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♫ Je suis parti de bon matin... ♪

Rappel du premier message :

Je courais dans les cercles d'armada le sourire aux lèvres et le cœur désireux et excité d'une nouvelle aventure. Dans les mains, se trouvait un cylindre métallique contenait des plans et une carte de l'île qui obnubilait mes journées depuis une semaine.

Il fallait dire que tout avait commencé au retour d'un équipage pirate venant de Water Seven. Leur équipage semblait avoir subi une défaite. Le plus grand chantier naval du monde ou bien la cité sur l'eau ne brillait pas par sa puissante force armée. Et n'étant pas sous le gouvernement mondial, je doutais que des marines y fussent pour quelque chose.

Quand je m'enquerrais de la situation auprès du capitaine il me raconta qu'en passant a coté de la cité il on eu vent de rumeurs venant de leurs contacts comme quoi un atelier appartenant a Franky un des plus grand charpentiers du monde avait été récemment découvert  mais lorsqu'ils on voulu vérifier cette théorie il sont tombé sur la "franky family" et que ces gugusses défendaient la zone. Ne s'attendant pas à une telle opposition, ils ont dû fuir la plupart de leurs membres d'équipage passé à tabac par ce gang de rue.

Il ne pouvait m'affirmer que cet atelier existait, mais une chose était sûre, ce gang défendait un endroit dans les débris autour de la ville parfois recouvert par l'eau. Personne n'a intérêt à défendre un terrain vague. Alors depuis des jours accompagnés par les conseils avisés de mon nouveau membre d’équipage, j’étudiais de vielle cartes de la ville. Essayant de raccorder au témoignage de l’équipage en question pour trouver une zone a chercher.

Pourquoi je faisais ça ? Parce que ne possédant moi-même aucun navire et n'ayant aucun moyen de m'y rendre mon plan devait être solide comme le roc pour que le capitaine Red me vienne en aide.

Avec un peu de chance, ce Franky aurait pu laisser des plans ou même un navire prêt à être embarqué ! Et je pourrais enfin devenir un véritable capitaine à part entière !C'est alors après plusieurs jours de recherche que ma course me menait déjà dans son cadran et je rentrais en trombe passant les différents pirates qui défendaient l'entrée.

C'est alors après plusieurs jours de recherche que ma course me menait déjà dans son cadran et je rentrais en trombe passant les différents pirates qui défendaient l'entrée.

"Pardon, pas le temps !"

J'aurais même pris appui sur la tête d'un pirate qui aura tenté de mettre en travers de mon passage.

"J'ai dis pas le TEMPS ! Désolé !"

Je passais devant les pirates, mais aussi la déco' assez étrange de l'endroit ou était accroché tout un tas de richesses et de trucs précieux que je ne pouvais décidément pas comprendre. Cet endroit avait un effet étrange sur moi, car certes, c'était des choses précieuses étaient affichées, mais cela donnait aussi un effet de "trophées de chasse" qui ne me plaisait pas. Après tout, j'avais reçu mon propre avis de recherche récemment et moi-même était un trophée pour certains.


J'ouvrais la porte du bureau de Red en menaçant de tomber ma fidèle navigatrice sur mon dos.


"Red ! Je l'ai ! Il faut que je te montre ! J'ai besoin que tu m'amènes à Water Seven! "


Je me rapprochais bien décidé du bureau en ouvrant la carte avec mes annotations et la plaquant contre le bureau devant le fauteuil ou était assis Red. Dans la salle, se trouvait l'homme aux cheveux blancs de Marineford, Aquila, je crois, visiblement, je venais de débouler en pleine conversation. Peu importait, j'avais travaillé trop dur pour ça et j’étais complétement remis et bien plus forts qu'ils ne m'avaient jamais vu. Ma rémission avait fait des miracles.


"Je sais où se planque l'atelier de Franky. Il est couvert par de l'eau ! C'est pour ça que je ne le trouvais pas ! Mais maintenant je sais ! Il est sous-marin ! Dans cette zone ici ! Ils ont dû le construire en dehors de la ville sous les débris à l'abri des regards, c'est pour ça qu'ils défendaient la zone quand elle était à sec. Et qui veux dire à sec veux dire vulnérable !"


Mon sourire était éclatant et ma détermination sans faille. Mon cœur battant tel tambour dans ma poitrine tant j'étais heureux d'avoir potentiellement trouvé le secret le mieux gardé de Water Seven.
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Une fois dans l'atelier, Aquila posa le gamin évanoui au sol, en l'asseyant puis il s'éloigna laissant ses parents et son frère aller à ses côtés. Aquila alla s'isoler des autres, mais sans être trop loin non plus et se mit à pester en frappant du poing le mur sur lequel il s'était appuyé.

"Quel con !" Lança-t-il dans le vide, en parlant de Franky Junior qui avait préféré affronter l'Aqua Laguna plutôt que se mettre à l'abri.

Kensa alla le voir et posa une main sur son épaule pour le réconforter, et aussi lui faire une petite leçon de moral :

"Tu n'aurais rien pu faire. Il avait sa fierté. D'ailleurs, il me faisait un peu penser à toi, tu ne crois pas ?"

Aquila poussa un léger rire et lui répondit : "C'est vrai... L'honneur et la fierté nous obligent à faire certaines choses... J'aurais sans doute fait pareil si j'avais été à sa place... Mais bon... Ça fait chier quand même... Bon... Allons voir les autres."

En effet, Brick, Léo et Heliamphora avaient avancé dans l'atelier. Des lumières se mirent à éclairer l'immense hangar. Là, Aquila entendit Léo parler, mais ce qu'il voyait l'émerveiller et du coup, il ne l'écoutait qu'à moitié. En effet, devant eux se trouvait deux navires, mais l'un attiré plus Aquila que l'autre. Ce vaisseau se nommait le Parangon, selon Léo. Alors qu'il posait sa main contre la coque, la caressant tout en avançant pour l'admirer, Kensa sortit, en soupirant :

"Les hommes et leur navire... C'est à croire qu'ils les préfèrent à nous, leur femme..."

"Hein ?! Tu disais ?", sortit Aquila en revenant à la réalité.

"Non, non, rien...", soupira-t-elle. Mais elle fut surprise lorsqu'Aquila s'approcha d'elle, lui prit la main et lui annonça : "Qu'en penses-tu ? Ça serait notre foyer. Notre maison, rien qu'à nous deux."

