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Journée de célébration et rencontre inattendue. Ft Jaina

Rappel du premier message :

Célébration« L’amour est plus fort que toutes les raisons. » Madame de Sévigné
Année 1622
Village d’Oakenhill.
Journée de célébration pour la dizaine anniversaire du village.


‘’Éléonore, passe-moi ma petite fille et va t’occuper des préparations. Je suis rendue trop vieille pour ceci.’’ Annonce la mère d’Éléonore en venant récupérer la gamine qui sommeillait docilement sur la hanche de sa mère.
‘’Maman, dit le simplement si tu veux passer du temps avec tes petits-enfants.’’
‘’Bon d’accord, donne-moi ma petite fille et va à la fête des dix ans. Va t’amuser un peu, te changer les idées… Voilà un an qu’il nous a quitté et tu agis encore comme une veuve éplorée. Je ne te dis pas de te remarier immédiatement, loin de la même…. Mais je crois que fêter un peu te fera su bien, surtout qu’avec les dix ans, nous avons plus de touriste et de voyageurs qui vont venir alors des nouveaux visages pourrait être bien. Moi et ton père, on va s’occuper des enfants ce soir, d’accord.’’
’Maman…’’ Souffle Éléonore en donnant sa fille à sa mère.
‘’Il n’y a pas de main. Maintenant, que j’ai ma Linette en otage et ton père son petit-fils, tu n’as pas le choix d’accepter !’’ Annonce la femme d’un ton déterminé.
‘’Pardon ?!’’
‘’Oui, tu m’as bien compris, j’ai envoyé ton père chercher Benjamin.’’
‘’Vous... C’est un complot… Je n’en reviens pas.’’
‘’C’est pour ton bien et ça vient de ton père et moi, alors ce n’est pas un complot, seulement tes parents qui s’inquiètent pour toi.’’
‘’Mais.’’
‘’Pas de mais ! Allez ouste on se voit peut-être plus tard à la fête et n’oublie pas de t’amuser ! Mange, bois, mais surtout fait des nouvelles rencontres.’’ Ordonne la maternelle en s’éloignant avec Linette.

Éléonore est tout simplement choquée par la situation. Avec un lourd soupire, elle se dirige vers la maison qui lui semble terriblement vide. Elle change ses vêtements, échangeant sa robe de campagne pour un pantalon ajusté et un chandail au large col, sans manches. Elle attrape sa ceinture avec des petits sacs et la passe autour de ses hanches avant d’enfile une paire de gants de cuir et ses bottes en cuir. Elle vient stresser son épaisse chevelure, puis la laisse reposer sur son épaule et le devant de son corps. Elle se dirige ensuite vers le centre du village, ou l’enthousiasme était palpable, les gens s’activaient comme des abeilles pour s’assurer que tout soit prêt pour le souper qui allait venir. Ils avaient chassé la meilleure viande qui soit pour offrir plusieurs variétés de nourriture, Éléonore avait fait partie du groupe de chasseur en question. Avec la mort de son mari, elle s’était tournée un peu plus vers le travail manuel, se perdant dans le travail et l’occupation de prendre soin de ses enfants au lieu d’elle-même, mais là sa mère ne lui donnait plus le choix. Elle fut immédiatement bien accueillie par les autres villageois qui l’invitèrent dans la fin de la préparation.

C’était l’un des rares moments de l’année où le village entier acceptait les berry comme monnaies d’échange. D’ordinaire, le village d’Oakenhill était reconnu pour mon troc, échangeant le matériel en échange d’autre, ou des heures de travail. Le village avait toujours fonctionné de la sorte entre eux, acceptant les berry que lors d’événement aussi grand que celui-ci ou quand un visiteur était dans l’impossibilité de faire autrement. Mais en général, ceux qui revenaient souvent ici connaissaient le fonctionnement culturel du village pour être préparé à devoir marchander de manière différente. Avec les berry qu’ils allaient récupérer durant la foire, il allait pouvoir faire un lourd achat de matériaux, ils commençaient à manquer d’espace et ils voulaient commencer à mettre un peu plus de temps et d’action dans la mine non loin. Les hommes travaillaient si fort que le village avait pensée bon d’adapter plus confortablement le lieu.

