à la fourrière...mais tous le monde s'en fout...

La nuit suivante fut placée sous le signe du deuil, nous pensâmes nos plaies et posèrent des bougies sur des petites barges qui partirent clignoter au loin.Je remplis un grand nombre  de rapport, je fus acclamé par la ville et suite à une semaine sans fin entre diner de gala par les armateurs et autres sans oublier les discours sur mon aventure nous finîmes par mettre les voiles,fier et heureux mais néanmoins légèrement dégoutée par la joie du peuple et leur peu de considération pour les morts...à présent destinations vers le passeur...Me voila avec énormément d'amis dans la révolution...il faudra que je finisse toutes ces histoires...
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