D'un coup, Kensa réalisa l'importance de ce navire pour Aquila. Ce n'était pas qu'un simple navire pour jouer au Pirate et au Marine. Il considérait ce bâtiment comme leur maison et ça, ça toucha Kensa en son for intérieur.

Mais ce moment de bonheur fut interrompu par celui qui devait être le mari de Ma, qui sortit une interrogation très juste : comment sortir d'ici ? Se voulant rassurant, Aquila le regarda et lui dit :

"Ne soit pas stupide, gars! Tu aurais un atelier où tu pourrais y aller qu'une fois par an et que quelques secondes ? À mon avis, Franky avait dû prévoir quelque chose pour faire sortir cet atelier hors de l'eau. Surtout si c'est des navires qui sont constr..."

"Comment osez-vous parler à mon mari ?!"

Aquila venait d'être interrompu par Ma, qui a en voir l'expression de son visage était en colère.

"Tout ce qui est dans cet atelier nous appartient."

Rien que le fait d'attendre ça, sans un seul remerciement pour avoir sauvé son jeune fils et les avoir aidé à échapper à la vague, contraria légèrement Aquila qui lui rétorqua sur un ton fort et sec, en poussant avec le pouce, la garde de Sandai Kitetsu, laissant apparaître le début de la lame :

"Sans nous, vous seriez mort, donc un conseil : fermez-la ! Autant je nous vous attaquerais pas, autant si vous tentez quoi que ce soit à notre encontre, nous nous défendrons et vous ne ferez pas le poids. Compris?" Puis se tournant vers les autres, d'une voix normale : "Non mais pour qui ils se prennent, ces cons-là !"

De son côté, Ma retourna voir sa famille en grognant tout ce qu'elle pouvait. Aquila observait l'atelier, cherchant un moyen de sortir d'ici sans trop de soucis...
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Tout le monde se félicite, et Hélia me prend pour un môme, bon, quand on est un tonttata on a l'habitude de se faire considérer comme une partie négligeable ou un enfant, et j'ai refait des façades a coup de boule pour moins que ça, mais bon, c'est bien la mignonne la plus sympa du groupe, alors je laisse couler.. D'autant que j'ai autre chose en téte qui me turlupine, sur grand line ça s'appelle l'expérience, et ça permet de survivre et de ne pas mourir aussi jeune et bête que les gens qui m'entourent.

Et la, l'expérience, ce qu'elle me crie, c'est qu'un labo comme ça ne reste pas sous cloche un siècle sans se détériorer salement plus que ça. Les choses rouillent, s'oxydent, pourrissent, surtout dans un coin a moitié sous marin, avec un bassin d'eau salée et des aqua laguna qui lui rendent des visites régulières... Non, un truc en l'état comme ça pendant 100 ans, ça n'existe pas. Ou plutôt, ça n'est possible que si quelqu'un l'entretient !

Alors pendant que la famille Fraky s'engueule avec Aquila en lui rappelant que jouer les sauveurs alors que c'est lui qui les a attaqué et sonné, c'est quand un peu se foutre du monde, de mon coté, j'attends le moment ou le proprio va se pointer pour voir qui fout le bordel dans sa thurne. Et sans surprises, ça ne tarde pas.

Un cliquètement métallique vient briser le début d'engueulade, et tout le monde se tourne vers la silhouette cauchemardesque qui vient de surgir sur le pont du plus gros des deux navires. Des cheveux bleus, des yeux brillants de technologie et de cruauté, un corps qui n'est que vaguement humain jusqu'au bas du torse, la ou les deux jambes sont remplacés par huit longues pattes d'araignées métalliques qui font de l’être qui vient de se pointer une sorte de monstrueux centaure araignée.

♫ Je suis parti de bon matin... ♪ - Page 2 Image

- Intrus Intrus bruyants.... Gentils intrus, Franky aime les intrus, Franky les aime beaucoup. Les attraper, les serrer dans les bras pour les faire couiner couiner et mourir.  

Le cyborg s'immobilise pendant que son regard se fixe sur le groupe, il incline la tête, comme s'il comptait les gens qui viennent de débarquer chez lui

- Bienvenus dans l'atelier de Franky Franky gentils intrus ! BIENVENUE BIENVENUE BIENVENUE ET MOUREZ MOUREZ MOUREZ ! 

Et soudain tout l'atelier semble se mettre à bouger comme dans un mauvais conte de fée. Un tabouret me flanque un coup de pieds, les chaines se ruent sur nous, les machines démarrent et se mettent à nous encercler, des hordes de boulons décollent comme autant de guêpes pour nous filer dessus en escadrilles serrés..

Je savais bien que tout ça ne sentait pas bon...

Franky Franky, le gardien du labo:




Dernière édition par Red le Mar 28 Nov 2023 - 13:34, édité 1 fois
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Ah… Personne d’humain n’était venu depuis longtemps, mais ce… C’était quoi au juste ? Heliamphora observe l’étrange créature de métal et de fils ? Elle croirait voir un cyborg, mais en même temps il semblait tout simplement détraqué. Helia est proche de Brick, observe la chose qui a immédiatement attiré l’attention de tous. Ainsi, toutes les têtes sont tournées vers la créature mécanique qui se met à parler bruyamment, invitant les gentils invités dans un câlin des plus mortel. La rousse plisse les yeux tout en évaluant le comportement du monstre artificiel. Quand il se met à cris des menaces de mort, la demoiselle n’attend pas plus longtemps. Elle attrape deux greens pop de ses plantes Carnivorus et les envoie en barrière devant elle. En quelques secondes à peine, ils atteignent leur statut mature et les fouets partent en direction du monstre mécanique pour en caresser la surface métallique. C’est à ce moment-là que la rousse réalise qu’elle ne pourra rien faire contre lui, autre peut-être que d’essayer de lui nuire. Elle attrape ses deux dernières greens pops et appelle les Magnoliophyta et elle donne l’ordre de rester à distance pour cracher son venin.

‘’Je pourrais vous être utile que quelques minutes, mes plantes ne sont pas éternelles… Encore. Et moi, je n’ai aucune habilité utile contre ce monstre… Les gars, c’est à vous de faire le plus gros…’’ Que souffle Helia, détestant être aussi faible face à un adversaire.