Tandis que l’heure du repas sonne, que les touristes et les villageois se regroupe pour s’amuser et profiter des activités en cet anniversaire spécial. Éléonore est observée les interactions avec un léger sourire aux lèvres. Quelques enfants courir ici et là, elle voit même son fils Benjamin s’amuser avec la fille du voisin. Quand elle l’interpelle doucement, le gamin se redresse, l’observe avant de laisser un grand sourire se dessiner sur son visage. Il tourne les talons et s’en va en courant appelant son grand-père. La forme immense d’extirpe de la foule et observe sa fille qui est accoudée à l’un des comptoirs extérieurs et qui sirote une bière artisanale. Le vieil homme plisse les yeux et lève la main vers son visage. Il étirait deux doigts et fait un mouvement entre elle et lui dans un geste, ‘je te surveille’ avant d’attraper son petit-fils et de s’éloigner. Éléonore éclate dans un grand rire, attirant l’attention de quelques personnes autour d’elle. L’un des villageois se penche sur elle :

‘’Qu’est-ce qu’il y a Ely ?’’
‘’Mes parents ont kidnappé et prirent en otage mes propres enfants pour que je m’amuse et mon père me charrie à distance avec ceci.’’ Ris la veuve.
‘’Ah ! Ils fondent bien, profitent bien de la soirée. Qui sait, tu feras peut-être une bonne rencontre.’’ Lui dit l’homme avec un clin d’œil.
‘’C’est vrai que la soirée est encore jeune.’’ Réplique la blonde pâle en buvant son verre.
‘’Tu vas aller à la danse plus tard ?’’
‘’Si je trouve un partenaire peut-être, mais il est encore tôt pour ceci. Et on a une foire d’activité à faire.’’
‘’Amuse-toi bien alors, ma femme me fait signe.’’

‘’Amusez-vous bien en famille Bob.’’
‘’Merci Ely, toi aussi oki.’’
‘’Promis.’’


Dernière édition par Éléonore Grey le Lun 04 Mar 2024, 00:57, édité 2 fois
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‘’Oh vraiment ? J’espère que tu seras capable de tenir cette promesse, il me tarde de découvrir ces pas de danses…’’ Lui réplique la blonde sur le même ton.

La musique résonne doucement dans la salle extérieure, enivrante et envoûtante, enveloppant Éléonore et Jaina dans un cocon de passion et de désir. Leurs corps se meuvent avec grâce sur le plancher de danse, s'entrelaçant dans une valse sensuelle et envoûtante. Les regards brûlants qu'ils échangent en disent long sur l'intensité de leurs émotions. Elles n’avaient pas besoin de partager des mots pour communiquer une telle chimie. Il y avait quelque chose d’irrésistible qui entourait les deux femmes, les obligeant à rester près de l’une et de l’autre, à respirer le même air sans pudeur. Éléonore se laisse initialement guider par la grâce et la fluidité de Jaina, se laissant emporter par ses mouvements avec une confiance aveugle. Mais bientôt, une lueur de taquinerie s'empare d'elle, et elle prend les rênes de la danse avec une passion aussi dévorante que celle de Jaina. Ses mouvements deviennent plus assurés, plus audacieux, reflétant le feu ardent qui brûle en elle. Ses membres frôlant avec une sensualité le corps de sa compagne tout en continuant de danser. Mais malgré tout, elle laisse le plus grand des contrôles à sa partenaire, ne faisant qu’offrir au maximum son support.

Les paroles échangées entre les deux tourterelles sont douces comme du miel, empreintes de promesses enflammées murmurées avec une tendresse exquise. Chaque mot, chaque souffle, est chargés d'une intensité électrique qui parcourt leur peau et fait frissonner l’âme de la blonde qui ne quitte pas les billes sanguines de sa cavalière. Les gestes d’Éléonore deviennent de plus en plus intimes, chaque contact électrisant sa peau et faisant naître des frissons délicieux le long de son échine. Ils se perdent dans la danse, oubliant le monde qui les entoure, ne laissant place qu'à l'étreinte passionnée de leurs corps qui se cherchent, se découvrent, se désirent avec une urgence brûlante. Et ainsi, sur la piste de danse, Éléonore et Jaina se laissent emporter par la magie de la musique et de leur passion, se consumant dans une danse lascive et capiteuse qui les transporte au-delà des limites physiques. Il y avait quelque chose d’unique entre elles, une force inexplicable qui semblait pousser deux âmes l’une contre l’autre dans le besoin vital d’offrir un peu de douceur à celles-ci. Une chance inestimable qui changerait à jamais la relation future, apportant son lot de bien fait et de mauvais fait…

Au fil des notes envoûtantes, Éléonore et Jaina se perdent de plus en plus dans leur propre univers, où seuls comptent leurs mouvements harmonieux et leurs échanges passionnés. La tension entre elles monte crescendo, vibrant à l'unisson avec la musique qui les enveloppe. Renforcé par les paroles taquine, parfois échanger cachée au creux de l’oreille. Elles charment avec leur dance les spectateurs et certains des juges. Il y avait bien longtemps qu’on n’avait pas vu la fille du chasseur sourire autant. Les mains d’Éléonore parcourent le dos, les bras et les épaules de Jaina avec une tendresse exquise. Ses doigts se plaisent à découvrir lentement les courbes des muscles sous la fine couche de vêtements. Chaque caresse est comme une douce promesse de plaisirs de venir, chaque contact réveillant en elle des sensations brûlantes et délicieuses. Éléonore répond avec une intensité égale, laissant maintenant ses doigts glisser le long du cou de l’albinos, traçant des lignes invisibles d’affection et d’envie. Leurs souffles se mêlent dans un échange torride, ses lèvres effleurant à peine celle de sa partenaire, mais suffisamment pour enflammer encore davantage leur désir mutuel.