Au moins, tout ceci lui permettrait de réfléchir à ces prochains projets… Les plantes avaient eu leurs ordres et elles se déchaînaient du mieux qu’elles le pouvaient sur le cyborg. Au même moment, une chaîne l’attrape à la cheville, tire brusquement et la tire vers l’arrière. Avec un cri de surprise, elle se retourne et évite la volée de vises qui frappe le sol en rebondissant. Elle finit par s’accrocher à une boite lourde et pendant qu’elle est soulevée dans les airs, elle arrache le couvercle qui lui fait maintenant office de bouclier improvisé contre les projectiles volants.

‘’Et merde…’’ Marmonne la rousse pour elle-même en faisant de son mieux pour survivre malgré sa situation délicate. Toutefois, devant la vision de ses plantes, presque inutile face au métal sur pattes, son cerveau semble trouver le moment pour lui faire remarquer quelque chose… Serait-il possible de faire en sorte que les feuilles et pétales d’une plante deviennent aussi efficaces que du métal ? Au même moment, elle se souvient des journaux de sa mère avait écrit dans sa jeunesse, une histoire Myriapolis, la Forêt des toiles et les araignées… Elle ne comprend pas pourquoi son cerveau fait ce lien, mais il lui rappelait parfois des trucs qu’elle avait longtemps oubliés. ‘Une forêt toxique aux arbres géants assez coriaces pour résister aux vents et permettre à d'autres plantes de se développer dans leur ombre. [...] Expertes en drogues et en poison. [...] Très dangereuse, envers les étrangers…’ Tout en donnant un coup de couvercle à des outils qui essaye de l’attaque, elle se creuse la tête pour essayer de comprendre ce que son subconscient voulait lui dire…

‘’BRICK ! Dis-moi, Est-ce que Myriapolis te dit quelque chose ? C’est quoi exactement ?’’ Que je demande finalement à bout de nerfs sur l’obsession que faisait mon cerveau.


“Is the land a source of belongings, or a source of belonging ?”

“The underlying melody via every rock, plant, animal, sky and star, inside the water, from the dirt, through the light: only love lasts.”
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e descendais de mon petit nuage à vitesse grand V. Un monstre de métal se tenait devant nous et commençait à nous attaquer ! Est-ce que ce Franky avait prévu cette éventualité ? Impossible, j’aurais plutôt mis ma main à couper que quelque chose avait pris vie ici même si je ne savais pas comment et défendais son territoire ! Ce qui expliquait l'état impeccable de l'endroit !

Hélia tentait tant bien que mal de le ralentir sans succès. Le robot détruisait tout sur son passage et les plantes de hélia devenaient les collatéraux d'une guerre entre les plantes et un outil de déforestation géant !


Mon cerveau tournais a plein régime. Même mes attaques ne pouvait trancher le metal, Aquila pourrait sûrement faire quelque chose, mais il y avait aussi la possibilité que le robot soit invulnérable s'il a été conçu pour arrêter les intrus. Dans un espace aussi réduit le sabre d'aquila ne ferait que détruire l'endroit nous noyant tous au passage. Alors j'eus une idée :


"Aquila ! tiens le en respect ! Attire son attention et essaie de le maintenir en place !"


Il y avait une chose qui différenciait les cyborgs et les humains ou les créatures vivantes. Les cyborgs avaient besoin d'une cellule d'énergie ! Sinon aucun moyen qu'il puisse survivre dans un milieu comme celui-ci enfermé depuis 100 ans ! Et moi mon seul atout était qu'en matière d'énergie, je m'y connaissais ! Mais il me faudrait un coup chargé d'électro bien placé malheureusement dans l'état, la créature était trop agile de ses 8 pattes. J'avais absolument besoin qu'il la maintienne en place quelques secondes ! Mieux encore si sa batterie était faite de cola mon choc électrique pourrait se propager à travers ce liquide et lui infliger d'énormes dégâts intérieurs !


Sautant en arrière et me mettant dans une position ressemblant à celle d'un coureur professionnel dans un starting-block mes phalanges s'enfonçais dans le sol alors que j'accumulais l’énergie électro dans mon corps. Après tout, c'est moi qui avais mis les autres dans cette situation, c'était à moi de les en sortir ! Alors que le grésillement des arcs électriques m'entourant provoquait une lueur bleutée autour de mon anatomie féline, je priais pour qu'Aquila arrive à tenir ce monstre métallique. Après tout, un sabreur dans un espace aussi clos pourrait tout détruire ou blesser les gens ici. J'espère qu'il me fera aussi confiance que je lui fais confiance !


Je commençais alors à bondir et telle une balle rebondissait, je commençais à gagner de la vitesse en allant toujours plus vite à chaque saut autour de la créature.
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Pourquoi rien ne peut se passer tranquillement ? Franchement, déjà que trouver l'atelier avec la menace d'un raz-de-marée était assez compliqué comme ça. D'autres bandes ont voulu le trouver aussi et maintenant, voilà que le gardien des lieux venait à son tour nous emmerder. En plus de ça, l'espèce de truc qui ressemblait à une araignée robot à l'effigie de Franky, avec ses cheveux bleus était complètement déglingué. Un coup, c'est paix et amour, un autre coup, c'était mort et destruction. En général, ce mélange ne représentait rien de bon. Avec ça, le groupe vit bon nombre de vis, boulons, écrous prendre vie et flotter dans les airs comme s'ils étaient vivant, et vu qu'ils ont pris vie à l'arrivée du cyborg, en le tuant, Aquila pensait qu'ils reprendraient leur état d'origine, de simples objets.
Aquila regarda Kensa et lui dit de prendre les sabres qu'il lui avait passé et de se mettre en posture défensive. Même si elle n'était pas encore une combattante aguerrie, il lui avait appris au moins quelques mouvements pour se défendre.

Kensa dégaina les deux sabres et se mit en position en observant attentivement ce qui l'entourait. Heliamphora aussi ne savait pas vraiment quoi faire et fit en sorte d'au moins se protéger elle-même.
Par contre, Léo avait l'air d'avoir une idée derrière la tête, car il demanda à Aquila de le maintenir en respect le plus longtemps possible. Ce à quoi le bretteur lui répondit :


"Pas de problèmes !"

Dégainant Sandai Kitetsu, Aquila n'allait pas partir au corps-à-corps, sachant qu'il ne connaissait rien de son adversaire. Du coup, il voulait essayer quelque chose de nouveau. Durant Marine Ford, il avait vu qu'il était capable de faire des lames d'air. Le souci, c'était que les lames d'air étaient quand même assez destructrices. Or, ici, il ne fallait rien abîmer. Du coup, il allait essayer de faire de la même chose, mais avec des coups d'estoc, qui au lieu d'être tranchantes, seraient perforantes mais surtout mieux ciblées. Visant les pattes du cyborg, Aquila enchaîna plusieurs estocades d'air dans le but de couper les pattes et ainsi l'empêcher de bouger, comme le souhaiter Léo.

"Tranche-Mer !"

Après les attaques du bretteur, certaines pattes partirent en éclat, déséquilibrant l'ennemi, qui faisait tout pour rester stable. Aquila continuait d'assaillir le cyborg d'estocade d'air afin qu'il tombe sur l'abdomen, puis sortit au Mink :

"Fonce, je te couvre !"

Il ne restait plus qu'à savoir si le plan du lion était bon...
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Oh le plan du lion semble bon, mais il est aussi plutôt prévisible, surtout pour un cyborg aussi vieux et expérimenté que celui ci semble l'être Comme s'il s'agissait d'un vétéran d'un millier de combats douloureux, seul survivant d'un équipage légendaire ? Hum... Peut étre... Qui sait ? En tout cas, la coupe est la bonne !

En tout cas quand ses jambes métalliques se dérobent soudain sous ses pattes, et que le Lion cesse soudain de lui tourner autour pour lui bondir au dessus de la tété, les pattes crépitantes d'électricité, prêtes à s'abattre sur le crane du cyborg pour le griller jusqu'au cerveau, Franky est prêt ! Ses deux bras déjà levés droit vers le Mink bondissant pour s'assembler en un canon puissant !

- COUP DE VENT !

L'electro frappe sa cible, mais l'impact est grandement diminué par l'absence de contact, car au lieu de saisir son ennemi, Léo vient d'être projeté dans les airs par le puissant courant d'air craché par le cyborg. Et pendant qu'il vole, impuissant et incapable de modifier sa trajectoire, son ennemi n'a pas dit son dernier mot ! Ses joues se gonflent démesurément...

- FRESH FIRE !

Et voila qu'un véritable boule de flamme jaillit de sa bouche pour aller carboniser le lion volant.

Partiellement immobilisé, le corps crépitant d'electricité, Franky ne se tourne pas moins vers son principal agresseur, le sabreur qui tente de livrer un duel de tir contre un cyborg ! Ses épaules semblent se déboiter pendant qu'en jaillissent deux canons à l'air menaçant qui se braquent sur Aquila.

- FRANKY DESTROY CANON !

Et dans la seconde, ses deux armes se mettent à cracher à toute vitesse une véritable pluie de balles en direction d'Aquila et sa compagne, des projectiles que son pouvoir d'animation rend capable de modifier leur trajectoire pour poursuive leur cible comme autant d'insectes à têtes chercheuse, les rendant encore plus dangereux que n'importe quelle mitrailleuse.


[...]


- Cette histoire commence à sentir mauvais...  

Et quand on a été capturé une fois par le Malvoulant et forcé de l'aider à accomplir ses sinistres desseins, c'est une remarque qu'on ne fait pas à la légère, quand ça sent pas bon, ça sent pas bon ! Il faut dire que les cyborgs sont des adversaires puissants et vicelards, toujours prêt à dévoiler de nouvelles techniques démentielles et surprenantes, alors quand en plus ils ont un fruit...

Quand on s'est fait agresser par assez d'ustensiles de mécano pour se croire dans un remake steampunk de Fantasya, j'ai commencé par parer au plus pressé, entre ma vitesse et mes propres pouvoirs, s'occuper des outils animés est plutôt facile, il me suffit de les toucher pour les transformer en tas de petites briques, et même si ces briques restent animés, une fois privé de leurs parties coupantes et mouvantes, elles ne peuvent plus que se tortiller au sol de façon grotesque, comme une bande de lombrics carrés.

Mais si une poignée d'ustensiles ça se gère facile, quand on a affaire à une véritable armée, ça se complique, d'autant que si pour les géants qui m'entourent, ce sont de petits outils, pour un type comme moi, ces outils sont immenses ! Alors on se replie, et trés vite on se retrouve a faire front commun avec la Franky Familly et la môme Hélia dans un coin de l'atelier, façon dernier carré de lutte contre les outils, qui marquent un temps de pause, se demandant probablement s'ils ne feraient pas mieux d'aller aider leur patron.

Mais a priori, ça n'inquiète que moi, alors tout bagne non ? Et en plus on discute !

- Et ben tu sais choisir tes moments toi ! Myriapolis ? c'est une ile. Sur la quatrième voie, un coin sympa mais seulement si tu aimes bouffer du sable brulant et des insectes. Mais vu le contexte je préférerais que tu me proposes un baiser pour te sortir de la...

"FRANKY A LA RESCOUSSE ! "

Un tuyau cède au dessus de nos tétes, nous déversant sur la couenne une demi tonne d'eau salée, et au moins deux cent kilos de muscle, qui se remet immédiatement sur pied et attaque les ustensiles !

- Mais, t'étais pas mort toi ?  


"Comment as tu survécu à l'Aqua Laguna ?!"
"J'AI RETENU MA RESPIRATION ! AHAHA ! Non je plaisante, je suis un cyborg, je ne respire pas ! Maintenant qui m'aide démolir ses outils ?! "
"Il a raison ! On est ingénieurs ! On ne va pas se faire marcher dessus par nos bricoles ! AVEC MOI LA FAMILLE !"



Et hop, voila comment on monte une contre attaque motivé. Devant un tel enthousiasme, comment ne pas suivre ?

- Avec moi Helia ! GERONIMO ! 



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Tout s’enchaîne beaucoup trop vite pour Helia. Entre Léo et Aquila qui tiennent en respect un temps la créature, les attaques les plus farfelus et extraordinaires, l’imagination des plus impressionnantes de ses compagnons, Brick qui transformait les choses en petit block… Et malgré tout, le monstre ne semble même pas déstabiliser, envoyant valser Léo telle une grosse peluche. C’était donc ça la puissance des cyborgs ? C’était tout simplement terrifiant. Est-ce que Paul était également capable de faire ceci ? Cette demande-t-elle en observant ces plantes se faire détruire aussi facilement que de la poussière face au vent. Elle mort sa lèvre inférieure, retenant le cri de peur face aux attaques que subit Léo, c’était un grand garçon, résistant, il allait s’en sortir non ? Il avait vécu bien pire sur le bateau…

‘’Fuuuuu.’’ S’exclame-t-elle finalement frustrée.