La musique les emporte dans une danse enivrante, les entraînant vers des hauteurs inexplorées de plaisir et de félicité. Ils se perdent dans la cadence envoûtante, se laissant porter par le rythme effréné de leurs cœurs battants. La blonde a un plaisir visible dans cette dance qui aurait pu se révéler être d’une simplicité exemplaire et pourtant, la voilà qui revive entre les mains d’une inconnue. Une étrangère qui lui faisait tourner la tête comme l’avait fait son mari, mais dans une manière complètement unique à elle. Jamais elle ne pourrait comparer ses deux créatures qui lui avaient apporté quelque chose d’unique à eux seuls. Son cœur rivalisait avec celui de Jaina, mais elle en était heureuse. Son corps pulsait qu’une énergie nouvelle qui menaçait de la dévorer d’un besoin primale qu’elle n’avait pas ressenti depuis des mois voilà. Les regards qu'ils échangent sont empreints d'une connexion profonde, d'une compréhension tacite qui va bien au-delà des mots. Elles se connaissent à peine et voilà qu’elles se désirent, se complètent d'une manière qui défie toute explication rationnelle.

Et alors que la chaleur de leur étreinte devient presque insoutenable, Éléonore se laisse emporter par la vague déferlante de passion qui la submerge, s'abandonnant totalement à l'extase de l'instant présent avec la cowgirl. Sur la piste de danse, elles ne sont plus que deux âmes en fusion, unies dans une danse éternelle d’émotion qui n’est brisée que par la fin du concours. C’est avec regret, une respiration lourde et la peau humide que les deux chasseuses se séparent. Le souffle lourd, la main sur son cœur palpitant, elle observe sa cavalière s’éloigner. La boisson froide est des plus apprécier et elle disparaît rapidement dans son gosier après avoir trinqué avec la cowgirl.

‘’Non, tu étais parfait, je crois avoir vu une gamine perdre connaissance devant ton talent. C’est plutôt moi qui devrais te retourner la question.’’ Ris doucement Éléonore en observant Jaina. ‘’Quelle surprise…’’

Après une récompense de plus surprenant, un ensemble d’anneaux en argent, elle observe l’argent sous la lumière un instant, détaillant les gravures délicates mais anciennes. Elle sourit délicatement, le glissant à son majeur de la main gauche, le droit déjà occupé par un anneau usé par le temps. Les mots avaient à peine été soufflés qu’Éléonore avait attrapé la main de la cowgirl pour l’entraîner dans les rues du village. ‘’Je connais le lieu parfait.’’ Elles abandonnèrent sans un regard en arrière les rues illuminées et bruyante par la foire, remontant pour trouver un coin plus isolé et discret. Après quelques minutes de marches, sous le couvert des étoiles, des respirations rapides et d’une atmosphère remplit d’une passion dévorante, elles arrivèrent devant deux cottages, l’une en face de l’autre et la blonde la guide vers celui de la gauche, son petit chez soi.

À peine furent-elles à l’intérieur, loin de regard, c’est une Éléonore fébrile qui vient écraser ses lèvres contre celles de sa compagne, venant dévorée ses lèvres qui lui avaient donné envie depuis qu’elles s’étaient rencontrées. Ses mains se baladaient telles des amantes demandante et avides, se faufilant sous la chemise pour venir cherche la chair chaude du ventre, des hanches et des côtes, écartant au maximum les phalanges en laissant étirer un son appréciateur son celle de sa future amante. Sa langue vient taquiner la lèvre inférieure, cherchant à envoûter le muscle humide pour continuer cette danse lascive. Elle la guide vaguement vers la chambre, frappant le sofa, un mur, ou encore un petit meuble. Si le trajet aurait dû se faire en quelques secondes, il en prit une longue minute d’un échange de baisée passionnée et de mains vagabondes, mais enfin elles arrivèrent au pieds du lit géant… Tout ceci promettait une nuit bien remplit.
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Journée de célébration et rencontre inattendue.