Elle se redresse, pliant son corps pour venir attraper la chaîne qui lui tient la cheville et avec la force de ses bras, elle grimpe la chaîne pour retrouver le support de la machine qui semble servir à soulever des trucs lourds. Elle y assoit son fessier, chassant quelques boulons et vise avec son bouclier de fortune. Avec une main libre, elle tire sur la chaîne, mais le tout semble simplement impossible, elle ne fait que réaliser à quel point le métal est un ennemi frustrant pour elle.

‘’Merci Brick, je ne contrôle pas toujours les obsessions de mon cerveau. Tu veux bien toucher se poteau ? Et tu auras ton baiser. Je ne vais pas rester ici stupidement à rien faire.’’ Elle marmonne cette dernière phrase pour elle-même.

En moins de deux, le tonttata s’approche et toucher la machine qui la tenait prisonnière. Puis la construction se défait en petit block, la magie de Brick remonte lentement jusqu’à elle. Si elle ne l’avait pas déjà vu de ses propres yeux avant elle n’aurait pas eu le réflexe de se réceptionner à côté du petit homme. Elle lui offre un large sourire, lève son faux bouclier un instant, pour bloquer une volée de vises qui frappe le métal avec fracas. L’une d’entre elle vient même se planter dans le couvercle, continuant de tourner dans le vide. De son autre main libre, elle attrape Brick par le collet et l’attire à elle pour déposer ses lèvres contre les siennes dans un échange de baiser chaste.

‘’Merci de ton aide Brick. Allons aider les autres maintenant. Y en a marre d’être ici.’’

Ils s’élancent ensuite dans la foulée, rejoignant Ma, Pa et Franky qui finalement, par miracle avait survécu d’une manière ou d’une autre à l’Aqua Laguna. Helia soupçonne que l’homme avait un plan bien préparer en cas de problème, de plus s’il était un résident de la place, clairement. Si elle courait en direction des autres, elle finirait par s’arrêter dans ses track, observant le bras mécanique de l’homme changer et pointer Aquila. Oooh, elle avait vu le bras de Paul changer de la sorte et c’était toujours une arme de destruction, comme avec son lance-flammes. Elle se déplace, attrape l’une des lourdes caisses en métal et en utilisant la force brute de son corps, elle force, pivote la boite rapide pour finalement la pousser brusquement en direction d’Aquila, ou plutôt devant lui. Elle refait le procédée plusieurs fois, pour essayer d’offrir une quelconque couverture aux autres. Elle ignorait si c'était suffisant, mais au moins, elle aurait essayé un truc.

Tandis qu’elle pousse les boites avec force, l’une d’entre elle se reverse, rependant son contenu, des armes défectueuses, non terminer, des pièces en rapport avec les armes en question. Elle attrape une large arme, qui ressemble à un bazouka, cependant elle semble non fonctionnelle. Elle ramasse aussi ce qui ressemble à un bouclier qu’elle attrape aussi. Dès qu’elle porte la main sur l’objet, un système semble s’activer et s’attacher à son avant-bras. Elle la secoue un peu, mais bien installée autour de sa chair, la chose ne bouge pas et laisse sa main libre. Elle penche la tête sur le côté, bloquant un trio de gros clou qui sont attirés par le bouclier. Puis tout en bougeant, elle réalise que plusieurs pièces semblent attirer par le bouclier en question. Se pouvait-il qu’il ait un quelconque habilitée à attirer le métal ? Elle arrive finalement proche de Brick, pose un genou au sol et lui pointe l’immense canon qu’elle a récupérer.

‘’Ma !’’ S’exclame Helia. ‘’Regard avec ta famille si vous ne pouvez pas trouver des trucs utiles !’’ Qu’elle lui dit en pointant la boite déverser au sol. Il n’en faut pas plus pour que les deux enfants de la famille se précipitent pour fouiller les cadavres sans vie des armes. Avec de la chance, ils pourront être capables d’aider un minimum contre le monstre mécanique.


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J'avais l'impression de m'être fait frappé par un bateau en pleine figure. Alors que j'allais décocher mon coup le robot à commencer à agir de façon étrange se fichant des différentes attaques que mes compagnons ont pu lui faire subir. Je lui avais touché seulement, le coup était loin d’être suffisant et bientôt, je me prenais de plein fouet un aller simple dans un fourneau brûlant. La boule de feu projetée dans ma direction m'avait propulsé dans le plafond incapable de me mouvoir en plein air. Le choc de l'impact créa un cratère fumant au plafond avec moi en plein épicentre de l'explosion. Je toussais en entendant la suite du combat qui se déroulait plus bas. Et le mot entendre est bien fort pour ce qu'il restait de mon ouïe, au vu de mon acuité sonore supérieure la boule de feu et l'impact m'avais profondément sonné et j'entendais partiellement un acouphène.


Je dispersais la fumée en battant l'air d'une de mes griffes et je pouvais assister à la destruction pure et simple de tout ce qui se trouvait entre les canons du robot. Je suis sûr que mon coup pouvait marcher, je n'avais pas gagné toute cette force pour rien, je ne m’étais pas entraîné pour rien ! Impossible d'utiliser mes bras tant ils avaient été roussis. Alors... Je bondissais plus vite et avec plus de force que je n'avais jamais déployé jusqu’à alors. Si je n'arrivais pas à le terrasser avec ce coup, je n'avais plus aucune solution a comment battre ce robot gigantesque. Malgré le fait que son coup de vent avais dévié mon coup, je pouvais néanmoins voir que l’électro léchait encore son armature. Il n'y était pas immunisé ; un bond et je contractais tous mes muscles, second bond, j'emmagasinais l’électro avant de foncer sur ma cible. Du point de vue de n’importe qui ici, on aurait dit que j'agissais et rebondissais comme les petites balles rebondissantes qui une fois frappées trop fort au sol était en général perdue par les enfants. Je bougeais à la vitesse maximum dont je pouvais faire preuve cependant, le robot stoppa son attaque envers Aquila et recommença le même mouvement. Malgré ma vitesse, il arrivait quand même à me suivre avec le canon de ses bras. Mais cette fois, je m'attendais à son attaque.


"Coup de vent !"



Lorsqu'il la déclencha, je m'assurais de me retrouver au sol pour accélérer, le sol plat étant mon terrain de prédilection pour augmenter drastiquement ma vitesse et esquiver au dernier moment. La machine ne pouvait pas tout calculer après tout ! En esquivant, je pris appui sur un mur avant de tourner sur moi-même emmagasinant une énorme quantité d'électro et décochant un coup de pied si violent qu'il pourrait détruire un mur de métal en un coup.


" Kata de la bête divine : COUP DU TIGRE FLAMBOYANT ! "
meme coup de pied::
Mon coup de pied atteignant la "nuque" de la créature et malgré une résistance qui me poussa à hurler et a redoubler de force pour envoyer bouler le monstre. Mon coup fit mouche et la robot s’écrasa dans un des murs sur couloir un épais nuage de poussière et de décombres masquant l’état de la créature. Le visage encore crispé par la douleur et l'effort que je venais de déployer, je me tournais vers Aquila.


"Aquila ? Les amis, vous allez bien ? Hélia ?"


Je doutais que mon attaque fût assez pour le mettre hors d'état de nuire, mais difficile pour lui de se relever d'un tel choc. Encore au sol me positionnant en posture de combat attendant que le nuage de fumée se dissipe empreint de gravas et d'étincelles.
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La contre-attaque du cyborg ne tarda pas. Il envoya une énorme boule de feu sur Léo et sortit deux canons de ses épaules afin de mitrailler Kensa et Aquila. Voyant cela, le bretteur hurla à sa douce :

"PRÊT DE MOI ET A TERRE !!!"

Kensa se jeta aux pieds de son aimé, regroupant ainsi les tirs que sur un seul couloir dont Aquila tentait de dévier les balles ou de les détruire avec son sabre. Kensa, à genoux essayait de faire pareil avec celles qui venait par-derrière, comme si elles étaient guidées pour atteindre leur cible. Les secondes paraissaient des heures tellement, l'exercice était difficile. La concentration du jeune sabreur était totale et les quelques-unes qui arrivaient à faire mouche ne commettaient que quelques égratignures.
Alors que la fatigue commençait à se faire sentir, Aquila vit des caisses être jetées devant lui, formant une sorte de barricade de fortune. Profitant pour se mettre à l'abri derrière ces caisses, il regarda qui les avait envoyées. Quand il vit que c'était Heliamphora, il la remercia d'un signe de tête.
Puis, regardant la scène et ce qu'il se passait autour de lui, entre Léo qui s'est fait cramer, eux qui sont sous l'effet de tir de balles, et les autres qui essayaient de se défendre tant bien que mal, le sens de la Justice d'Aquila se réveilla de nouveau, après un long moment de torpeur, suite aux évènements de Marine Ford. Son Aura de Justice se sentait encore plus qu'avant et grâce à ses Yeux du Démon, tous pouvaient voir un mur de sabre sortant d'un halo de lumière dorée entourant Aquila, qui se leva pour faire face au tir des balles du cyborg. Les sabres partaient tels des jets de lumière allant détruire les balles. En réalité, Aquila lançait des lames d'air perforantes à une vitesse fulgurante pour toutes les détruire.

Lorsqu'il entendit Léo préparer son attaque et fonçer sur le cyborg, Aquila arrêta sa défense et tomba à genoux, reprenant son souffle. Regardant Léo exécutait son attaque et voir le cyborg partir droit dans un mur, il espérait que ce soit terminé, mais lorsque le Mink demanda à tout le monde s'ils allaient bien, Aquila sortit :


"Pas encore !"

Empoignant Sandai Kitetsu à deux mains, Aquila lança une puissante lame d'air :

"Tranche-Mer !"

Puis, il se mit à courir le plus vite possible, suivant de près sa lame d'air. Lorsqu'il arriva au niveau du cyborg, il vit la lame d'air faire des dégâts, puis il assainit un coup de sabre :

"Tranche-Terre !"

Le coup était porté de manière à ce que les deux coups forment une croix sur le cyborg, en espérant que cette fois-ci, ça soit vraiment terminé...
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- Voleurs ! Tous des voleurs Kof !

S'extrayant péniblement du mur, le cyborg ne fait qu'un pas dans votre direction avant de s'effondrer au sol, pattes détruites, blessures béantes crachant du cola et du sang, le protecteur du laboratoire semble maintenant incapable de vous nuire.

- Kof kof ! Ça vient dans le laboratoire du vieux Franky et ça croit que ça va pouvoir le piller... Mais on ne pille pas le vieux Franky ! Transmutation ! Franky Mouse Tai !

Un déclic sonore retentit dans le corps du cyborg dont la téte bascule soudain en avant, se détachant de son torse pour rouler à ses pieds, Mais il n'est pas mort ! De petites pattes jaillissent de son cou, et voila que la tête se et à courir en ricanant, gonflant ses joues pour tirer dans votre direction un boulon que vous n'avez aucun mal a éviter, avant de se jeter dans un tuyau voisin.

ATTENTION ! OUVERTURES DES VANNES ENCLENCHÉES.

Derrière vous, vous repérez soudain la vrai cible du jet de boulon, un gros bouton rouge marqué "OUVERTURE DES VANNES" et sur lequel on a rajouté une petite étiquette manuscrite "Ne surtout pas utiliser pendant une aqua laguna"

- MOUAHAh kofkof haha !

Du plafond jaillissent soudain des trombes d'eau qui transforment le laboratoire en une zone inondée, une zone inondée qui se remplit vite. très très vite. Pendant que la tête de Franky surgit au niveau des navires, maintenant emballée dans ce qui ressemble a un bocal pour poisson rouge, ou un casque de scaphandrier, vous adressant une dernière parole avant de sauter dans la flotte

- Noyé noyé les voleurs ! Passez le bonjour à Luffy !

PLOUF !


[...]

- Il y a forcément une procédure de mise à l'eau rapide des navires ! Trouvez ça !  

Parce que si je devais construire un laboratoire sous marin, c'est ce que j'aurais prévu et construit, alors Franky l'a fait aussi. Et comme je n'ai déja plus pied et que je n'aime pas l'eau du tout, je bondis sur les épaules de la môme la plus dégourdie du coin.

- Et ensuite tous à bord !!  