With Éléonore Grey


Lentement, Jaina se réveilla de son sommeil après une nuit agitée et forte agréable. Elle ne se trouvait pas dans le plumard d’une auberge ni sur le plancher des vaches. En ce beau matin, où le coq chantonna dans le poulailler à côté, la louve était allongée dans le lit d’Éléonore. Sa partenaire d’hier soir dormait toujours à point fermé, son ventre était face à celui de l’albinos. Sans un bruit, la cow-girl admira ce beau visage endormi. Ses lèvres envoûtantes, son nez si parfait et son teint bien plus coloré que celui de Jaina. Ses narines s’enivrèrent une nouvelle fois du parfum de sa belle. Instinctivement, son esprit se remémora cette danse nuptiale. De ses moments où la pirate mordillait passionnément les lèvres de sa partenaire. Que sa langue dansait un slow en compagnie de son amour d’un soir. De la douce mélodie chantonnée par les cordes vocales de sa valseuse lorsque leurs passions montaient jusqu’aux ciels.

Mollement, avec douceur, le dos des phalanges de Jaina caressèrent l’épaule nue de la villageoise. La douceur de sa peau redonnait une envie à la Chapeauté d’Hat Island de dévorer sa chair par des mordillements et de reposer des marques pour son désir envers elle. Rosenberg sentit ses joues se réchauffer puis son cœur battre d’une mélodie qui torturait l’intégralité de ses sentiments et de son corps. Sa respiration devint courte et chaude. Comme il y eut quelques heures où chacune tâchait d’apporter une nuit inoubliable à l’autre en franchissant les limites réservées aux amants. En sentant un sentiment extrêmement fort, ses cuisses se resserrèrent sous le drap retenant la chaleur installée par les deux demoiselles…

Sa main qui caressa depuis un petit moment l’épaule de la chasseuse, descendit avec tendresse jusqu’aux extrémités des ongles de cette dernière. Sa patte décida de s’aventurer sur le ventre pour l’aborder une toute dernière fois. Jaina préféra ne pas descendre ses doigts ni de les remonter. Elle eut tout le loisir et le plaisir de l’avoir effectué pendant la nuit dernière. Ce fut une véritable torture pour celle qui convoitait à nouveau cette femme. Son esprit se demanda si Éléonore correspondait à la perle rare, à cette personne que Jaina recherchait depuis la nuit des temps. Sa mauvaise expérience avec son premier amour lui avait donné une bonne leçon. Son âme sœur s’harmonisait peut-être envers une femme et non un homme.

Gentiment, Jaina remonta la couverture jusqu’à l’épaule de sa douce pour éviter que le froid réveille cette merveilleuse déesse. Avec regret, la cow-girl se retira du lit sans donner un quelconque baiser sur le front, sur les joues ou sur les lèvres de cette personne qui ne lui était finalement pas destinée. La dame se rhabilla discrètement, enfila la bague en argent autour de son majeur gauche, à la même position qu’Éléonore. Elle remit une mèche de cheveux blondes derrière l’oreille de sa muse et sourit doucement à cause de ce beau visage innocent.

Elle se dirigea à la porte de sortie, empoignant sa paluche contre la poignée de la porte. Jaina hésita à partir, à s’enfuir de cette maison où reposait une âme qui lui plaisait de plus en plus. Le doute paralysa celle qui désirait être la Reine des tireurs. Devait-elle faire une croix à sa destinée pour avoir une chance de gagner l’amour de cette nymphe ? Ou devait-elle partir pour épouser cette voie de la piraterie qui était l’exact opposé de la vie d’Éléonore ?

Inspirant profondément, titillant l’harmonica de son père accroché autour de son cou en guise de collier, l’albinos tourna une dernière fois son visage dans la pièce où se trouvait la chasseuse. Elle décida de voler un morceau de papier, un stylo et d’écrire un message à sa partenaire de danse.

"Ô toi, mon sucre d’orge,

Pardonne-moi de ce départ si abrupte. Je n’ai jamais été très doué pour la douceur. Tu semblais être la perle rare que je recherchai, mais nos chemins nous emmènent chacune dans une direction différente. Tu resteras toujours pour moi, ma merveilleuse cavalière. Sache qu’une partie de mon cœur battra continuellement pour toi. Peut-être qu’un jour je t’apprendrai les pas de danse de mon île.

Merci pour ce merveilleux moment passé en ta compagnie. Prend soin de toi et de tes enfants.

Jaina Rosenberg."


Après son message laissé sur la table, la louve déposa à côté la peluche gagnée durant la fête pour l’enfant d’Éléonore. Jaina sortit de la maison, rejoignit sa jument et partit du village pour ne plus être tentée de retirer définitivement son ceinturon et rester dans ce petit paradis.



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