Je serais peut être noyé en premier, mais je suis sur que les autres non plus ne respirent pas sous l'eau.



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Après une rapide observation, malheureusement, l’arme n’est pas réparable. Helia se débarrasse du truc, soulevant le bouclier tandis qu’une volée de balles frappe la surface, retombant ensuite su sol. Elle secoue son bras endolori par les vibrations soutenu avant d’accueillir contre elle le Tontatta et le glisse sur ses épaules en observant l’est se déverser rapidement dans la salle. Elle secoue la tête, le nouveau poids ne la dérangeant pas, elle s’élance vers une console comme le lui pointe l’ingénieux. Sur le chemin, elle se débarrasse de son instrument de défense, laissant la chose atterrir dans l’eau avant de couler. Elle observe les boutons, Helia était loin d’être la plus à l’aise avec la technologie, mais avec la guidance de l’expert Brick, en quelques mouvements de mains et de pression de boutons, ils réussirent à activer l’expulsion d’urgence…

‘’URGENCE ! EXPULSION D’URGENCE DES NAVIRES ! URGENCE !‘’

La pièce tombe brusquement dans le noir tandis que les mots sont répétés d’un ton mécanique. Puis une lumière verte d’active et commence à illuminer un chemin à travers l’eau, des flèches pointes les deux vaisseaux encore endormis dans le bassin. La voix mécanique invite cordialement les gens à se rendre aux bateaux, répétant que dans deux minutes, voire moins que les bateaux seraient envoyés par la sortie d’évacuation vers l’extérieur. Beaucoup trop lentement, aux yeux de la rousse qui s’était propulsé sur le chemin lumineux, elle beugle de se dépêcher le cul sur les navires. Des bras mécaniques venant attraper les rebords des coques pour les bouger vers un étrange arc métallique d’où de la mousse commençait à s’en échapper pour créer une étrange bulle miroitante.

Avec l’aide de son fouet, elle attrape l’une des poutres du plafond et crie à Brick de s’accrocher comme il peut et elle se propulse dans le vide en direction du premier bateau. Elle atterrir quelques secondes plus tard sur le pont et roule pour amortir sa chute. Dans son mouvement, elle vient protéger Brick et elle se redresse agilement.

‘’Let’s gooooo ! On n’a pas de temps à perdre ! Léo ne me claque pas entre les mains après tout ces efforts !’’ S’exclame-t-elle avec un large sourire.

Une fois tout le monde à bord, juste à temps pour voir la suite des événements, les bateaux sont passés à tour de rôle dans l’arc mécanique et se retrouve entourer d’une bulle et ensuite brusquement catapulté dans la sortie de secouer dans l’océan extérieur. Ils passent quelques secondes dans un tunnel de pierre travailler avant d’être enfin d’être expulsé dans l’étendue bleue. Heliam reste un instant silencieux, surprise par la beauté aquatique qui ne semble même pas affectée par le stimulus extérieur. C’était comme si le temps s’arrêtait un instant pour elle. Il y avait une grande diversité de poissons, des invertébrés, comme des crustacés, des crabes et des crevettes, des mollusques tels que les pieuvres et les moules, et des échinodermes comme les étoiles de mer. Elle n’avait jamais eu la chance de les voir en dehors des livres ou morts dans les marchés. Mais ce qui la fascine davantage est la flore visible à ses yeux, vivants, lumineuses et vibrante. La populace était si présente et nombre, elle pousse un gémissement de mécontentement quand le tout semble reprendre sa vitesse normale, faisant d’office qu’à peine deux minutes plus tard, ils sont expulsés vers l’extérieur sur le sommet qui s’éloignait de la ville…

‘’Oh fuuuuuuu…’’ S’exclame la rousse en se précipitant vers la barre pour la redresser et empêcher que le bateau chavire. ‘’LÉO, j’ai besoin de tes bras, je ne pourrais pas la ternir la barre droite seule…’’


“Is the land a source of belongings, or a source of belonging ?”

“The underlying melody via every rock, plant, animal, sky and star, inside the water, from the dirt, through the light: only love lasts.”
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Lorsque le robot se transforma encore, j'assistais admiratif a son échappée avant de comprendre le véritable problème. L'eau et les bateaux ! Je courrais vers le pont du navire devant les lueurs d'alarmes. Je bondis bondir sur le sunny ou Helia manœuvrais et hurlais de venir l'aider a tenir la barre. Je vint a sa rescousse et elle avais raison le gouvernail ne bougeais plus.


J’hésitais entre forcer et observer la merveille d’ingénierie que Franky avais développé pour faire une rampe de lancement pour bateau ! Non mais regardez cette merveille ! C'était donc ça un voyage pirate ? J'observais le gouvernail accouplé à des tas de morceaux de ferrailles presque futuristes. Et même à deux alors il ne bougeait toujours pas et je m'écriais en riant.

"Il y a un verrou sur la barre regarde !"

Il montre deux pièces de métal retenant tout mouvement. Mais attends sur le côté ! Il a une manivelle intérieure ! Réfléchis léo si je ne trouvais le bon bouton à temps, on finirait comme une roche au fond de l'océan. Alors je tournais la manivelle qui affichait des numéros presque effacés par le temps. Puis une voix émane du gouvernail lorsque j'arrive sur un endroit, il n'y a pas de numero. Une voix enregistrée ?


"Et voilà. Si vous êtes la soit j vous ai filé le bateau soit vous etes assez malin pour le voler dans tout les cas ...je vais vous expliquer en deux trois secondes à quoi sert le bouton qui vient d'apparaître. Appuyez dessus. "



Complétement hébété, je regardais en effet sur un des rayons de la barre. Un bouton rouge. Je m’exécute tant cette voix semblé confiante. Le véritable artisan ? Un bruit sous nos pieds comme un moteur ou une pompe venait de se déclencher. Qu'est que j'avais mis en route au juste ?


"Combinant le pouvoir du canon à air et la durabilité du bois d'Adam, j'ai mis en place à un système d’évacuation d'urgence."


Puis je plissais les yeux alors que la barre était libérée et redressait notre course comme je pouvais. Cependant, je comprenais la détresse de helia, le tunnel d'evacuation n’était plus tout jeune et s'effondrait au fur et a mesure qu'on l'empruntais.


"Maintenant, répétez après moi : COUP DE BURST!"


"COUP DE BURST !"

Le bateau se retrouva propulsé à toute vitesse rattrapant le parangon et partant même devant à toute vitesse alors que je me tenais à la barre d'une main et Helia de l'autre comme un drapeau. Du point de vue de l'autre bateau, il y a eu une fraction de seconde ou Aquila a pu entendre les cris venant de notre pont avant de nous voir accélérer à une vitesse pas possible. La voix continuait alors que nous nous retrouvâmes en plein air.


"Si vous pouvez faire ça, j’apprécierai. Ce bateau, c'était un souvenir de mon équipage. Prenez en soin et il vous le rendra, admirez et aimez chaque instant de votre aventure car avant que vous le remarquiez elle sera terminée."


Dans notre saut, nous étions parvenus en vision de nombreux poissons puis en instant aux mouettes effrayées par un potentiel prédateur aérien. et cet instant là il était figé dans le temps, j'ai cru qu'il se soit passé plusieurs semaines en l'air ou je me marrais au soleil et devant helia. Et instants d'âpres, nous atterrissions dans la baie. Non loin du bateau de brick dont l'équipage nous regardais avec des yeux ronds avant que le bateau ne geigne un peu du aux événements.


"Soyez SUPER et faites lui voir du monde d'accord ? "


Aplati au sol dos contre le pont, je tenais helia et Brick s'il avait été à portée. Je fis un pouce en l'air.

"Pas de problème."

Il y eut un grésillement et la voix se tut. Tout ce qu'on ressentait maintenant, 'était la houle.

Je me relevais et allais checker l'etat du bateau quand tout se calma et visiblement il nécessitait quelques réparations mais a mon grand bonheur un tas de caissette et d'or se trouvais a terre probablement du au coup de burst. Il avait vraiment pensé a tout ce Franky...

Sauf au ménage.J'allais devoir tout ranger ...

♫ Je suis parti de bon matin... ♪ - Page 2 Yz3j


Dernière édition par Leo Nin le Mar 12 Déc 2023 - 21:11, édité 2 fois
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Tout se passa très vite. Pensant avoir détruit le cyborg, ce dernier se transforma en tête araignée pour prendre la fuite et au passage, ouvrir les vannes, laissant l'eau pénétrée les lieux, l'inondant afin de tuer tous les êtres vivants se trouvant à l'intérieur. Heureusement et ne sachant pas comment ils se sont débrouillés, Heliamphora et Brick trouvèrent un moyen de libérer les navires l'entrepôt. Course contre la montre pour sa survie, Aquila courut vers Kensa pour la prendre dans ses bras et sauta sur le Parangon. Les navires furent dirigés dans une catapulte, où ils furent entourés d'une bulle puis propulsés chacun leur tour.
Aquila aurait aimé sauver les autres personnes qui se trouvaient dans l'atelier, mais il n'eut pas assez de temps. La seule chose qu'il put dire, c'était en voyant le retour de Franky Junior :


"SAUVE-LES ! JE SAIS QUE TU EN ES CAPABLE !!!"

Ce à quoi il lui répondit en serrant les poings, pouces en l'air : "Laisse-moi SUPER m'en occuper !"

Alors que le Parangon remontait vers la surface, il se fit dépasser par l'autre navire, qui d'un coup d'air comprimé fut envoyé plus vite à l'air libre. Même si le moment était plutôt dangereux, il fallait dire que voir les fonds marins de Water Seven, ainsi que les habitations abandonnés par les hommes pour être habité par la faune et la flore marine. Aquila tenait le gouvernail du mieux qu'il le pouvait pour ne pas se laisser dériver par les courants sous-marins et faisait en sorte de suivre le navire de Léo.

Lorsqu'ils atteignirent la surface, la bulle éclata d'un "poc" laissant l'air ambiant de la surface et le vent foutait les visages de chacun.
À la surface, la première vague de l'Aqua Laguna venait de frapper. Les répliques allaient suivre et il fallait se dépêcher. Mais avant tout, il fallait ramener Brick pour récupérer l'Ablette, et partir ensemble pour Armada.

Alors qu'ils amorçaient le chemin du retour, Aquila jeta un dernier coup d'œil vers Water Seven. Kensa le regarda et se blottit contre l'un de ses bras en lui disant qu'il n'aurait pas pu les sauver et qu'il ne devait pas s'en vouloir. Il lui répondit qu'il le savait sur un ton peiné, mais alors qu'il commençait à tourner sa tête pour regarder devant soi, il aperçut une ombre au loin qui lui redonna le sourire. Kensa lui fit :


"Qu'est-ce qu'il y a ?"

"Rien... Rentrons !"
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Notre arrivée à la surface tombe à pic, le front de l'Aqua Laguna nous a dépassé et s'éloigne vers l'horizon à la recherche d'autres navires à couler. Coté ville, le dispositif de protection de water seven a fonctionné une fois de plus, la partie haute de la ville a survolé la vague, et redescend lentement en suivant la décrue, parfaitement prête à affronter les vagues plus petites qui faut suivre.

Et de notre coté, il faut profiter de l'accalmie pour rallier les quais et attendre que la mer soit de nouveau navigable. Une manœuvre pas si évidente que ça avec des navires qu'on ne maitrise pas, même s'ils sont manifestement conçu pour des équipages très réduits. Heureusement, notre présence soudaine au large de la cité ne passe pas inaperçu, et très vite nous sommes rejoint par toute une troupe de Yagara Bull du Service de Sauvetage en Mer de Water Seven, qui nous remorquent jusqu'à la sécurité des docks a proximité de l'Ablette.

Ne reste qu'a attendre la fin du phénomène au calme, se procurer de quoi assurer le remorquage de la paire de navires sans équipage, offrir un scaphandre de plongée et une virée sur les coraux de Water Seven a Helia, faire un don généreux au SSMWS, trouver un vétérinaire pour les blessures du lion, et enfin, reprendre la mer et filer au large en convoi, droit sur le triangle Florian, tout en signalant aux Nochers d'Armada qu'on ne cracherait pas sur un équipage de prise pour filer un coup de main.

- Patron ?
- Brick ?
- J'aurais besoin de congés, j'ai vu des trucs dans le labo de Franky qui m'ont beaucoup plu, mais il me falloir du temps pour faire le tri. Et Hélia voudrait passer un accord avec vous pour qu'on l'emmène sur Myriapolis.
- Passe me voir au Kraken, on va s'occuper de ça.  



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